Le Fantasme Du Triolisme Réalisé

D’abord, je tiens à dire que cette histoire est complètement réelle, y compris les détails. Je change juste quelques détails par soucis de discrétion. Je m’appelle François et ma femme Alexia. J’ai 37 ans et ma femme 35. Nous sommes en couple depuis 13 ans. On adore la vie de famille mais aussi nous faisons beaucoup la fête avec une bande de potes que nous connaissons depuis 10 ans.
Alexia est une belle femme blonde, bien faite, avec de belles fesses et une poitrine généreuse. Nous avons toujours eu une sexualité classique. Nous sommes hétéro tous les deux, fidèles (enfin de ce que j’en sais). Je n’ai jamais caché à Alexia mon fantasme pour un plan à trois, avec un autre homme. Mais ce n’est pas son délire. Elle me laisse fantasmer. Alexia aime savoir qu’elle est sexy, qu’elle plaît aux hommes. Elle montre volontiers ses jolies jambes, met souvent en valeur sa poitrine généreuse, mais ça s’arrête là. Elle est même plutôt pudique.
Il y a plus d’un an, lors d’une soirée bien arrosée avec un très bon pote, Paul, on s’était retrouvé tous les deux à parler de sexe. Je m’étais laissé aller à la confidence sur mon fantasme. Paul est plutôt bel homme, sportif, bien fait. Il est séparé depuis quelques mois. L’alcool déliant les langues, il se laisse aller à son tour sur des commentaires un peu osé sur Alexia, qu’il connait aussi depuis 10 ans, puisqu’on est dans la même bande de potes. Il m’avoue qu’il a toujours fantasmé sur elle, sur ses formes, sur sa poitrine très sexy, alors même qu’il était en couple. On en rigole. Et la conversation s’oriente carrément sur le lien avec mon fantasme. Tout en ayant conscience que tout ça n’est évidemment que du fantasme, sachant qu’Alexia n’est pas du genre à m’accompagner dans mon délire.
Le tournant s’est produit l’année dernière au printemps, alors que nous rentrions d’un week-end entre amis. Paul était de la partie. Nous nous étions couchés bien tard et nous avions deux bonnes heures de route pour rentrer chez nous le dimanche.

Nous étions seuls ma femme et moi dans la voiture. Ma femme s’était rapidement assoupie. Elle était vêtue d’une petite robe légère remontée bien haut sur ses cuisses pour être à l’aise. Mon esprit vagabondait sur des pensées érotiques, bien inspirées par les jolies jambes découvertes d’Alexia.
Elle se réveille après 30 mn de route et me demande si je ne suis pas trop fatigué. Je lui réponds que j’ai une technique pour être bien éveillé au volant pendant qu’elle fait la sieste sur le siège passager. « Je pense à des choses excitantes ! Et je t’assure que ça me tient bien éveillé ! Tu veux que je te dise à quoi je pensais ? »
Elle répond « Bof, je sais pas trop ». Vu que ce n’est pas un nom franc j’ajoute « Et ça me permettra de ne pas m’endormir, tu n’as pas le choix » en rigolant.
Je me lance «Je pensais à la soirée d’hier. Je ne sais pas si tu as remarqué, mais Paul n’a pas arrêté de mater ton décolleté ! Il avait l’air bien intéressé. »
Elle me répond en souriant « Oui j’ai vu. En même temps c’est pas la première fois. A un moment il a vu que je l’ai pris en flag. Il a rougi et il avait l’air super gêné ».
J’ajoute « Et en plus, il y a quelques temps, il m’a carrément dit qu’il te trouve très sexy, genre au point de fantasmer sur toi. Ca aurait dû me rendre jaloux, mais au lieu de ça, j’ai trouvé ça excitant ! »
« Vous êtes des cochons ! » me répond-elle.
« Je te dis ce que j’imaginais là, pendant que tu dormais ? »
Elle me répond par un silence et un haussement de sourcil, genre « Mouais vas-y toujours »
« Je m’imaginais que par manque de place on avait été obligés de partager notre chambre avec lui. Avec tous ce qu’on avait bu, et vu la taille du lit, on se serait pas embêté et on aurait partagé. » Je regarde Alexia du coin de l’œil pour voir sa réaction. Elle fixe la route sans faire de commentaire. Je continue.
« Tu étais bien bourrée et tu t’étais couchée toute habillée, avec ta jupe je te rappelle. Tu aurais pu te retrouver au milieu, tournée vers moi, avec Paul derrière toi.
Et puis j’aurais pu te faire un dernier baiser pour te souhaiter bonne nuit. Et j’imaginais que le baiser aurait été un peu plus long que prévu et se serait transformé en baiser plus fougueux. Nos langues se seraient mêlées et j’aurais posé ma main sur tes hanches puis glissée sur tes fesses tout doucement. Paul aurait fait comprendre en bougeant qu’il ne dormait pas encore. Mais on aurait continué. Et tu aurais senti la main de Paul effleurer ton dos, presque sans faire exprès. Puis de nouveau, jusqu’à ce que sa main caresse ton dos légèrement. Voyant que tu ne réagissais pas pour écarter sa main, il aurait fait glisser sa main le long de ton dos jusqu’à tes fesses. »
Là je m’arrête, sachant que en temps normal, Alexia m’aurait déjà fait comprendre que le sujet ne l’intéresse pas. Mais silence radio, les yeux rivés sur la route.
Je lui dis « Je continue ? »
Elle me répond un petit « non, c’est bon ! C’est trop cochon ! »
Un peu taquin, je lui dis que ça me permet de rester bien éveillé.
Et je poursuis « Tu aurais senti glisser sa main sous ta jupe, sur tes fesses. Pendant que je t’embrassais dans le cou, en caressant tes cuisses. Puis les doigts de Paul aurait écarté ta culotte et tu aurais senti ses doigts se promener sur tes fesses. En jetant un coup d’œil, j’aurais vu ça et j’aurais tiré ta jambe vers moi pour que tu t’écartes un peu. Tu m’aurais laissé faire. Et tu aurais senti les doigts de Paul glisser entre tes cuisses, sur tes lèvres. Paul aurait senti que tu mouillais. »
Je m’arrête de nouveau et demande « Je continue ou je m’arrête ? »
La réponse d’Alexia m’a fait comme de l’électricité dans le sexe « Continue ! ».
« J’imaginais que tu aurais laissé glisser ta main derrière ton dos pour caresser le bras de Paul qui était allongé sur le dos. Ta main se serais ensuite promené jusqu’au ventre de Paul, puis serais descendu en direction de son pantalon. Tu aurais posé ta main sur la bosse qui le déformait. Il t’aurait aidé à soritr son sexe et tu aurais constaté qu’il bandait bien fort.
Tu l’aurais caressé puis branlé doucement, pendant que tu sentais ses doigts s’enfoncer dans ta chatte. »
Là j’arrête de nouveau mon récit pour observer la réaction d’Alexia. Elle me regarde avec un petit sourire gêné et l’excitation se lisait sur son visage.
Je lui demande « Ca t’excite ? » . Alexia hoche la tête doucement. Elle avait un peu honte d’être excitée d’imaginer que Paul la doigte et qu’elle branle sa queue bien raide.
Tout en conduisant, je glisse ma main sur sa jambe, remonte sa jupe. Elle écarte un peu les cuisses. Je plonge ma main entre et je caresse son sexe à travers le tissu de sa culotte. Je sens la chaleur de son sexe. Je crois sentir qu’elle mouille à travers le tissu. Pour en avoir le cœur net, de mes doigts j’écarte sa culotte et caresse ses lèvres : elle est trempée de mouille. Vraiment très très trempée. Le contexte ne se prêtait pas à un arrêt pour faire l’amour, malheureusement. Mais en rentrant à la maison, cet épisode nous a beaucoup excité pendant quelques jours. Pour autant, quand j’essayais d’émettre l’idée de passer à la pratique, la réponse d’Alexia était toujours la même « Non, pas question, je n’ai pas envie de faire l’amour avec Paul ni avec un autre homme. Ça doit rester un fantasme ! ». Pour Alexia, il s’agissait d’une limite infranchissable.
Jusqu’à ce que quelques semaines plus tard…
Un soir de juin, après une soirée chez des amis avec plein de potes, on est quelques-uns à avoir envie de continuer la soirée sans gêner les voisins. Donc sortie en boîte vers 1h00. Bien allumés, on sort en taxi, dont le fameux copain Paul. Je dis à ma femme discrètement que pour pimenter un peu la soirée, j'aimerais qu'elle retire son string en boîte. Elle est vêtue d’une jupe courte (mais pas trop), volante. Je ne me faisais pas trop d’illusions, vu le côté pudique d’Alexia. Mais qui ne tente rien n’a rien…
Une fois en boîte, tous bien euphoriques sur la piste danse et la boîte bien remplie, ma femme va aux toilettes sans rien dire et revient et me glisse son string dans la poche arrière de mon jean.
Elle me dit "ça te va comme ça ? ". C'était très excitant. Je lui caressais les fesses, glissant parfois la main discrètement sous sa jupe. Elle n'a pas tardé à mouiller, malgré une drôle de sensation de se trouver comme ça, dans une boîte bien bondée, à sentir l’air circuler entre ses cuisses, sur son minou. L’euphorie de la soirée et les quelques verres au compteur avait eu raison de sa grande pudeur habituelle. Elle me dit à l’oreille « J’ai la trouille que quelqu’un voit ! Mais c’est très excitant aussi ! »
On danse puis je lui dis à l'oreille "et si je le disais à Paul, en lui disant de faire comme si de rien n'était ? Ça m'excite qu'il sache."
Ma femme sachant l'attirance de ce pote pour ses seins et son cul me répond « non » cash.
Mais vu qu'elle le trouve aussi pas mal et l'alcool aidant, et la fièvre de l'ambiance de boîte, elle répond à ma deuxième demande par un petit sourire et va se servir un verre, me laissant seul à côté de Paul...accord tacite.
J'avais déjà bien le barreau. L’idée de partager ce secret avec Paul m’excitait beaucoup. J'att mon pote par le cou et je lui dis à l’oreille :"Tu veux que je te dise un truc incroyable ? Ma femme a retiré son string et l'a mis dans ma poche. Et le mieux, c'est qu'elle est OK pour que je te le dise... Par contre, tu dois faire comme si de rien n'était » Mon pote était abasourdi que je lui dise que ma femme venait de retirer son string dans les toilettes, qu’elle se promenait dans la boîte de nuit sans rien sous sa jupe, et surtout qu’elle soit d’accord pour que je lui dise, la connaissant plutôt fétarde, mais pudique et pas du genre à dépasser certaines limites. Il a ouvert des grands yeux et m’a répondu « Oh la la ! Mais c’est hyper excitant ça ! ». Il n’avait aucune idée de l’attitude à adopter, ni de ce qu’il pourrait se passer ensuite.
Pour l'instant, on était encore 6 du groupe du début.
Quand ma femme est revenu vers nous sur la piste de danse, c'est devenu très électrique. Même si je ne lui avait rien dit de mon échange avec Paul, elle m’avait vu lui parler à l’oreille et elle savait désormais qu'on était deux à savoir qu'elle n'avait rien sous sa jupe rouge, qu'on avait son minou à portée de main. Et bien sûr elle se doutait que Paul était certainement excité par la situation, qu'il avait certainement envie de glisser sa main sous la jupe.
Plutôt que l'inquiéter, elle s'est rapproché petit à petit, dansant volontiers entre nous deux. Elle cherchait même le contact de Paul, posant parfois discrètement une main dans son dos ou sur son bras, mais comme si de rien n’était, naturellement. Il ne fallait que nos autres amis se doutent de quoi que ce soit. Elle semblait s’amuser de faire sentir à Paul qu’elle était là, tout prêt de lui, avec ses jambes nues, sa petite jupe et surtout sans rien dessous. Ils ne faisaient aucune allusion au secret qui nous reliait tous les trois. Paul ne faisait pas de gestes déplacés, vu que trois de nos amis étaient toujours là et en plus il n’avait aucune idée de si ma femme avait atteint les limites qu’elle s’était fixée pour ce jeu érotique ou si elle avait envie d’aller plus loin. Et moi non plus d’ailleurs.
Moi je continuais à profiter de la situation, tout en dansant, je caressais furtivement ses fesses à travers le tissu de sa jupe et de mes doigts, j’effleurais parfois ses lèvres discrètement, m’assurant que personne ne pouvait voir notre petit manège. Comme si je n'étais pas assez excité comme ça, je sentais en plus qu'elle mouillait vraiment beaucoup. Je lui disais. Elle me répondait avec un sourire coupable, gênées et l'excitation dans le regard.
Et vers 4h du mat, nos derniers amis sont partis de la boîte pour aller se coucher…
Il restait ma femme, moi et notre pote Paul…Et une boîte encore bien remplie. Grosse ambiance.
On s'est regardé tous les trois l’espace d’un instant. Sans rien se dire, on a senti qu’il allait se passer quelque chose. Ce n’est pas innocent si ma femme n’avait pas demandé à rentrer se coucher quand les autres copains sont partis. Sans compter qu’on avait quelques verres au compteur et donc un peu moins conscience de dér, alors que c’était le cas.
Paul s'est rapproché et dansait juste derrière ma femme pendant que je dansais face à elle.
Il vivait lui aussi une situation complètement inédite. On se jetait des regards entendus, avec un sourire au coin des lèvres. Pour autant, je voyais bien sur son visage qu’il était intimidé par la situation, ne sachant pas ce qu’il pouvait se permettre de faire, ce dont ma femme avait envie.
Là, ma femme n'était plus dans la réflexion. Elle dansait entre son homme et un pote, et elle savait que j’étais très excité par la situation. Elle imaginait aussi que Paul bandait peut-être d’être dans la confidence qu’elle était nue sous sa jupe courte. Elle avait envie de sentir les quatre mains se balader un peu partout sur elle.
Au milieu de la piste de danse encore bondée, furtivement pour que personne ne voit, les mains de mon pote se sont fait plus indiscrètes, d’abord sur ses hanches. Comme elle ne s’écartait pas de lui, il s’enhardit. Ses mains glissaient un instant sur ses fesses. Je voyais les joues de ma femme s’empourprer. Je lui dis à l’oreille : « C’est bon ces caresses sur tes fesses ? » Elle me repondit d’un petit sourire gêné accompagné d’un petit hochement de tête. Je voyais l’excitation sur son visage. Après quelques minutes, elle se penche vers moi et me dit « Il ne caresse pas que mes fesses ». Je lui répondis « Il t’a mis la main entre les cuisses ? » Elle me fit oui de la tête. « Il a dû sentir que tu mouilles beaucoup, alors ? ». Nouveau hochement de tête d’Alexia, l’air un peu coupable. Paul avait profité de la foule occupant la piste de danse pour se retrouver collé contre ma femme un court moment et il avait glissé une main sous sa jupe, pour sentir la douceur de ses fesses. Puis il avait glissé deux doigts entre ses cuisses, sur ses lèvres. Savoir que Paul avait glissé sa main sous la jupe de ma femme, qu’elle l’avait laissé faire, qu’il avait caressé ses fesses et glissé ses doigts sur sa chatte décuplait mon excitation. Je sentais ma queue de plus en plus à l’étroit dans mon jean.
Je glisse à l’oreille de ma femme
"Tu crois qu'il bande ? Vérifies "
Je la vois passer une main dans son dos. Et descendre vers le sexe de mon pote.
"Oui il bande bien, le cochon " avec un sourire. Paul avait lui aussi les joues rouges d’excitation.
Après un long et surréaliste moment de cette danse très érotique, j'entraîne ma femme vers les toilettes. Vers l'entrée des toilettes, coin discret, il n'y a personne. Je plaque ma femme contre le mur et l'embrasse bien fougueusement.
Une mn plus tard, Paul nous rejoint. Nous voyant « occupés » et ne sachant quoi faire il commence à faire demi tour. Je l'att par le bras et le tire vers nous.
Je tourne tendrement le visage de ma femme vers lui et lui dis :"embrasse-le ".
Mon pote s'approche et ils s'embrassent bien fougueusement.
Je bandais beaucoup beaucoup...
Du monde arrive, donc on retourne danser.
Quelques danses et caresses plus tard, on décide de rentrer en taxi. Paul propose de rentrer avec nous en taxi. Logique.
En attendant le taxi devant la boîte de nuit, nous étions complètement sortis de l’ambiance, de la musique à fond. On se retrouvait un peu désarmé, sans trop savoir comment continuer notre jeu érotique. On se retrouvait dans le taxi à parler de la soirée comme si de rien n’était !!!
Arrivés à la maison, on est tous les trois plutôt intimidés par la situation et Alexia semble plutôt partie pour aller dormir, un peu impressionné de ce qui risquerait d'arriver. Ne voyant pas trop la porte ouverte pour reprendre notre jeu, je me dis qu'on s'est bien amusés et qu'on va aller se coucher tranquillement...dommage. Je montre à Paul sa place de choix sur le canapé.
Il dit qu'il aimerait prendre une douche avant de se coucher. La porte de la salle de bain restée ouverte, je lui apporte une serviette et je commence à me brosser les dents, bien bourré et rigolant de la soirée avec lui, pendant qu'il se douche.
Ma femme partie se mettre en nuisette entre dans la salle de bain comme si de rien n'était et commence à se brosser les dents aussi, avec Paul nu sous la douche, séparé de nous par un panneau de douche transparent. Je jette un regard entendu à travers le panneau de la douche. Il sourit. Je dis à ma femme :"Tu veux pas prendre une douche aussi ?" "non non c'est bon je vais me coucher moi " Bon tant pis, je me dis. Elle file dans la chambre.
Paul sort de la douche se disant aussi que ça n'ira pas plus loin. Il me demande, pas très sûr de lui : « Tu crois que je peux aller dire bonne nuit à Alexia, quand même ? » Je lui réponds en rigolant « Bien sûr ! Mais attends-toi à te faire virer ! » Il entre dans notre chambre, situé près de la salle de bain, juste habillé de sa serviette autour de la taille, pendant que je fini dans la salle de bain.
J'attends d'un instant à l'autre qu'il sorte de la chambre pour aller se coucher.
Deux ou trois minutes passent et Paul ne sort pas. Je les rejoins dans la chambre, juste éclairée par la lampe de chevet..
Ma femme Alexia est allongée sur le lit en nuisette et culotte, Paul debout à côté d’elle, tenant sa serviette autour de la taille, penché en avant sur son visage, l’embrassant, les langues se mêlant, d’une main lui caressant les seins...
Les jeux très érotiques de toutes la soirée avait beaucoup excitée Alexia. Elle avait envie de plus, mais la crainte de franchir la limite, de se dévoiler complètement nue devant Paul, de se livrer complètement à lui, de passer pour une cochonne, lui avaient dicté d’aller se coucher sans passer à l’étape d’après. Il n’avait pas fallu grand-chose pour que la barrière tombe et qu’elle se laisse emporter par le désir accumulé sur la piste de danse. Juste que Paul se penche sur elle pour lui faire un baiser de bonne nuit sur la joue. Elle avait tourné son visage vers le sien, approché sa bouche de la sienne. Paul avait posé ses lèvres sur celles d’Alexia.
Je regarde, interloqué et je sens ma queue se dresser. Je me déshabille et fait glisser au sol mon boxer, libérant enfin ma verge tendue, bien à l'étroit toute la soirée.
Je vois la main de ma femme se poser sur la hanche de Paul, cherchant le contact, toujours pris dans le baiser fougueux. La main d’Alexia se glisse dans l'ouverture de la serviette. Puis Paul lâche sa serviette, qui tombe au sol, découvrant une image hallucinante: la main de ma femme tenant fermement la queue hyper tendue de Paul et le branlant lentement. Le désir d’Alexia était décuplé de découvrir la queue de notre copain, de constater directement à quel point elle le faisait bander, comme il était raide et dur.
J'ai cru que ma queue allait exploser tellement la situation m’excitait...
Paul s'est redressé et a reluqué la main de ma femme en train de le branler. Il était en train de vivre un fantasme. Et moi aussi.
Alexia a posé ses mains sur les fesses de Paul, l'a attiré vers elle, s'est un peu redressée et a commencé à sucer son gland avec gourmandise. Elle le suçait avec envie, laissant voir qu’elle avait eu très envie du sexe dressé de Paul, toute la soirée.
Je me suis mis sur le lit à genoux de l'autre côté de ma femme. Elle m'a regardé, les joues roses d'excitation et a regardé ma queue bien dressée. Elle m'a attrapé puis m'a branlé et a repris la fellation de Paul de plus belle tout en continuant de me branler. Je sentais de l'électricité dans ma verge tellement j'étais excité.
Je me suis positionné entre ses jambes et je lui ai retiré sa culotte.
Puis je lui ai écarté les cuisses. J'ai vu que Paul n'en perdait pas une miette. Je lui exhibais le minou d’Alexia pendant qu'elle le suçait. J’écartais les cuisses le plus possible, voulant que Paul puisse bien découvrir la jolie chatte d’Alexia, cette copine sur qui il fantasmait depuis longtemps. Je voyais qu’il prenait le temps de bien mater, son excitation décuplé par cette vision révée. Et manifestement, la langue de ma femme sur sa queue faisait son effet, Paul avait l’air de prendre un sacré pied. La situation m’excitait à mort.
Voir ma femme qui s'était laissée caresser en boîte par un autre homme, lui laisser sentir qu'elle mouillait puis se laisser déshabiller, laisser voir son minou, et jouer avec deux queues, emportée par le désir.
On s'est mis à la caresser tout les deux, enfonçant nos doigts tour à tour dand son minou bien mouillé.
Je l'ai léché, pendant qu'elle continuait à sucer et branler Paul. Elle semblait apprécier la situation, son bassin se mouvant sous mes coups de langue. Puis je me suis remis à côté d'elle. J’avais très envi de sentir sa langue sur mon sexe tendu. Et elle m'a aussi fait profiter de sa bouche, excitée de passer à cette deuxième queue bien raide. Je sentais son excitation d'avoir ces deux queues et son envie de profiter de notre érection. Et elle me suçait délicieusement bien.
Elle continuait à branler mon Paul. Lui, toujours en plein fantasme s'est penché entre ses cuisses pour la caresser. J’ai écarté de nouveau ses cuisses pour profiter du spectacle et que mon pote puisse bien la caresser. Je le voyais caresser son minou, ses lèvres, son clitoris et glisser ses doigts en elle. Il s'est penché un peu plus et son visage a plongé entre ses cuisses. Il a commencé à la lécher à son tour.
Au bout d’un moment, j’ai fait signe à Paul qu'il y avait des capotes dans le tiroir de la table de nuit. Je l’ai fait suffisamment clairement pour qu’Alexia le voit aussi. Je voulais qu’elle sache que je demandais à Paul de la pénétrer, d’aller au bout du jeu. J'avais très envie qu'il la baise.
Et moi aussi, je sentais mon sexe hyper sensible. Pendant que Paul ouvrait le préservatif et le déroulait sur sa verge, juste à côté du visage d’Alexia, qui regardait avec envie ce sexe raide qui allait la baiser pour la première fois, je me suis mis entre les jambes de ma femme, et après lui avoir bien écarté les cuisses, je l’ai pénétré. J’ai commencé à aller et venir doucement, puis fort, puis doucement. Paul lechait les seins d’Alexia et caressait son clitoris. Je n'ai pas tardé à sentir monter le plaisir, tant j'avais accumulé d'excitation pendant la soirée. J’ai senti venir l’orgasme, puissant. J’ai éjaculé au fond de sa chatte, envahi par le plaisir d’un orgasme d’une rare intensité. Je me suis retiré et Paul n’a pas résisté longtemps à l’envie de la pénétrer, de glisser sa queue raide dans son minou bien mouillé. Du côté, engourdi par la jouissance, mais encore dur et tendu d’excitation, je regardais Paul se placer entre les cuisses d’Alexia, grande écartées pour l’accueillir. Paul saisit sa queue d’une main, fit glisser son gland tout gonflé le long de la fente d’Alexia. Puis je vis sa queue bien raide la pénétrer. Alexia a émis un gémissement de plaisir en sentant la queue raide de Paul glisser dans sa chatte. Elle s’offrait complètement. Elle a posé ses mains sur les fesses de Paul pour l'attirer plus fort. Il l'a baisé, fougeusement, profitant de ce délice. Il râlait de plaisir et elle gémissait de plus en plus fort, jusqu’à se laisser submergée par le plaisir d’un orgasme puissant. Paul se sentant venir aussi, s'est retiré de la chatte d’Alexia. J’ai compris en le voyant retirer la capote, revenir se positionner à côté d’elle, la queue tendue à côté de son visage qu’il voulait profiter encore du talent d’Alexia pour la fellation et qu’elle le fasse jouir avec la bouche. Elle l'a pris de nouveau dans sa bouche pour le faire jouir.
Il n’a pas été long à venir « Là je vais jouir ! » dit-il en râlant plus fort. Comme pour pousser à fond le fantasme, sentant le sexe de Paul se contracter, elle l’a fini en le branlant et l'a fait jouir sur son visage. Des giclées du sperme chaud de Paul ont inondées ses joues, ses lèvres.
Puis Paul, abasourdi et presque intimidé de ce qui venait de se passer, d’avoir baiser Alexia, glissa doucement et respectueusement un « merci Alexia ! C’était tellement bon », avant d’aller dormir quelques heures dans le canapé. Pour éviter toute gêne le lendemain, il est parti discrètement avant qu’on se lève avec Alexia. Il y a eu un autre épisode depuis, mais c’est une autre histoire…Paul fait toujours parti de nos potes, avec une relation évidemment toute particulière. Il n’a jamais fait la moindre allusion de cet histoire à qui que ce soit. C’est notre secret. C’est même plutôt amusant de voir qu’Alexia et lui ont exactement les même relations qu’avant.
Le lendemain, je ne savais pas comment Alexia se comporterait, si elle se sentirait honteuse ou pas de s’être livrée ainsi à Paul, dans un plan à trois. Il s’est avéré qu’elle était encore très excitée par ce qui était arrivé et qu’elle m’a livré elle-même quelques détails sur ce qu’elle avait trouvé particulièrement excitant, sur ce qu'elle avait ressenti
Le soir, on s’est retrouvé tout les deux et on a fait l’amour, encore tout habités des évènements de la nuit. C’était très excitant et le plaisir intense pour nous deux.


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