Gueule D'Ange

J’avais pris dans l’après-midi un coup de fil de Magalie m’invitant à passer chez elle après le boulot, qu’elle avait une chose très importante à me dire. Elle et son mari Gilles étaient devenu depuis peu des amis. Elle, la trentaine passé, le genre de femme à qui on avait envie de baiser, taille moyenne, mince, bien pourvue sous le corsage un visage à la beauté unique, des yeux bleus magnétiques, dont la sagesse lui donnait une aisance pleine de charmes et avec ça un sourire qui vous mettait finalement à l’aise.
Elle m’attendait sur le perron de son pavillon, sourire aux lèvres. Après les bises d’usages elle m’invita de la suivre jusqu’au salon.
-Alors qu’as-tu à me dire ? lui fis-je.
Ne voilà-t-il pas qu’au bout de cinq minutes de silence, me regardant elle alluma une cigarette, dont elle tira quelques bouffées avant de lâcher :
-Qu’est-ce qu’il fait chaud ! tu ne trouves pas ?
Je me demandais ce qu’elle cherchait. Elle se sépara de son gilet. Un petit frisson descendit de mon dos quand elle déboutonna son chemisier et remonta sa jupe. Comme un fait exprès elle ne portait pas de soutien-gorge. Les longs mamelons roses pointaient, trahissant son excitation. C’était donc pour ça qu’elle m’avait fait venir ? je ne savais plus où poser mes yeux. Sur sa poitrine, ou sur sa culotte de soie à fleurs dont le triangle moulait à la perfection son sexe.
-Comme ça, j’aurai moins chaud ! tu ne crois pas ?
Elle se laissa aller contre le divan, les mains derrière la nuque. Les pointes de ses seins dardées. Magalie eut un petit rire.
-Cela à l’air de te plaire ? ma poitrine te plaît ?
-Ils sont beau à voir.
En me regardant de côté, elle caressa ses mamelons.
-Gilles ne les voit même pas ! tout ce qui l’intéresse c’est de cracher son venin.
Sa moue de dépit en disait long, autant que la lueur sale qui brillait dans ses yeux. Pas besoin d’être devin pour savoir qu’elle aimait le cul.

Je fus surpris quand elle posa sa main sur mon genou.
-Je reconnais qu’il possède une belle queue, me fit-elle alors qu’elle faisait remonter sa main le long de ma cuisse, pour atteindre très vite ma verge qu’elle effleura à travers mon jean. En sentant ma raideur, elle souriait, avec une certaine cruauté, comme si elle devinait mes pensées et s’en amusait, alors que ses doigts suivaient les contours de mon sexe, appréciant sans aucun doute l’état où elle m’avait mise.
-Tout ça me donne une idée, pas toi ?
Sans attendre ma réponse, elle décolla ses fesses du divan pour se soulager de sa jupe. Tout de suite après, elle se sépara de sa culotte. L’odeur forte de son entrejambe me monta aux narines. Elle avait dû beaucoup transpirer pendant la journée, et s’exciter aussi. Tout en elle respirait la sensualité, la façon dont elle se cambrait pour mettre en valeur sa poitrine, les regards par en dessous qu’elle me lançait, tout en écartant ses cuisses et approchant ses fesses au bord du divan.
-Dis-moi, ma chatte te plaît ?
-Et ton mari ?
-T’inquiète !
Alors je m’approchais devant son sexe. Il bâillait, la toison n’était pour mon plus grand désarroi très étendue. Ses boucles collées par la mouille brillaient. Ses petites lèvres étaient minces et courtes, et un filet de mouille s’écoulait de l’entrée de son antre. Son clitoris bandé d’excitation. Elle émit un gémissement étouffé en l’effleurant du bout de l’index.
-Alors c’est normal que tu ne dis rien ? me fit-elle.
-il n’y a pas de mot assez beau pour décrire ce que j’ai devant les yeux.
Son doigt suivit les arêtes de ses nymphes avant de caresser le bord de son antre. Avec une plainte, elle tendit son ventre en décollant ses fesses du divan. La mouille noyait sa vulve qui se contractait.
-Je suis à peu près sûre que tu ne voyais pas comme cela ? je me trompe ? me questionna-t-elle en enfonçant son index dans sa nid d’amour.
-Tu ne peux pas savoir comment il aime être tripoter, ajouta-t-elle en faisant aller et venir de plus en plus vite dans son antre, faisant clapoter son jus qui l’engorger.
Elle donnait des coups de reins de plus en plus violents. J’étais à bout d’excitation.
-Tu bandes encore ?
-Plus que jamais. Tu veux peut-être que je te la montre ?
-Tu ne préfères pas mieux que je me serve moi-même ? lança-t-elle en déboutonnant ma braguette. Quand elle prit mon sexe entre ses doigts je crus que j’allais jouir dans l’instant.
-Tu bandes dur mon salop !
-Et pour cause !
Ses gestes vicieux, son langage vulgaire me rendaient fou. Surtout que sa main m’empoigna la verge et exerçait de légères et excitantes pressions, de plus en plus rapides. Magalie, affermissait sa caresse et sans crier gare, m’emboucha. Autour de mon pénis, je sentais ses lèvres charnues qui faisaient un délicieux anneau qui m’aspirait, me pompait tandis que la langue titillait mon gland. Puis la bouche avala ma hampe, loin. Si loin que je sentais des spasmes de plaisir me parcoururent le corps. Après quelques allers et retours qui me mettaient à la limite de l’explosion, la salope m’abandonna à mon triste sort du moment. J’avoue avoir été dépité sur le moment.
- viens me la mettre maintenant ?
-Ne sois pas si presser, j’aimerai faire quelques chose avant.
-A ton aise, me répondit-elle, alors que je posais ma bouche sur son sein.
Je l’aspirai, le léchai, le suçai. Sous ma langue, l’aréoles se plissait et fit surgir le téton, dur et pointu que je mordillais. Cette pratique déclencha chez Magalie de longs soupirs de désirs et lui faisait osciller le ventre. Ma main s’égara entre ses cuisses, qu’elle ouvrait largement pour me permettre d’envahir son intimité. Sous mes doigts, je percevais une humidité de plus en plus importante. Délicatement, j’écartai ses lèvres et me retrouvai dans son intimité, chaude et gourmande. Par une série de contractions, ma main était littéralement aspirée dans son sexe et je n’eus pas beaucoup de mal à le fouiller, caressant les parois glissantes d’humidité. Cette caresse lui faisait creuser le ventre et monter et descendre ses fesses.

Puis, je remplaçais ma main avec la bouche. Sous ma langue, son clitoris se développa, prenait de l’ampleur, grossissait. Petit bouton sensible, débusqué dans les plis gras et odorants, il pointait rapidement au-dessus de la vulve et je pouvais exercer dessus et autour une succion qui faisait pousser de longs gémissements à Magalie, qui en profitait pour m’inonder le menton.
Avec ma langue, je m’efforçais d’aller lui fouiller le plus loin possible son intimité, avant de m’attaquer à son petit trou. Sa rondelle, serrée à ma première approche, s’ouvrait comme une fleur, dès que ma langue dardait frapper à son entrée. Magalie, les fesses soulevées, les mains les écartant, m’aida à la fouiller là. Je sentais sur ma joue couler son plaisir et m’employais à la fourrager le plus loin possible. La bouche collée à ses fesses, je déployais toute la souplesse de ma langue pour en faire le tour, aller cueillir les odeurs qui se dégageaient au fur et à mesure de son plaisir.
Dans une tétanisation de tous ses muscles, en gémissant de plus en plus fort, Magalie explosa. Haletante, reprenant difficilement son souffle, je restais un moment allongé, la tête prise entre ses cuisses serrées par le plaisir.
J’étais aux anges de l’avoir mener à l’orgasme. Puis elle m’enjamba, me présenter son dos et sans me lâcher de la main, diriger mon pénis vers ses lèvres charnues, largement ouvertes et humides.
Elle s’empala sur moi, les deux mains sur les cuisses, elle entama un rapide va-et-vient qui me mena au bord de l’explosion. Je calais mes deux mains sur ses hanches et entamai un rythme soutenu qui accroissait ma jouissance et la sienne jusqu’à mon explosion finale qui, malheureusement, dura pas assez longtemps pour moi.
Exténué, à bout de souffle, les jambes en coton, alors que le bassin de Magalie continuait à remuer encore quelques instants au-dessus de moi.
Après une douche je repris la route pour rentrer chez moi. Que fut ma surprise d’y trouver Gilles en compagnie de ma femme, un verre de kir à la main.

Avait-il lui aussi consommé ?

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