Lexi 5

John était déjà loin, même si encore très présent à mon esprit. J’avais été réaffecté au Groupement nomade autonome. Depuis deux mois, c’était le désert aussi bien pour le paysage que pour le sexe. Entre deux tournées de nomadisation j’effectuai avec mon groupe la garde du camp situé à plusieurs centaines de kilomètre de toute civilisation.
Dans ces moments, seul blanc parmi les nomades du groupe, je passai de long moment de solitude avec mes dix doigts lorsque le désir devenait trop pressant. Parfois je saisissais le regard enamouré d’un jeune nomade mais je me refusai d’avance r sur cette voie. L’homosexualité, si elle existe dans toute les sociétés, elle est plus ou moins admise lorsqu’elle est découverte. Et dans cette contrée, c’est plutôt moins … ! Dommage ce jeune homme, dont j’ai oublié le prénom, était particulièrement attirant avec ses lèvres bien ourlées, sa peau lisse, ses muscles longs et bien dessinés. Il a peuplé mes phantasmes durant plusieurs mois lorsque je faisais du cinq contre un !

L’occasion d‘une de ces gardes vit arriver un jeune métropolitain comme renfort. David, vingt-deux ans, frais émoulu de l’école des sous-off. Cela préfigurait ma relève ou celle de l’adjudant. Avec l’armée, on ne connait jamais la décision finale avant qu’elle ne tombe !

Je l’accueillais donc et faisais sa connaissance. Il venait du centre de la France, d’un village rural. Beau gosse mais sans plus. Cheveux brun, peau mate, bien musclé. Je l’emmenai au fourrier pour lui donner ses équipements nomades. D’emblée au premier regard, j’avais perçu dans son regard le « petit-je-ne-sais-quoi » qui alerte lorsqu’un gars est ému par un autre gars. Mais si trouble il y a eu, il n’en laissait rien paraitre. Je le laissais marcher deux pas devant moi. J’en profitais pour détailler son physique, des épaules larges, un dos visiblement bien musclé, un cul a priori bien rebondi sous l’étoffe flottante de son pantalon. Pas mal le mâle !
En l’absence du fourrier occupé à la sieste à cette heure-là, je donnais le matériel à David, notamment un sarouel, la cape, le burnous et la djalabah.

Le local était presque frais par rapport à la température extérieure. Assuré d’être seul avec David à cette heure, je tentais le tout pour le tout : « essaye ton équipement, si ça ne va pas, je te le change tout de suite ».
David commença à enlever sa chemise et son pantalon avant d’enfiler le pantalon ample qu’est le sarouel. Question taille, il n’y avait pas grand risque qu’il soit trop petit ! Pris d’une inspiration subite, je lâchais « pas la peine de garder ton cale bite, ici ça te donnera des démangeaisons plutôt qu’autre chose. On ne porte rien dessous ». David hésite un instant. Je suis placé légèrement derrière lui adossé à un étal. Il tourne un peu la tête vers moi « ha bon … ». Après une dernière hésitation, sa main baisse le haut de son slip sur le magnifique globe de la fesse droite. Il marque un léger temps d’arrêta avant de se séparer prestement de sa culotte. Il me fait penser à quelqu’un pris d’une soudaine détermination. J’ai maintenant sous les yeux un superbe cul surplombé d’une solide chute de rein comme seul les mecs bien bâtis peuvent être dotés. Il reste immobile comme dans l’attente d’un ordre ou d’une instruction. A croire qu’il n’a jamais été nu devant un mec. Je lâche malgré moi un petit sifflement admiratif « t’es pas mal foutu mec ! » d’un coup il me fait face. Il est rouge comme une pivoine et exhibe une superbe bite en érection !
Oua ! le mec est amateur de mec ! je comprends mieux son hésitation quelques instants avant. Il est toujours risqué de se révélé sans avoir l’assurance d’être bien compris. J’ai connu des mecs qui se sont fait psychologiquement mettre en pièce pour s’être révélé plus amateur de teub que de meuf ! Là, il n’a pas fait erreur et pour le rassurée au plus vite, je me mets à genou devant son sexe pot l’avaler doucement entre mes lèvres.
Sa queue est épaisse, large, de plus d e20 cm. Une belle barre m’envahit la gorge. Je salive un max pour lubrifier la verge et l’avale petit à petit jusqu’à l’avoir au fond de la gorge.
Ma bouche se met à la taille de sa queue. Mes va et vient se font plus souple. Sa bite est maintenant bien salivée sur tout le long. Lorsqu’il ne me reste plus que le gland dans la bouche, je fais une perfide succion afin d’exacerber son plaisir. Maintenant une de mes mains caresse ses bourses que je sens gonfler sous l’action stimulante de ma caresse. Mon autre main, se saisi du globe d’une de ses fesses et la pelote sans retenue. Je le sens fléchir les genoux, ce qui libère la raie de ses fesses. J’en profite pour y passer ma main. Très vite un doigt explore son anus. La collerette ourlée que je perçois au touché me faire penser qu’il a déjà gouté à la bite de ce côté-là. Le doigt se fait curieux et invasif. Après l’avoir salivé pour le lubrifier, je glisse vers sa rondelle et tente de le pénétrer du majeur. Je le sens se raidir pour immédiatement se détendre. Il fléchit encore les genoux pour faciliter l’introduction. Au même moment je sens sa bite se raidir dans ma bouche et tout de suite des giclées de sperme m’envahir la gorge. J’avale et recrache en même temps car la surprise ne m’a pas préparé à tout avaler. Je pressure encore ses couilles pour extraire tout le jus avant de me relever en lui donnant une belle claque sur le cul « tu m’en dois une belle maintenant ». Il murmure un timide « oui chef ». Pour le rassurer sur l’état de nos relations à venir, je le prends par les épaules et tout en lui suçotant le lobe de l’oreille je lui glisse « on fera chambre commune, j’adore ton cul, on doit être bien dedans et j’ai bien l’intention de te planter mon dard chaque soir dedans ». Un vague sourire s’esquisse sur se lèvres.

Après nous être réajusté, nous reprenons nos affaires et continuions nos activités. … avec en pensée la perspective de la nuit à venir !

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