Initiés À L'Échangisme

- Alain, nos petits voisins nous ont invités à diner samedi soir, je dis quoi ?
- Encore ?
- Pourquoi dis-tu cela ? le mois dernier c’était l’anniversaire de Cyril et cette fois c’est leur anniversaire de mariage, Lucile a dit que nous serions agréablement surpris, c’est gentil de leur part non ?
- Tu n’as pas l’impression que Cyril te serre d’un peu trop prés parfois ?
- J’admets qu’il est un peu tactile par moments, ne me dit pas que tu es jaloux ? je pourrais te faire remarquer que sa femme n’hésite pas à te montrer ses cuisses, si ce n’est pas plus !
- Oui...bon, mais cela deux fois en un mois, je sais que Cyril te plait, pour ma part Lucile n’est pas désagréable a regarder
- Alors c’est oui ?
- Oui …mais …je me souviens la dernière fois, en douce, il m’avait vaguement parlé de club libertin
- Elle aussi, ils sont tentés mais ils n’osent pas y aller seuls
- Pas question qu’ils nous embarquent dans ce truc
- A la limite je ne suis pas contre flirter entre nous comme des ados ! ça me rappellerait mes seize ans !
- Tu te laisserais peloter par Cyril Anita ?
- Booof une petite caresse sur les seins par-dessus les vêtements pendant une danse langoureuse ça ne va pas chercher loin !
- Avoue que ça te plairait de sentir qu’il bande pour toi ?
- Disons que ça me rassurerait sur mon pouvoir de séduction !
- Tu me plais comme au premier jour chérie et ça me suffis sans avoir besoin de chercher ailleurs
- Merci, pour moi c’est la même chose, donc si nous somment sûrs de nos sentiments pourquoi ne pas ‘plaisanter’ avec des gens que nous apprécions ?
- Tu te fais un plan et si ça ce trouve il ne se passera rien
- Peut-être mais ça m’excite d’en parler !
- Ne me dis pas que tu mouille ta culotte ?
- Ben si ! tu veux vérifier ? mais ? salaud t’as vu ta braguette ?
- Je ne peux pas m’empêcher de t’imaginer avec Cyril …
- M’imaginer ? faire l’amour ?
- Baiser ! faire l’amour nous est réservé
- Excuse-moi, je pense la même chose en fait, finalement je crois que je ne serais pas jalouse de Lucile
- Pour l’instant ôte ta petite culotte et écarte les cuisses !
- Alors ne me fait pas l’amour, baise moi sauvagement
- Tu vas prendre cher ma chienne !

Je ne pouvais pas avouer à Anita que je me ferais bien cette petite Lucile ! j’ai eu maintes fois l’occasion de voir le minuscule triangle de soie qui protège une chatte que je devine serrée, mais pour ça il me faut admettre lui laisser faire la même chose avec Cyril …si c’est fait devant moi je pense tenir le coup !

Anita a passé un temps fou dans la salle de bain ce fameux samedi soir, sou vêtement ou non ? en tous cas le soutien-gorge est absent sinon je ne verrais pas ses tétons essayer de percer le corsage opaque, la futée a mis sa jupe portefeuille, celle qui facilite a une main de passer entre ses cuisses sans être obligé de relever le tout, je le sais pour l’avoir souvent testé ! moi, je n’ai pas mis de slip et j’ai évité l’infernale braguette a boutons !

- Je prends la bouteille de champagne, n’oublie pas les fleurs
- Zut ! j’allais oublier
- Hum, tu es déjà en soirée ? n’oublie pas que je suis là !
- Je serais sage chéri… à condition que toi aussi !
- Alors il n’y aura pas de lézards

Lorsque Lucile nous a ouvert j’ai eu un choc, une coiffure qui met sa frimousse de gamine espiègle rousse en valeur, un maquillage léger, son parfum enivrant … tien !! aussi une mini robe portefeuille ? YES !! elle tient par miracle à l’aide d’une ceinture nouée, la soirée promet d’être chaude
Les bisous osés et les congratulations de circonstances faits nous passons à l’apéro, au deuxième whisky de marque Cyril invite Anita à danser, lumière tamisée, boule a facettes, slow langoureux, ma femme a son ambiance de boum !
Lucile me fait un sourire de connivence qui veut dire ‘invite moi’, le mince tissu laisse passer la chaleur de son corps, a tel point que j’ai l’impression de serrer une femme nue contre moi, ses seins libres s’écrasent sur mon torse, très vite elle laisser reposer sa tête sur mon épaule, une chose que j’apprécie est que l’os de son pubis est a la même hauteur que mon sexe qui commence à s’éveiller
Je n’oser regarder ce que font Cyril et ma femme …visiblement je ne vais pas assez vite en besogne car ma cavalière relève son visage, ses lèvres entrouvertes quémandent un baiser, devant mon hésitation elle me fait un signe de tête afin que je regarde nos voisins de ‘piste’ …ils sont immobiles, lèvres soudées, je préfère ne pas vérifier où est la deuxième main de Cyril mais les pieds de ma femmes sont bien écartés …

- Alain ? et si tu t’occupais de moi au lieu de surveiller ta femme ?
- Pardon ! c’est si soudain !
- Soit rassuré ce qui se passera à cette soirée entre nous n’est pas ‘tromper’
- Tu crois qu’ils vont …
- Baiser ? sans aucun doute ! embrasse-moi Alain … MMUUUUUUUUMMMM… mais tu bande ? je devine un beau morceau, je crois que je mouille, tu ne veux pas vérifier ?

Lucile arrête de se mouvoir, jambes ouvertes elle attend que je me décide, je ne la fais pas languir plus longtemps et passe ma main entre les pans de la robe qui s’ouvre totalement, la femme est nue entre mes bras, mes doigts remarquent vite que sa chatte est imberbe et lisse comme la peau d’un bébé, l’absence de slip et de poils font que la mouille abondante se disperse le long de ses cuisses
Lorsque mes doigts fendent le fruit mûr Lucile pousse un râle de satisfaction qui n’a certainement pas échappé à ma femme qui répond encore plus fort, je perçois même des bruits mouillés, je touille vigoureusement cette vulve qui coule entre mes doigts, pour tester les désirs de ma cavalière je pose une main sur son épaule et, comme par enchantement je me retrouve avec la robe dans la main, sa propriétaire après s’en être débarrassée je ne sais comment est entièrement nue est à mes genoux et s’affaire à baisser mon pantalon qui tirebouchonne sur mes mollets
Un souffle chaud enveloppe mon gland décalotté avant qu’il ne se retrouve dans un palais brulant où une langue royalement experte tourne autour de mon bout, mes testicules ne sont pas oubliés, je jette la robe devenue obsolète et me consacre a réguler la pénétration de ma hampe raide à me faire mal, les yeux entrouverts je mate où en est ma femme …Cyril dans la même situation que moi lève un pouce a mon attention mais son visage se crispe soudainement il tient fermement la tête d’Anita en poussant des grognements et des mouvements incontrôlés faciles a décrypter, ma femme déguste une bonne dose de foutre chaud …
Pour rattr mon retard je lime la bouche accueillante à la façon d’un vagin, le résultat ne se fait pas attendre je me raidi une ultime fois et balance mon sperme directement dans sa gorge, a peine remis de ma jouissance ma femme s’approche et cherche à m’embrasser, je m’empresse de lui offrir mes lèvres, quelle surprise lorsqu’elle me fait partager le fruit de sa fellation, c’est la première fois que je goute a un sperme étranger au mien

- Tu aime ? tu passe une bonne soirée chéri ?
- Ma foi je ne regrette pas d’être venu ! tu compte aller jusqu’où avec Cyril ?
- Au point où nous en somment, si nous ‘sautions’ le pas ?
- Je suppose qu’il t’a mis des doigts à la chatte ?
- Je ne te cache pas que suis très ouverte, sans doute autant que Lucile, je me trompe ?
- Elle est béante
- fais-moi sentir tes doigts ? muuuuuummmmmm ! ne la laisse pas se refermer, je vais rejoindre Cyril

Ma femme finit de se débarrasser de ses derniers vêtements devenus inutiles et gênants avant de s’assoir sur un coin de table dans une position qui ne laisse aucuns doutes sur ses attentes, le voisin s’empresse de venir se caser entre les jambes ouvertes

- Lèche-moi la figue Cyril …
- J’allais te le proposer
- Alain ? tu viens me rejoindre sur le canapé ?
- Pas sur les coussins, pose tes fesses sur l’accoudoir, tu seras mieux fendue
- Et je serais à bonne hauteur pour une saillie bestiale comme je les aime !

Décidément nous calquons nos faits et gestes, sans doute pour ne pas choquer nos conjoints, mais une fois la bouche ventousée a son con visqueux je ne me contrôle plus, ma femme peut bien baiser avec Cyril je suis aux anges !
Je m’aperçois que les vulves n’ont pas toutes le même goût, celui de Lucile est plus fort, j’ai entendu dire que même la sueur des femmes rousses est plus pimentée, ça se vérifie, la femme agite ses jambes en émettant des grognements sourds, soudain elle m’agrippe par les oreilles afin de me faire remonter d’un étage

- Baise moi je n’en peux plus de les entendre s’égosiller
- Serais tu jalouse ?
- Cyril a l’air de beaucoup apprécier ta femme et ça me met hors de moi ! baise-moi fait moi hurler
- Ce n’est pas un concours Lucile ! retourne-toi et écarte les jambes je vais te saillir par derrière
- Tire sur mes cheveux, j’aime être soumise
- Je vais te défoncer salope, et si ça ne te suffit pas je vais t’enculer
- Oui !oui ! oui ! ouuuuuuiiiiii OOOOOuuuuuuuuuiiiii c’est çaaaaaaaaaa ! va-yyyyyyyyyyyyy !!!

La jeune femme entre en transe, je ne la contrôle plus elle se jette sur moi en donnant de violent coups de culs, j’ai peur qu’elle ne me pette la queue ! au point que son mari interrompt la saillie qu’il procurait à ma femme pour venir la réprimander

- LUCILE ! arrête tout de suite ton cinéma ou bien nous stoppons cette soirée, ce serait vraiment dommage
- Elle baise bien hein la voisine ? vous vous voyez en cachette ?
- T’es dingue ? il n’y a jamais rien eu entre Anita et moi ! il se trouve que nous nous entendons bien sexuellement, Alain ne te satisfait pas ?
- Si-si-si très bien mais… je suis jalouse ce soir, c’est tout
- Tu veux que nous te prenions à deux ?
- J’aimerais me faire sodomiser par Alain .

..tu veux bien Anita ?
- Baisons tous les quatre ensembles formons un seul amas de corps, je vais moi-même guider la bite de mon mari entre tes fesses
- C’est vrai ? embrasse-moi ma chérie
- Vient sur moi et ouvre-toi bien je vais écarter tes lobes, prépare toi chérie
- Merci !
- Cyril ? sodomise mon mari pendant qu’il encule ta femme, ainsi nous serons tous groupés !

Impossible de refuser sinon je passerais pour un peureux, emmanché au plus profond des entrailles de Lucile, qui n’a pas sourcillé durant la pénétration, je serre les dents lorsque Cyril pèse sur ma rondelle, la douleur est à peine supportable au passage du gland qu’il a bien formé et bien lubrifié, pour abréger mes souffrances je recule brusquement sur sa hampe, quelques secondes d’accoutumances et notre étrange tandem se met à onduler, Anita commente et pose ses mains partout où elle peut, à la fin de la soirée pas un anus n’as été oublié, endormis pêle-mêle c’est la bouche de ma femme qui m’a fait rebandé …c’est Lucile qui en a profité

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