Humiliation Choisie (Épisode 2)

Humiliation choisie (épisode 2)

Je vous conseille de lire l’épisode 1 pour une bonne compréhension de l’histoire. En résumé j’ai rencontré Magalie, une femme divorcée de 45 ans, très libre et désireuse de profiter de la vie et de ces plaisirs… Coïncidence elle connaît Sarah, l’esthéticienne chez qui j’ai pris l’habitude de me faire régulièrement épiler.

Après la petite aventure sur le parking, nous nous sommes revus Magalie et moi, nous sommes très complices, très bonne entente sexuelle. Me sentant en confiance et sachant qu’elle ne serait pas choquée par ma confidence, je lui ai avoué fantasmer sur la fessée depuis plus d’un an.
Elle : « Ca ne m’étonne pas, vu le plaisir que tu prends à être doigté. Et tu attends quoi pour le réaliser ce fantasme ?! »
Silence.
Elle : « Mais tu veux être fessé par un mec ou une femme.»
Moi : « Oui oui une femme, que par une femme. »
Puis la discussion a dévié, nous avons parlé d’autre chose, c’était une discussion téléphonique, rien que le fait d’aborder ce sujet m’a m’excité, un début d’érection, et j’étais déçu que Magalie ne me laisse pas m’attarder plus longtemps sur le sujet.

Quelques jours plus tard, échange d’sms avec Magalie, elle me conseille de prendre rdv avec Sarah, mon esthéticienne. Je suis surpris et déstabilisé par son message, je l’appelle aussitôt.
Moi : « Qu’est-ce que ça veut dire ton sms ? »
Elle : « Ça veut dire que je me suis arrangée avec Sarah pour que ton fantasme devienne enfin réalité… »
Moi (effaré) : « Mais ça va pas Mag !? Tu lui as parlé de ça ???!!! »
Elle (calme) : « Oui. »
Moi : « Mais Mag c’est juste pas possible ! Tu te rends comptes ?! Elle ne me connaît que comme client !!! Tu n’avais pas le droit de parler de ça… »
Elle : « Mais ne t’en fais pas… C’est une super copine… Je lui avais déjà parlé de toi, elle sait pour toi et moi… »
Moi : « Oui mais là c’est un sujet top secret ! Je n’en ai parlé qu’à toi… Mag ? Tu te rends compte.

. ? »
Elle : « Je me rends compte de quoi Alex ? »
Moi : « Mais je suis son client, elle est mon esthéticienne, c’est une commerçante d’XXXXX ! »
Elle : « C’est une très bonne amie, je lui fais confiance, ça restera entre nous… Ne flippe pas comme ça… »
Moi (catastrophé) :« Mais bien sûr que je flippe, je suis marié, je travaille à XXXXX et si ça se savait à l’agence ??? Tu te rends compte ???!!!
Elle (un peu agacée) : « Je te dis de pas t’inquiéter ! Ça restera entre nous 3 ! Point barre ! »
Moi (dépité) : « Même Magalie… C’est la honte… C’est mon esthéticienne… Quand même… Oh la la… »
Elle : « C’est pas ce que tu recherches justement ? D’avoir honte ? Un mec qui rêve de se faire claquer le cul c’est pour être humilié ! Non ? »
Je ne réponds rien, silence.
Elle : « De toute façon tu n’as plus le choix maintenant. Elle sait. »
Moi : « Mag… »
Elle : « Oui ! Elle sait que tu veux être traité comme une salope ! Elle va te le claquer ton cul ! Crois-moi !»
Magalie savait qu’en employant ce ton et ces mots, elle réveillerait instantanément mon désir de soumission. Aussitôt j’ai senti mon sexe durcir, l’inquiétude s’est évaporée pour laisser place à l’excitation…
Elle : « Je lui ai raconté comment tu t’étais doigté pour moi un soir, sous mes directives. Elle a bien rigolé, elle a même dit que tu t’étais comporté comme une vraie lopette ! Qu’elle allait bien s’amuser avec toi ! Elle va te mater ! Crois-moi ! C’est une vraie Dominatrice Elle ! Tu vas lui obéir ! »
Ces mots ont eu l’effet recherché par Magalie, m’exciter d’avantage encore ! Ma bite était comprimée dans mon boxer et sous le tissu de mon pantalon. Si j’avais été dans un endroit propice je me serais branlé tellement j’étais excité.
Moi : « Oh… »
Elle : « Tu l’appelles de suite ! Et tu me tiens au courant par sms ! Allez, je dois te laisser, j’ai plein de trucs à faire, bisous. »
Moi : « Bisous, oui, je t’écrirai.
»

Aussitôt après avoir raccroché, j’appelle mon esthéticienne, son N° est dans mes contacts au nom de l’institut. Pendant les 2 premières sonneries, un sentiment de panique m’envahit un peu, mon état d’excitation est retombé d’un coup, je prie mentalement pour que ça ne décroche pas. 3ème sonnerie ça décroche.
« Institut XXXXX, bonjour. »
Moi (d’une voix un peu hésitante) : « Bonjour c’est M. XXXXX, je souhaiterais un rdv pour une épilation s v p. »
L’esthéticienne : « Bonjour. Vendredi ? 13h ? »
Moi : « Oui, très bien, merci »
L’esthéticienne : « parfait, à vendredi alors. »
Je suis soulagé que la communication se termine, j’ai constaté un changement dans sa voix, un ton moins commercial que d’habitude. Il faut que je retourne à l’agence, ce petit intermède m’a fait prendre du retard dans mon travail.
J’avoue que j’ai eu du mal à me concentrer, un sentiment mitigé, la hâte d’être à vendredi, de découvrir, d’expérimenter, mais aussi l’appréhension, une certaine crainte…

Vendredi, le jour J, enfin je devrais dire le jour F plutôt !
Sms de Magalie dans la matinée : « Prêt pour la fessée ? lol »
Moi : « Oui… »
Magalie : « J’ai hâte de voir ça ! mdr »
Moi : « Pourquoi ???!!! Tu seras présente ???!!! »
Magalie : « Non non mais Sarah m’enverra une photo de ton cul ! lol »
Moi : « Pas de ça Mag, pas de photo, ça non. »
Magalie : « Une photo de ton cul, on ne verra pas ton visage donc rien de compromettant. De toute façon c’est pas toi qui décide ! C’est Sarah ! Compris ? »
Moi : « Oui… »
Magalie : « Travaille bien en attendant et regarde tes collègues, surtout les femmes. Pense à l’image qu’elles ont de toi… Et qui tu es vraiment… »

A 11 h je reçois un sms, je déverrouille l’écran de mon téléphone : sms de XXXXX (le nom de l’institut de beauté). Mon sang se glace, j’ouvre.
XXXXX : « Tu arrives pile à l’heure, la porte sera ouverte, la clé dans la serrure côté intérieur, tu fermes derrière toi.
Tu rentres dans la salle d’épilation, tu te fous à poil comme d’habitude puis tu me préviens par sms quand tu es prêt, je te donnerai les instructions suivantes. »
C’est la 1ère fois que mon esthéticienne me tutoies, j’en déduis qu’elle veut m’imposer sa domination, qu’elle prend le contrôle.
L’excitation m’envahit immédiatement, je ressens instantanément l’emprise de cette femme sur moi. Le reste de la matinée est compliqué au bureau, en plus j’ai un rdv clientèle, je me sens maladroit, pas à ce que je fais. Les bureaux ne sont pas cloisonnés à l’agence et Laura (mon assistante) remarque que je ne suis pas comme d’habitude. Elle relève la tête à plusieurs reprises comme pour marquer son étonnement.
Il est 12h00 passé, Laura me demande où je déjeune ce midi, je réponds que je reste au bureau, que je n’ai pas faim.
Laura : « T’as des problèmes Alex ? Quelque chose ne va pas ? »
Moi : « Tout va bien, rien de grave, bon ap ! »
Laura : « Merci, à tout à l’heure. »
Laura me regarde d’un air pas convaincu du tout et quitte l’agence.

13h pile, j’ouvre la porte de l’institut, la verrouille. Personne dans la salle principale, juste ce parfum habituel d’huile essentielle et cette musique douce, l’atmosphère zen que je connais.
Je rentre dans la salle d’épilation, je me déshabille et envoie aussitôt un sms à la propriétaire des lieux.
Moi : « Je suis là. »
2 à 3 bonnes minutes s’écoulent.
Sarah : « Tu te positionnes dans le coin de la salle où il y a le porte manteaux. Debout, jambes légèrement écartées, mains croisées derrière ta tête. Obéis ! Quand je te rejoindrai tu ne bouges pas, tu ne parles pas, tu n’es autorisé à parler que si je te le demande ! Et à aucun moment tu ne me regarderas ! Tu garderas les yeux baissés en ma présence !
Moi : « Oui. »
Je suis donc les instructions de mon esthéticienne, je suis nu, debout, dans un coin de la pièce, mains croisées derrière la tête. De longues minutes s’écoulent, l’attente paraît interminable, je ne bouge pas donc je ne peux contrôler le temps passé mais 10 bonnes minutes passent il me semble.

J’entends le grincement de l’ouverture d’une porte, celle qui est à l’opposé d’où je me trouve.
Sarah : « C’est bien, tu es obéissant. »
Je l’entends marcher vers moi. Elle est maintenant toute proche. Je sens quelque chose sur ma peau, glisser sur mes jambes, puis mes fesses. Ce n’est pas sa main, c’est quelque chose de souple, j’imagine un paddle en cuir, j’en avais vu sur des sites spécialisés quand j’ai commencé à m’intéresser au sujet.
Sarah : « Tu es là pourquoi »
Je suis intimidé, je n’ose pas répondre.
Sarah : « Réponds ! » Et au même moment je reçois un coup sur la fesse droite qui produit un claquement bien distinctif.
Moi : « Aïe ! Je suis là pour être fessé »
Sarah : « Tu termines chaque phrase en disant Madame ! » 2ème coup de paddle, cinglant, toujours sur la même fesse.
Moi : « Oui Madame. »
Sarah : « Je vais te donner une bonne correction pour t’apprendre les règles… Tu vas recevoir 10 coups sur chaque fesse ! Et je veux que tu comptes les coups à haute voix ! Tu comprends ? »
Moi : « Oui Madame. »
CLAC !
Moi : « 1. »
Sarah : « 1 qui ?! Salope ! » Et je reçois au même moment un 2ème coup ! CLAC !
Je réalise alors pleinement la situation, mon esthéticienne qui quelques semaines plus tôt me parlait avec respect, m’insulte à présent, me traite de salope et me claque les fesses de manière brutale.
Moi : « 2 Madame. »
Sarah : « Non ! Tu reprends au début ! Ça t’apprendra les bonnes manières ! Lopette ! »
Je reçois instantanément un nouveau coup. CLAC !
Moi : « 1 Madame. »
CLAC ! « 2 Madame. »
CLAC ! « 3 Madame. »
Et ainsi de suite jusqu’au 10ème coup compté sur ma fesse droite. Ma fesse est meurtrie, plus les coups se succèdent et plus la douleur est vive. Vers la fin de la série je n’en peux plus, j’ai mal, je pousse des petits cris plaintifs en même temps de je comptabilise. Les coups s’arrêtent.
Sarah : « Alors ? Ça te plaît toujours de te faire claquer le cul ?! »
Je sais que c’est là une question piège, je dois quelque soit mon ressenti, exprimer du contentement.
Moi : « Oui Madame… »
Sarah : « Oui… Tu as besoin d’être dressé… C’est ce que tu aimes… Salope !
Ce moment de répit me fait le plus grand bien mais la douleur est toujours vive, la fesse frappée me paraît être en feu !
Sarah : « T’as le cul dans un bel état ma salope ! Enfin ! La moitié de ton joli cul ! Va chercher ton téléphone qu’on fasse une photo pour Magalie !
L’esthéticienne prononce la dernière phrase sur un ton qui n’engage pas à la contestation. J’obtempère et cela a l’avantage de soulager mes bras restés relevés pendant la punition. Je saisis donc mon téléphone, le déverrouille et le tends à Sarah en prenant bien soin de garder la tête baissée.
Sarah : « Remets-toi en position lopette ! »
Je m’exécute.
Sarah prend la photo de mon cul à moitié rougi par ses coups.
Sarah : « C’est parfait ! On en fera une autre quand je me serai occupée de la gauche ! »
Quelques secondes de répit le temps qu’elle pose le téléphone et qu’elle se remette en position puis les coups reprennent.
CLAC ! « 1 Madame. »
CLAC ! « 2 Madame. »
CLAC ! « 3 Madame. »
Et ainsi de suite, jusqu’au 10ème coup de paddle sur ma fesse gauche. J’ai mal, je gémis, pour les derniers coups reçus. Sarah n’est pas sensible à mes plaintes, ses coups de paddle ne faiblissent pas !
Sarah : « Arrête de te plaindre salope ! Tu comptes ! C’est tout ! Tu es là pour ça ! Tu aimes ça !
Enfin la série s’arrête, je sens mes jambes chanceler, j’ai terriblement mal.
Sans rien dire Sarah me tend mon téléphone, je comprends que je dois le déverrouiller à nouveau pour la 2ème photo.
L’esthéticienne s’applique à reprendre mon cul en photo en émettant un soupir de satisfaction.
Sarah : « Maintenant tu as la gauche bien rouge et la droite d’un rouge un peu moins vif… » Elle ricane en prononçant ces mots…
Sarah me demande de me retourner et de garder les yeux baissés.
Sarah : « Tu as quelque chose à dire ? »
Moi : « Merci Madame… »
Sarah : « C’est bien, tu es une bonne lopette. » « Tu peux te rhabiller, nous n’avons plus le temps pour l’épilation, tu m’appelleras pour un nouveau rdv la semaine prochaine. »
Moi : « Oui Madame… »
Sarah : « Tu envoies les photos à Mag dans l’apm et tu lui précises bien que tu es une bonne lopette à présent ! »
Moi : « Oui Madame… »
Je me rhabille, Sarah a quitté la pièce, je la retrouve à son comptoir dans la pièce principale, je suis à 3 mètres d’elle, elle me fixe droit dans les yeux, je baisse instantanément les miens et lui adresse un au revoir timide. Elle n’y répond pas. Je quitte l’institut, l’esprit comme envoûté et les fesses douloureuses…


PS : Ce récit est pour partie une fiction, je n’ai toujours pas réalisé mon fantasme ! Laquelle de mes lectrices franchira le pas.. ? Et me contactera.. ? Sourire

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