Un Essayage En Attire Un Autre ...

Cet été nous étions en vacances sur la côte atlantique, nous avions réservé une chambre dans un petit hôtel, un soir, comme de nombreux soirs nous allons flâner dans une rue où de nombreux commerces sont ouvert , évidement ceux qui attirent Élodie sont les fringues, de nombreuses petites robes lui plaisent, comme la fin du séjour approche je décide de lui en offrir une , mais pas n’importe laquelle, porter ça où nous habitons déclencherait une émeute, pour mon plaisir personnel la voir ainsi habillée même à la maison ça finirait certainement très vite allongés sur la moquette !
- Tu la mettras pour aller en club
- Aaaaahhhh ! je te vois venir …depuis le temps que tu me gave pour aller dans ces boites à scandales, c’est un appel ? !
- Nous en reparlerons, soit gentille Élodie, va l’essayer chérie
- Où ça ? dans cette cabine ? c’est comme si je me mettais à poil ici même
- T’inquiète, je surveille, profite-en il n’y a pas beaucoup de monde
- Toi alors …bon, j’y vais mais fais gaffe aux voyeurs …
Je n’allais certainement pas lui signaler la présence de cet homme pile-poil dans la bonne direction, rien que cette situation m’a fait bander illico, la vingtaine, après tout c’est de son âge, il a trouvé un angle qui lui permet de voir la cabine mal close où ma femme se déshabille sans se douter qu’elle est observée, évidement je me suis déplacé pour voir la vue qui accapare toute son attention
- Pas mal hein ?
- Elle est belle cette nana... mince alors ! elle ôte son soutient gorge ? quelle belle paire de miches !
- Houais, au moins du quatre-vingt-dix
- Vous vous y connaissait en pointure de nénés ?
- Un peu... regarde, elle va même ôter son shorty …
- Putain, j’le crois pas ! elle est en string !
- Baisable hein ?
- J’sais pas si j’oserais m’installer entre ses cuisses
- Pourquoi ?
- Elle est vielle
- Hoohohohoh ! trente-cinq ans c’est vieux pour toi ?
- Comment savez-vous qu’elle a trente-cinq ans ?
- Boff, a vue d’nez comme ça !
- Dingue comme la robe qu’elle essaie est sexy ! on voit presque tout, elle va se balader dans la rue avec ?
- J’aimerais bien.

.. bon je te laisse, bonne soirée
- A vous aussi
- Merci mon gars, je crois qu’elle va l’être …
Je me suis dirigé discrètement vers la cabine de toile pour faire signe a Élodie de garder la robe sur elle, après avoir fait ‘non’ de la tête à plusieurs reprise elle a cédé à ma requête, la tête basse elle s’est vite dirigée vers la caisse où je l’ai rejointe pour récupérer les vêtements devenus inutiles et régler la note salée, le caissier la détaillait sous toutes les coutures
- Cette petite robe a été faite pour vous charmante petite madame
- Merci monsieur, nous rentrons chéri ?
- Pas déjà, profitons encore de la fraicheur, nous allons bouillir dans notre chambre non climatisée
- Alors partons par là
- Là où il y a moins de monde ? si tu veux
Pourquoi ai-je accepté sa demande ? tout simplement parce que le jeune homme de la cabine nous suit pardi ! nous marchons lentement je la tiens serrée contre moi comme au premier jour de notre rencontre, ma queue grossit dans mon short
- Tourne à droite chérie
- c’est la rue qui descend vers le parking de la plage, il y fait quasiment noir dans ce coupe-gorges
- C’est voulu !
- Toi tu veux profiter de moi !
- Bien vu ! tu es trop bandante dans cette tenue
- Ne t’avise pas de la déchirer !
- Tu l’enlèveras au dernier moment
- Bah ? surement pas !
- Siiii, là, derrière les garages nous seront tranquilles...
- Ôte ta main Louis, tu rentres mon string dans ma chatte !
- Personne ne nous voit
- Tu vas tacher ma robe
- Ça veut dire que tu mouille ?
- Je suis chaude comme la braise !
- Patience nous arrivons, et ça ne sera pas trop tôt car ma bite m’empêche de marcher !
- Pervers !
Le jeunot marche à bonne distance afin de ne pas se faire remarquer, je suis certain qu’il a deviné notre destination, le temps de traverser le parking éclairé par des lampadaires et nous arrivons entre les garages, il y a un banc dans la pénombre qui va bien faire l’affaire, je m’y assois …
- Vient à califourchon sur mes genoux chérie
- je vais la craquer …
- Relève-là sur tes hanches
- Attend … voilà, serre-moi fort
- Sort ma queue … je vais te doigter, embrasse-moi
- Fait moi du bien gros cochon
Par-dessus son épaule j’aperçois le gars qui nous observe sans oser s’approcher, je suis sûr qu’il a sa verge en main, deux ou trois signes de la main et il s’approche enfin, lentement, prenant soin de ne pas faire crisser les gravillons ! il est à trois mètre et se repait des fesses bronzées séparées par le string blanc, tout en administrant le baiser du siècle a Élodie je fais glisser les fines bretelles pour dégager entièrement son buste, la mini robe devenue qu’une large ceinture orne sa taille
Le jeune tend timidement la main et avance jusqu'à toucher une épaule, comme je m’y attendais Élodie pousse un cri strident
- Tout doux chérie, n’ai pas peur, c’est juste un jeune homme a qui tu plais, laisse-le te caresser
- Mais ???
- Nous somment loin de chez nous personne n’en saura rien, ce sera oublié dès notre retour à la maison
- Il est comment ?
- Très mignon… très mûr !
- Quel âge a-t-il ?
- Dix-huit m’dame
- Seulement ?
- Laisse lui un bon souvenir, c’est certainement sa première expérience
Vaincue et curieuse, Élodie se blottie dans mes bras attendant la suite qui arrive vite, chemisette ouverte, short baissé, sans doute bite en avant, le garçon se colle à son dos, ma femme tressaille, elle a dût deviner ce qu’était la barre chaude qui pousse sur ses reins, les mains passent devant pour empaumer la paire de seins qu’il a aperçus dans la cabine, il souffle fort, j’espère qu’il ne va pas éjaculer dans son dos !
- Votre femme a de beaux nichons
- Tu veux les téter ?
- J’aimerais plutôt caresser sa …
- Sa chatte ?
- Oui…
- Pour l’instant Je vais écarter mes genoux, ainsi Élodie va ouvrir les cuisses, passe entre les deux, mais soit délicat, un vagin est très fragile, écarte sa petite culotte
- Elle est entrée dedans !
- Tire doucement dessus
- Hhhhhaaaaaaaaaaaaaooooouuuuuuuiiiii …
- Il t’a déjà mis les doigts chérie ?
- Ooooouuuuuuiiiiiiiiiii ….

- C’est tout mouillé à l’intérieur
- C’est que tu t’y prends bien, tu as déjà goûté le jus de chatte ?
- Non …
- Hé bien c’est l’occasion d’essayer, fait-moi confiance, suce tes doigts … alors ?
- C’est … c’est bon !
- Alors recommence !
- Louis ? il veut peut être …
- Te bouffer le minou ? Tu veux petit ?
- Ne m’appelez pas ‘petit’ monsieur
- Pardon, elle va se tourner, va-y Élodie retourne toi sur mes genoux
- J’ai honte …
- Y’a vraiment pas de quoi ! écarte-toi bien, va- y mon gars lèche lui l’abricot !
- Pelote-moi les seins Louis
- Jouis dans sa bouche, il faut qu’il apprenne
- Ça ne va pas tarder, je suis toute excitée, pince moi les bouts je vais partir …
- Comme ça ?
- Rrrrrhhhhhaaaaaaaaaoooooooooouuuuuuuiiiiiiii !!!!!!!! oui-oui-oui-ooooouuuuuuiiiiiiiiiii !!!!
- Haaaaaa ! la salope, elle vient de me pisser dans la bouche !
- Ce n’est pas du pipi mon grand c’est sa mouille, sa jouissance
- C’est moi qui l’ai fait jouir ?? putaaainnn ! je suis balaise ! merci à vous pour ce bon moment !
- Ça te dirait de la prendre ?
- La baiser ? ici ? maintenant ? j’ai pas de capotes
- Fait-lui sans, nous somment sains et nous te faisons confiance
- Beeeennnn j’sais pas …
- Regarde cette chatte qui n’attend que ta bite, qui est encore bien raide je te signale !
- Elle me fait mal à force de bander
- Raison de plus, sinon tu vas aller te branler vingt mètres plus loin
- C’est vrai
- Alors assied toi, Élodie va s’assoir sur tes genoux
- J’ai envie mon grand, assied-toi vite
- Je m’appelle Léo
- Baise-moi Léo
- Je suis prêt, je la tiens en l’air, venez dessus
- Empale-toi sur son membre mon amour
Pour ne pas la tacher ma femme finit d’ôter sa robe, c’est entièrement nue qu’elle s’assoit sur le pic qui est d’ailleurs d’une taille tout à fait acceptable !
Enlacés, bouche contre bouche, je les laisse prendre leur plaisir en me caressant la pine, soudain Léo émet un geignement, ma femme aussi, il vient d’éjaculer dans le con tant désiré et désireux, mais Élodie n’étant pas rassasiée continue de monter et descendre sur la queue qui n’a pas faibli d’un pouce, le couple accélère en émettant des sons incohérents, rattrapée par l’orgasme elle se raidie déclenchant en même temps celui du jeune homme, essoufflés, ils mettent du temps, sans doute à regret, à se ‘décoller ‘, titubante ma femme ne sait que faire …
- Vient t’assoir sur ma queue mon amour ….

- Ça me coule jusqu’aux mollets
- Nous nettoierons ça plus tard
Obéissante Élodie s’empale aisément sur ma queue et commence à monter et descendre, mais après quelques mouvements elle s’arrête totalement et s’allonge sur moi
- Tu ne veux plus baiser ?
- Si mais y’a Léo qui doigte mon anus … effectivement je sens son doigt, il veut te sodomiser ?
- Je crois …je le laisse continuer ?
- A la façon dont ton con se serre sur ma bite tu en a vachement envie, alors fait lui comprendre que c’est d’accord
Comme par magie l’anneau se détend, Léo en profite pour présenter sa verge au cul de ma femme qui plante ses ongles manucurés sur mes épaulent, je vais en être quitte pour quelques croutes difficiles à expliquer, le gland glisse sur le mien a travers la mince cloison, s’il sait s’y prendre il va me branler et me faire décharger prématurément, alors c’est à qui bougera le plus vite dans les trous ouverts pour le plus grand affolement que ma femme ai connu, elle devient hystérique lorsque nous déchargeons simultanément, soudain une queue supplémentaire inconnue se pointe sous son menton, elle lâche mon épaule pour pouvoir la fourrer dans sa bouche
Le seul point positif est que cette bite providentielle l’empêche d’ameuter le quartier car il ne nous reste plus qu’à remettre le couvert !

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