La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1177)

La Marquise esclave – (suite de l'épisode précédent N°1176) -

Un regard de puissance dominatrice si forte qu’il m’envoûtât … Pour rejoindre le fameux traiteur, nous primes les transports en commun, ce qui était donc le choix du Noble. Un bus jusqu’à Lyon puis le métro. Contrairement à la fois où j’avais pris un bus seule, devant respecter la règle disant que même à ce moment-là, je devais me comporter comme une esclave, cette fois-ci, je pris ces transports en commun en tant que fiancée de Monsieur le Marquis d’Evans. Il me tenait par la main et nous ressemblions à n’importe quel couple d’amoureux. Dans le métro, qui était bondé, nous dûmes rester un moment debout. De Son bras droit, Il me colla contre Lui, tandis que Sa main gauche s’insinuait entre nous et se glissait discrètement sous ma très courte jupe, me doigtant délicieusement l’anus. Faisant mine de déposer un baiser sous mon oreille, Il ne murmura qu’un mot à peine perceptible :

- Attention !

Ses doigts se faisaient de plus en plus insistants, quand il fit un claquement de langue, signal pour m’ordonner de jouir. Nous étions dans un lieu public, il me fallait donc rester discrète. Pas un son ne sortit de ma bouche, aucun mouvement ne fut perceptible, si ce n’est une légère crispation de la mâchoire, des pupilles se dilatant, ou encore peut-être un très léger tremblement. Mais je savais que seul le Maître qui me connaissait si bien pouvait percevoir ces signes, et comprenait que des vagues de plaisirs étaient en train de déferler en moi. Quand Il me murmura un laconique :

- Stop !

Je peinais à tenir debout… Je vis comme une bénédiction un couple se lever pour descendre et le Maître m’entrainant vers les sièges qui venaient de se libérer. Il me serra contre Lui et je profitais du peu de temps de trajet qu’il restait pour me remettre de cet orgasme si puissant ! J’adorais quand Il exigeait de moi que je jouisse ainsi en public, sans rien devoir laisser paraitre.

Mes orgasmes étaient particulièrement forts dans ces cas-là…

La station de métro se trouvait juste en dessous de la boutique du traiteur. Il ne nous fallut donc pas longtemps pour l’atteindre. C’était un grand bâtiment où se trouvait un grand laboratoire/cuisine, où il était préparé des petites portions de tout ce que Monsieur Charles Scott, propriétaire de ce lieu, pouvait proposer afin que les clients puissent se faire une idée en direct des plats qu’ils pourraient proposer à leurs réceptions. Les clients étaient généralement reçus dans la grande pièce principale où se trouvaient le bureau d’accueil, et plusieurs tables et chaises pour les dégustations. La décoration était chaleureuse, et une musique d’ambiance était diffusée en permanence. Un diplôme encadré trônait sur un mur et qui était placé visiblement afin que tous puisse le lire et où il était noté en grosses lettres en gras : ‘‘Meilleur cuisinier-pâtissier de France’’. Et pour les clients plus particuliers, Monsieur Scott les recevait dans son bureau, une vaste pièce comportant énormément de placards, commodes, rangements en tout genre, une grande table et de confortables chaises. Quand il nous y conduisit, je pensais que c’était dû à la noblesse du Maître et à Sa position respectée dans toute la région. Si ce n’était pas tout à fait faux, ce n’était pas la seule raison. Et je le compris vite lorsque, la porte à peine fermée, le Maître exigea que je me débarrasse rapidement de mes vêtements. Retrouvant immédiatement mes réflexes d’esclave, j’obéissais et vins me positionner à Ses pieds. Il exigea de moi que je m’allonge sur la table, sur le dos en écartant largement les cuisses et que je ne bouge surtout pas ainsi exhibée.

- Je ne t’attache pas, mais tu as l’interdiction de bouger, quoiqu’il se passe. Si la moindre assiette, le moindre verre, se renversait, tu serais sévèrement punie !

Quelqu’un frappa à la porte. Charles alla jusqu’à la porte, ne laissant pas cette personne entrer ou voir ce qu’il se passait dans la pièce.
C’était un employé de la maison qui apportait un chariot avec différentes entrées chaudes. Aidé du Châtelain, il plaça les assiettes, les verrines ou autre plats chauds sur mon corps. Ils placèrent également quelques verres de différents vins, également sur moi, ce qui me demanda une énorme concentration pour ne rien renverser. Le Noble me faisait gouter à tout, précisant que c’était notre mariage à tous les deux et donc que j’avais le droit à donner mon avis. Il partageait chacun des différents mets, me donnant la becquée. Suivant les conseils de Charles, il gouttait les différents vins. Pour me les faire partager, Il prenait de longues goulées qu’Il n’avalait pas, et venait les laisser s’écouler dans ma bouche qui devait rester ouverte, avec sa bouche entrouverte juste au-dessus de la mienne. Si je n’étais pas attachée, j’avais les yeux bandés, et je profitais pleinement des mariages de goûts, arômes et des odeurs les plus raffinés. La même chose se produisit avec les entrées froides. Quand les viandes arrivèrent, les sauces étaient directement versées sur mon corps. Monsieur le Marquis dégustait ainsi les viandes directement sur mon corps. Je me retrouvais très vite souillée de différentes saveurs. Les poissons et légumes furent disposés autour de moi. Mais les vins les accompagnants étaient toujours disposés sur moi. Alors quand le Maître voulut se rendre compte si j’étais excitée par la situation, je dus faire appel à des trésors de maîtrise de moi-même pour ne surtout pas bouger. Avec une petite fourchette, Il piquait parfois un morceau de poisson, faisant attention à ce que les dents soient bien recouvertes pour ne pas me blesser, et Il venait l’enfoncer dans ma chatte, déclarant qu’il n’y avait pas meilleure sauce pour les accompagner et me faisait goûter ainsi la fourchetée !

Avant que les différents fromages et desserts ne fussent apportés, ils me débarrassèrent de toutes vaisselles, et toujours avec l’interdiction de bouger et surtout de jouir, ils entreprirent tous les deux de me lécher, me nettoyant pour la suite.
Ce fut une délicieuse sans nom. J’étais très chatouilleuse et ces langues qui se baladaient sur moi semblaient le savoir ! Les tétons furent mordillés, les aisselles et les flancs effleurés, m’excitant tout autant que me tourmentant. Ce fut le Maître qui vint se loger entre mes cuisses pour me débarrasser des sauces et restes de nourriture sur et dans mon sexe, et j’eus énormément de mal à ne pas lâcher des orgasmes que je sentais très puissants, surtout quand Il entreprit avec sa langue baladeuse le nettoyage en profondeur de mon clitoris souillé de sauce d’un exquis ragout d’agneau...

Le dernier chariot arriva. Il y avait des fruits, des gâteaux sous forme de mignardises, des crèmes… les pâtisseries furent déposer à même mon corps, le Châtelain gobant avec délices ceux qui se trouvaient sur mes tétons, en profitant pour les travailler avec Ses dents. Puis je fus de nouveau souillée, après les avoir goutées, par les différentes crèmes, sans que personne d’autre n’y touche plus. Le Maître remplaça mon plug par une belle banane poingo, plus courte qu’une banane classique, mais bien plus large, continuant ainsi à me dilater l’anus. Puis, tout ce qui était petits fruits, tels des baies et des fraises, furent enfournés dans ma chatte dégoulinante de cyprine. Alors que je m’attendais à ce que le Noble vienne chercher ce qui était caché, Il commença par jouer avec la banane dans mon cul m’amenant, au vu de mon degré d’excitation, aux portes de l’extase. Puis, sans rien avoir enlevé du tout, Il badigeonna sa verge durcie de jus onctueux de délicieux œufs à la neige et me pénétra sans prévenir la chatte, en de longs va-et-vient, des coups de boutoirs puissants qui écrasaient les fruits qui étaient à l’intérieur de moi et dont je sentais le jus, mêlé à ma mouille s’écouler sur la table. Mais Il n’éjacula pas ainsi, Il vint se positionner autour de mon visage et éjacula une première fois dans ma bouche, me faisant goûter à un délicieux mélange d’œufs à la neige, de fruits, de mouille et de sperme…

Monsieur le Marquis exigea alors que je me mette en position accroupie sur la table et que j’évacue comme je le pouvais le reste des fruits qui m’encombraient.
La banane sortit d’un côté et une sorte de bouillie fruitée et ‘cyprinée’ sortit de l’autre. Pendant ce temps les deux Dominants se branlaient en me regardant. Le Maître exigea alors que je me mette en levrette pour nettoyer la table de toutes ces salissures. Cela le fit de nouveau bander puissamment, et Il monta derrière moi pour m’enculer tandis que je continuais de nettoyer avec ma langue de petite chienne en chaleur. Mon excitation était à son paroxysme lorsque je reçus l’autorisation de jouir à l’unisson avec Lui. Cela faisait tellement longtemps que je surfais sur la limite de l’explosion orgasmique que ma jouissance fut puissamment intense ! Je criais tellement que j’en eus une extinction de voix ! Puis, Il descendit de la table et m’imposa de me coucher sur le dos de nouveau, la tête basculée en arrière, et je Le nettoyais une nouvelle fois. Puis, Charles qui avait quasi uniquement été voyeur vint à son tour utiliser mon orifice anal jusqu’à sa jouissance par de longs saccadés jets de sperme que je sentais couler dans mes entrailles. Il y avait dans une minuscule pièce attenante soit une douche à l’italienne, dans laquelle j’eus le droit de me laver à l’eau chaude, avant de revenir pour m’habiller. Cette fois-ci, nous ne prîmes pas les transports en commun. Walter était venu nous chercher. Tant que nous fûmes en ville, j’eus la permission de rester sur la banquette arrière aux côté du Maître. Mais dès que nous fûmes à l’abri des regards, le Majordome s’arrêta et je montais alors dans le coffre, sur une douce couverture, sur laquelle je ne tardais pas à m’endormir… Epuisée mais tellement heureuse …

(A suivre …)

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!