Terma 31 : Et Abusé En Présence De Ma Femme

La journée suivante fut identique à la précédente jusqu’à la soirée chez nos voisins. Elle fut toutefois assez différente. En effet, nous avons bu de la bière, comme d’habitude et tout le monde attendait ma troisième bouteille pour m’assoupir et les laisser libres de commencer leur orgie sexuelle. Seulement, le plus jeune m’a fait renifler quelque chose me disant que c’était du tabac (chamma) turc alors que c’était de la drogue. Il a suffi de très peu et en quelques instants, j’ai perdu la tête. Je voyais ce qui se passait mais je ne pouvais pas tenir un jugement clair.
Je n’arrivais pas à m’assoupir comme d’habitude car je n’étais plus maître de mes actions et de ma volonté. Les hommes ont enguelé le jeune mais il leur a dit qu’ils pouvaient commencer l’orgie car j’étais incapable de comprendre ce qui se passait. J’avais entendu leur dispute et en partie compris ce qu’ils disaient mais ça me paraissait normal et amusant. Ma femme était déjà partie dans la chambre avec son premier amant. Alors, le jeune m’a pris dans ses bras et m’a serré contre sa poitrine et même donné un baiser sur la joue, puis il m’a peloté les fesses et ça me plaisait. Alors, mon troisième homme, celui qui connaissait déjà ma Terma chez lui, m’a aussi tenu dans ses bras, a sorti son zob et s’est frotté à mon ventre.
Je voyais très bien la scène et ça me plaisait, alors je lui ai même serré le zob et je l’ai ensuite branlé machinalement. Aussitôt, j’ai vu qu’il s’est mis à poil à partir de la ceinture et m’a enlevé aussi et sans que je réagisse, mon pantalon et mon slip. Puis, il s’est collé à mon dos et, fouillant mon derrière, et me courbant, il a enfoncé son zob dans mon cul. L’autre jeune s’est placé devant moi et m’a présenté son zob, dans la bouche. J’ai accepté les deux sans hésiter et ça me donnait du plaisir. Je voyais et ressentait du plaisir mais je ne pouvais pas juger totalement la situation. 9a me plaisit, c’est tout ce qui comptait. L’homme m’a sodomisé un long moment et s’est déversé dans mon cul, puis il s’est détaché.

Alors le jeune a pris sa place, dans mon cul. Il m’a aussi sodomisé même dans le sperme de son copain et moi j’ai accepté sans réagir.
Quant il a, lui aussi éjaculé, il l’a fait en dehors de mon cul, sur mes fesses et mes hanches. Puis il m’a soutenu et amené vers les toilettes alors que leur sperme suintait sur mes cuisses. Il m’a aidé à nettoyer mon derrière, mes cuisses et même l’intérieur de mon cul. Je voyais et ressentais parfaitement ce qu’ils m’avaient fait mais je trouvais cela très agréable. Puis, retournant au salon, ils m’ont remis mes vêtements et m’ont installé sur un fauteuil. Je n’étais pas entièrement inconscient mais je me laissais faire sans réaction volontaire. J’essayais de discuter avec eux, mais je ne me rappelle pas de ce que je leur disais même pendant qu’ils me sodomisaient. Ensuite, ils sont partis, tous les deux, vers la chambre pour baiser ma femme. Ça, j’en été conscient.
Resté seul, j’ai fais l’effort de me relever et d’aller, moi aussi, dans la chambre. En entrant, j’ai bien vu ma femme, les jambes en l’air et le jeune, en train de lui baiser la chatte. Dès qu’elle m’a vu, elle a crié et rejeté le jeune avec violence. Elle était totalement nue. Je les ai entendus lui dire de ne pas s’inquiéter car j’étais et pas très conscient de la situation. Alors, le jeune l’a reprise et replongé son zob dans sa chatte. Elle m’observait, toutefois, derrière le dos de son amant. Alors, j’ai sorti, difficilement certes, mon zob ramolli, et je l’ai présenté, à ma femme qui baisait avec le jeune. Les hommes ont rigolé bruyamment et l’un d’eux m’a enlevé, encore une fois, mon pantalon et mon slip sans que je réagisse.
Puis ils m’ont déshabillé complètement, et ça m’amusait car je les aidais à le faire. Ensuite l’un d’eux, et qui était nu, m’a présenté son zob que j’ai sucé et un peu branlé maladroitement. Puis il m’a couché, à genoux sur le lit, à coté de ma femme qui baisait. Et il a enfoncé son zob dans ma Terma, devant ma femme.
Il m’a sodomisé avec jouissances pour moi et je regardais ma femme qui m’observait. Je trouvais la situation formidable et ça me donnait du plaisir dans mon bas ventre et dans mon cul. Ensuite, il a éjaculé dans mes entrailles et s’est éloigné. Je voyais ma femme qui avait fini avec son amant, elle est sorti de la chambre avec les deux autres et m’ont laissé avec le jeune qui m’avait .
Il m’a mis sur le dos et relevé les jambes et les cuisses, a ouvert mon anus avec ses doigts puis il a enfoncé son zob dans mon cul, jusqu’aux couilles. Je gémissais de plaisirs. C’était bizarre, je voyais et ressentais toutes les sensations et jouissances et j’en redemandais, mais j’étais incapable de juger la situation. J’aurais du comprendre qu’ont m’avait et sodomisé devant ma femme, que j’étais un jouet sexuel entre les mains de ces trois hommes, mais mon esprit considérait cela comme un amusement, normal et surtout jouissif. Ma Terma répondait pour moi et je demandais encore et encore au jeune de continuer plus fort. Quant il a éjaculé encore une fois, j’étais au summum de la jouissance et du contentement.
Il est ressorti de mon cul, m’a fait renifler encore une fois son produit, sa chamma, et m’a laissé couché, nu, sur le lit. Alors, je me suis endormi, assommé de drogue et de sodomies. Lorsque je me suis réveillé, toujours nu, sur le même lit, tout ce qui s’était passé me revenait dans la mémoire, certes un peu flou, mais en gros, presque comme dans un rêve. J’étais nu, donc je savais qu’il y eu des choses vraies dont je me souvenais. Je me suis levé et mettant mes vêtements, je suis allé à la salle de bain car le sperme collait à mon cul et mes cuisses. J’ai trouvé seulement le jeune, couché au salon. Il s’est réveillé et m’a souri. Je suis allé me laver et nettoyé le cul.
Ensuite, je lui ai demandé ce qui s’est passé et où étaient les autres. Il m’a confirmé que je me suis et qu’ensuite, c’est moi qui a demandé à mon troisième homme de me sodomiser mais, seulement après le départ de ma femme.
Donc, d’après lui, elle ne m’a pas vu faire ce que ma mémoire floue me dictait. Il m’a confirmé que ma femme était absente lorsque je leur ai offert à tous les trois ma Terma, puis ils m’ont laissé dormir. Je ne l’ai cru qu’à moitié et je suis allé chez moi pour vérifier la réaction de ma femme.
A la maison, ma femme était devant la télé et m’a reproché de m’être endormi chez nos voisins. Elle m’a confirmé que je me suis et que j’étais étourdi et incapable de bouger. Alors, elle a été obligée seule de partir aussitôt à la maison. Il y avait quelque chose à manger dans la cuisine et je me suis rassasié sans faire de commentaires. J’ai observé à plusieurs reprises ma femme, par en dessous, pour voir si elle disait la vérité, mais elle était trop forte pour moi. Depuis le temps qu’elle me trompait, elle s’est spécialisée pour me jouer la comédie.
En réalité, je m’en foutais et peut-être même que j’étais content qu’elle le sache. Mais ce jour la, du fait qu’elle m’a vu me faire sodomiser devant elle et par ces trois amants, c’étais inédit et ça ne me plaisait pas beaucoup. Mais comme elle a bien joué la comédie, innocente, pourquoi devrais-je m’inquiéter. Le fait qu’elle sache maintenant que ma Terma recevait l’hommage de zobs et que ça me plaisait, ça nous mettait presque à égalité.
Peut-être qu’elle comprenait mieux maintenant pourquoi je n’ai jamais essayé d’approfondir ses absences, ses infidélités, ses acceptations de rencontrer et de boire de la bière avec des hommes, nos voisins et en ma présence. Mes sodomies justifiaient maintenant ces agissements, mais le fait qu’elle essayait de me cacher qu’elle savait ce que je faisais, nous permettait de continuer à respecter les formes. Et c’est l’essentiel entre nous. J’avoue que ce qui s’est passé hier soir dans la villa de nos voisins n’a pas été désagréable, bien au contraire, du point de vue sexuel. C’était inédit mais tellement excitant et malgré ma drogue, j’en ai éprouvé des jouissances formidables dans ma Terma.
Voir aussi ma femme se faire baiser devant moi a certainement ajouté, même inconstamment, à mes jouissances.
Alors, la nuit suivante, dès que nous avons commencé notre buverie habituelle, c’est moi qui a demandé au jeune de me fournir de sa fameuse chamma (drogue) turc. J’ai remarqué que tous ont été surpris, même ma femme, mais le jeune s’est précipité vers la chambre et m’a apporté ce que je demandais. Un quart d’heure plus tard, j’étais déjà, en partie, dans les vaps, et en partie, dans la comédie, mieux qu’hier soir. Ma femme est allée dans la chambre avec les deux hommes et le jeune est resté avec moi. Cinq à dix minutes d’observations et il m’a pris dans ses bras. J’ai accepté et il m’a caressé, alors j’ai moi-même ôté mes vêtements pendant qu’il se déshabillait. Puis, il s’est assis sur une chaise et son zob, assez bandé était gonflé à la verticale. Alors, il m’a invité en me désignant son zob debout, affamé.
Avec plaisir, je me suis assis dessus, sur ses genoux et en lui tournant le dos. Et doucement, nous avons ensemble, aidé à enfoncer son zob au fond de ma Terma. Ensuite, j’ai bougé et dansé sur son zob pendant un long moment jusqu’à qu’il s’excite à fond et prenne les choses en main. Il m’a alors mis à genoux par terre et il est monté sur mon cul en enfonçant son zob, à la verticale, jusqu’aux couilles. Puis il m’a bien sodomisé avec énergie. J’étais mieuw qu’hier soir, certes un peu brouillé mais assez conscient de ce que nous faisions et j’en ressentais beaucoup de plaisirs dans ma Terma.
Ce soir, ma tête était plus lucide qu’hier, je refusais de juger ce que je faisais. C’était très agréable et jouissif et ça suffisait, à ma Terma et à mes fantasmes. Quant le jeune a éjaculé à l’intérieur de mes entrailles, nous avons crié ensemble cette délivrance. Puis, ensemble, nous sommes allés dans la salle de bain. Très vite, il s’est nettoyé le zob et il est parti pour prendre sa part de la chatte de ma femme. Je restais sur le bidet en me vidant de son sperme assez longtemps. A un moment, mon troisième homme apparut dans la salle de bain, nu et tenant à la main, son zob ramolli mais luisant des restes de son sperme.
Il a marmonné quelque chose que je n’ai pas bien saisi, mais ses gestes étaient assez clairs. Il me secouait son zob et me montrait son doigt pointé, il en voulait à ma Terma. Alors, je me suis levé et, lui tournant le dos, je me suis courbé en écartant jambes et cuisses et lui offrant mon cul de nouveau net et propre. Tenait son zob à la main, il l’enfonça immédiatement dans mon cul chaud et souple par la sodomie précédente. Puis il m’a donné du plaisir, beaucoup de plaisir et de jouissances.
Je crois que cet homme préférait les Terma des hommes aux chattes et Terma des femmes. La manière dont il s’agitait et jouissait quant il me pénétrait et à l’intérieur de ma Terma étaient claires. Il prenait son vrai et profond plaisir beaucoup plus fort dans mon cul d’homme. J’en profitais pour m’offrir, m’ouvrir et gémir au maximum, en concert avec lui. Le jeune aussi, emblait aimer ma Terma, je l’ai aussi ressenti quant il me défonçait en criant son plaisir.
Une vingtaine de vas et viens ont amené l’homme à jouir et déverser son sperme dans mes entrailles. Puis, il s’est un peu nettoyé et reparti. Moi, je me suis remis sur le bidet pour me vider encore une fois. Toujours affamé de zob, j’attendais l’autre amant de ma femme. Je suis resté exprès plus que normalement et effectivement, l’autre homme m’a rejoint. Il avait, lui aussi son zob à la main, en partie bandé. Il me l’a présenté alors je l’ai sucé et branlé tout en lui malaxant les couilles. Son zob s’est gonflé et durci, alors je me suis encore levé et pris la position comme pour son prédécesseur.
Il m’a sodomisé lui aussi en force mais rapidement il a éjaculé, hélas, faiblement. Il semble être moins amateur de Terma. Il soulageait son zob seulement et finissait par éjaculer comme tout le monde. Mais sa sodomie ne m’a pas enchantée, et j’ai très peu joui, lui aussi d’ailleurs. Il était évident que trop de sperme dans mon cul ne nous permettait pas de profiter des frottements du zob avec mon sphincter. L’homme a versé une seule fois, si peu, puis il s’est nettoyé et est reparti. Resté seul, je me suis bien nettoyé et repris mes vêtements.
Comme je l’ai déjà avoué, je n’étais pas aussi inconscient qu’hier soir, bien au contraire. Je voyais et ressentais ce que je faisais et ce que me faisaient les trois hommes, et je savais que c’était assez dangereux pour mes relations avec ma femme. J’étais parfaitement conscient que ma femme était dans cette maison, et que je me suis laissé sodomiser dans le salon puis dans les toilettes par ses trois amants, l’un après l’autre, après qu’ils se sont satisfaits de sa chatte et de sa Terma dans la chambre.
Passé au salon, j’ai retrouvé juste mon troisième homme qui buvait de la bière. Il m’a posé deux ou trois questions sur le plaisir que nous avons eu ensemble tout à l’heure et mes réponses lui ont confirmées que j’étais très conscient ce soir de ce qui se passait avec moi et avec ma femme. Mais je lui ai fait promettre de garder le secret et de continuer le jeu qui nous faisait plaisir à tous et à ma femme, et il a été d’accord.
Alors, comme pour nous amuser, il m’a entrainé vers la porte de la chambre et, le sourire au visage et le doigt sur les lèvres, il m’a demandé d’écouter. D’ailleurs, la porte n’était pas totalement fermée. J’ai vu l’intérieur, ma femme qui dansait sur le ventre de l’homme couché sur le lit et oscillait sur le zob que je distinguais parfaitement. Elle gémissait de jouissances et lançait parfois un cri.
L’autre jeune homme, par contre, était presque debout, derrière ma femme et enfonçait son zob dans sa Terma au rythme des soubresauts qu’elle faisait sur le zob de sa chatte. Une très belle scène érotique que j’ai beaucoup appréciée. L’homme, collé derrière moi, avait aussi été excité par la scène, et je constatais, malgré nos vêtements, que son zob, collé à mes fesses, se gonflait petit à petit.
Tout en continuant à observer la scène dans la chambre, j’ai allongé ma main derrière mon dos et j’ai touché le zob de l’homme dans sa braguette. Puis, très facilement, je l’ai dégagé de sa prison et commencé à le branler. Rapidement il a commencé à frétiller et à se gonfler et devenait de plus en plus dur en pointant mon pantalon par derrière. Alors, l’homme m’a descendu mon pantalon pour dénuder mon derrière et m’a écarté les jambes. Et tout de suite, il écarta un peu mon slip sur le coté pour accéder à mon anus. Enfin, il enfonça son zob dans ma Terma. Puis il commença à me niquer en silence, contre la porte de la chambre. Rapidement nos souffles s’affolèrent par le désir, mais nous essayons de les calmer pour ne pas être découvert. Le plaisir montait doucement et surement dans ma Terma et le zob à la chait si douce était gonflé à fond.
A coté, dans la cambre, Le jeune a fini par éjaculer dans le cul de ma femme et s’est écroulé sur le lit à coté de l’autre homme. Ma femme, elle, continuait à se branler la chatte avec le gros zob de l’autre. La vue de ce zob qui coulissait avec vigueur dans sa chatte m’excitait et me donna l’idée d’osciller du cul, moi aussi, sur le zob de mon amant pour amplifier son ardeur et son plaisir. Et, rapidement, il arriva à éjaculer, avant que ma femme ne reçoive son plaisir avec l’autre.
Alors, nous sommes restés collés un moment jusqu’à entendre l’autre homme jouir dans la chatte de ma femme. Elle gueulait son plaisir après avoir crié deux fois ses orgasmes durant notre sodomie inédite. Alors seulement, on s’est séparé et couru vers la salle de bain, où rapidement on s’est nettoyé, rhabillé et repris nos places au salon, où j’ai fais semblant de dormir. L’homme est allé dans la chambre pour leur confirmer mon état et juste après j’ai entendus le groupe se déplacer vers les toilettes.
Dix minutes plus tard, ma femme, totalement habillée m’a secoué pour me réveiller. J’ai fais semblant d’être étourdi et le jeune leur a dit que j’étais presque inconscient, sous l’effet de la drogue que je prenais pour de la chamma spéciale turque. On m’a amené vers les toilettes et aspergé le visage et gargarisé la bouche plusieurs fois et j’ai fais semblant de reprendre mes esprits. Encore une fois, ma femme a joué la comédie en me grondant de lui avoir gâché la soirée par mon sommeil. Elle a été obligé, d’après ses dires, de tenir la conversation, seule, avec nos amis et que si je continuais ainsi, la prochaine fois, elle viendra seule chez nos voisins. J’étais sûr que c’est exactement ce qu’elle désirait, se trouver seule avec ses trois amants toute la nuit ou, en tout cas, une bonne partie de la soirée.
J’étais aussi certain, que maintenant qu’elle savait que ma Terma servait aussi au plaisir des zobs de ses amants, son attitude allait changer. Elle pourrait agir de façon à me faciliter la chose avec ses amants, directement ou pas, pourvu que, de son coté, elle se fasse, librement, le maximum de jouissance avec eux. Etant sous l’emprise de son excitation et de ses jouissances, elle avait raconté ses désirs au jeune homme avant de me réveiller. Et ce jeune, incapable de tenir sa langue me l’a rapporté ensuite, discrètement, avant qu’on les quitte.
Alors j’ai décidé pour demain soir de la libérer e de ma présence pour qu’elle vienne seule passer la soirée avec ses amants. Je vais seulement essayer de trouver une excuse pour m’absenter, demain soir de la maison. Ce n’est pas un grand problème, d’autant plus que j’avais déjà trouvé depuis deux jours un potentiel amant, un jeune homme black comme je les aime qui me draguait à la plage.
En effet, avant-hier et hier, alors que j’étais à l’eau, j’avais remarqué un grand black qui m’observait de façon insistante et surtout mon derrière. J’ai rapidement compris son intérêt pour mon cul car j’ai constaté que chaque fois que je sortis de l’eau, mon short glissait un peu plus sur mes fesses et j’étais obligé de le remonter, ce qui le collait encore mieux sur mon cul. Ce sont certainement ces deux gestes érotiques qui ont excité le jeune homme black. Pour confirmer, la fois suivante, je n’ai pas remonté tout de suite mon short pour laisser au jeune de bien admirer mes fesses blanches et bander sur mon cul.
On s’est souri et on a commencé à discuter sur n’importe quoi pourvu qu’on lie connaissance. Le lendemain, il est venu me rejoindre à la plage et on a barboté ensemble dans l’eau et on afait quelques attouchements réciproques, lui sur mon cul dénudé sous l’eau et moi sur son zob bandé, aussi dénudé sous l’eau. On n’avait pas encore décidé où nous pouvions aller baiser, mais demain, je vais trouver une solution après avoir expédié ma femme, seule, chez ses amants.

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