Micro Pénis Cocu

Il m’arrive souvent de me rembourrer le slip, histoire qu’on ne devine pas que je possède un micro pénis ! J’ai beaucoup plus confiance en moi lorsque je porte ma prothèse pénienne. Être mal monté c’est nul, mais ça devient intéressant lorsque comme moi on prend du plaisir à se faire dominer et humilier sexuellement par sa femme.
Ma femme c’est s’appelle Miranda. C’est une plantureuse brune et trentenaire avec un fort caractère. Elle aime le sexe et comme je ne peux la satisfaire, je suis l’un des hommes les plus cocus de la Terre. Elle a plusieurs amants qu’on peut regrouper en deux catégories : les amants irréguliers et les amants réguliers. Les amants irréguliers ce sont les coups d’un soir ; avec eux, elle utilise toujours la capote, ce sont la plupart du temps des hommes que nous rencontrons dans les boîtes échangistes ou les clubs libertins ; les amants réguliers quant à eux, plus restreints, ce sont des amants que nous fréquentons depuis un bon bout de temps et avec qui nous pouvons nous lâcher plus et consentir aux rapports sexuels sans préservatif.
L’un des amants réguliers de ma femme se prénomme Carlos. C’est un trentenaire brun au physique athlétique.
Il fait nuit. Nous nous trouvons chez nous. Nous sommes dans le salon. Ma femme et son amant sont debout. Ils s’ambrassent devant moi collé l’un contre l’autre comme si je n’hésitais pas. Elle porte une robe blanche qui lui arrive à la base des cuisses et qui laisse apparaître ses bas résilles noirs ; ses ongles sont aussi rouge vif que ses lèvres qui sont en train d’embrasser un autre homme que son mari.
Carlos glisse une main sous la robe blanche. Elle disparaît. Mais d’ici, je suis certain que sa main est en train de caresser l’intimité de ma femme parce qu’elle s’est raidie et qu’elle commence à caresser le pénis de son amant à travers le pantalon noir. C’est une situation très humiliante pour moi, une situation que je suis obligé de subir.
Ils cessent de s’embrasser.

Ma femme.-Déshabille-toi bite molle ! Avant de baiser, nous allons nous amuser un peu avec toi, mon amant et moi.
Je me lève. J’enlève mon jean. J’ôte mon t-shirt. Je me retrouve en string rose ! Je me débarrasse de mon string.
Ma femme.-Regarde, ce n’est pas un pénis qu’il a, c’est un clitoris !
L’amant de ma femme.-Elle est vraiment petite la bite de ton mari, heureusement que je suis là !
Ils s’embrassent une nouvelle fois.
Ma femme.-Viens me déshabiller bite molle !
Je rejoins l’amant et mon épouse. J’enlève sa robe blanche. Elle se retrouve toute en lingerie noire, bas résilles noirs, string résille noir, soutien-gorge noir ; c’est un ensemble érotique que j’ai acheté et qui profite à un autre que moi.
Ma femme.-Maintenant déshabille mon amant !
Je déboutonne la chemisette blanche de l’amant de ma femme, puis je passe à son pantalon noir, enfin je baisse son boxer gris. Son impressionnant pénis en érection se retrouve à l’horizontale. C’est une humiliation de plus pour moi, le micro pénis, d’avoir eu à déshabiller l’homme qui me fera cocu.
Comme si cela ne suffisait pas, ma femme, dans une main tient le pénis de son amant, et dans l’autre mon micro pénis, qu’elle compare.
Ma femme.-Vos bites sont incomparables. Une peut arriver à faire jouir une femme, une autre n’effaroucherait même pas une vierge !
Elle et son amant rient. Elle a raison, la bite est vraiment minuscule.
À travers les volets de la fenêtre fermée, aucune lumière extérieure ne s’infiltre dans le salon éclairé par une ampoule. Nous sommes comme coupés du monde, du monde et de la nuit.
Ma femme.-Tu vas me lécher pendant que je vais sucer mon amant !
Elle s’assoit sur le fauteuil. Son amant se fait sucer debout. Moi, je me mets à genoux, puis je perds ma bouche dans le vagin de ma femme que je suce, lèche et hydrate précautionneusement pour la queue de l’amant de ma femme.
Jugeant sa chatte assez humide, ma femme pousse ma tête loin de ses cuisses. Sa salive fait briller le pénis de son amant.
L’amant s’assoit sur le fauteuil. Son pénis bande verticalement. Ma femme s’assoit sur le pénis de son amant qui disparaît en partie dans son vagin. Ils se mettent à baiser comme des époux devant moi comme si je n’existais pas ! Les voir coucher m’excite beaucoup. Surtout qu’elle est très expressive, entre deux vocalises plaisantes : « …baise-moi comme mon mari ne peut le faire !… » Je me masturbe en regardant son dos nu qui se tortille et qui sursaute sur le pénis de mon rival. Même si mon micro pénis bande assez mollement, je parviens très rapidement à éjaculer. Ma femme et son amant continuent de baiser.
Une quinzaine de minutes plus tard, l’amant, supportant toujours le poids de ma femme assise sur lui, finit par éjaculer dans elle. L’excès de sperme coule hors du vagin, sur la jointure des deux sexes, le long du pénis, des testicules, jusque sur le fauteuil.
Le souffle coupé, elle se lève, décroche son vagin du pénis, cela fait un bruit de succion, puis elle se dirige vers moi. Elle sait que j’aime lécher son vagin quand il est rempli du sperme de ses amants.
Ma femme.-Nettoie !
Elle est debout les cuisses ouvertes. Je suis à genoux en dessous d’elle. La bêtise coule le long de sa cuisse jusqu’à son vagin. La langue fait le même parcourt et lorsqu’elle arrive dans le vagin c’est une explosion de saveurs ! Je fais jouir ma femme en léchant sa vulve, en lui faisait l’amour au canal vaginal avec ma langue, en suçant son clitoris.
Une fois remise de son orgasme, elle décide de me récompenser ! J’obéis. Je me mets à quatre pattes. Elle introduit deux doigts entre mes fesses ! Ses doigts liment mon trou. La sensation est agréable, c’est un étalement jouissif dans ma rondelle. Lorsque ses doigts atteignent ma prostate puis se mettent à la masser, cela m’éblouit de plaisir. Ma prostate coule.