La Caverne De Joe L'Indien

Sherry se faufila dans le tunnel obscur. Elle était dans la grotte de Joe l'Indien au Disney de Californie. Disney avait fait du bon travail en recréant cette caverne. Depuis l'entrée et tout au long du passage, elle était identique à une grotte en pierre réelle, mais ici tout était artificiel.
Leur fille Heather voulait de la crème glacée, et son mari Tom l'avait emmenée avec sa grand-mère en direction du snack-bar. Quand Sherry est entrée dans la grotte, de petites ampoules cachées dans les murs avaient vaguement éclairées le passage. Ensuite, dans cette partie de la caverne, les lumières étaient éteintes ou inexistantes. Toute cette section était obscure, ce qui rajoutait à l'ambiance angoissante du lieu!
Longeant le mur sur sa droite, elle avançait lentement en tâtonnant avec ses mains. Sherry pouvait entendre les sons d'une famille qui était entrée dans la grotte quelques minutes avant elle. Ils riaient et faisaient des blagues, leurs voix étouffées par les méandres de la grotte.
Soudain, par derrière, Sherry sentit une main sur son épaule! Elle s'est figée. La main commença à caresser son cou et ses oreilles selon un schéma familier, et Sherry se détendit. C'était Tom. Il avait décidé de laisser Heather avec sa grand-mère et de la rejoindre ici. Elle recula, s'appuyant contre Tom pendant qu'il continuait à la caresser. Son cou était son point faible, et Tom savait comment la stimuler.
Sherry a commencé par protester: « Pas ici, au milieu de Disney!» Tom la calma en plaçant sa main légèrement sur sa bouche et en lui intimant « Chut!» Il lui caressa les lèvres avec ses doigts, puis il déplaça avec légèreté sa main pour lui caresser la poitrine à travers sa blouse. Sherry a réalisé que c'était le temps de la vengeance. Son mari reprenait là où elle l'avait abandonné ce matin, sous la douche. Même à travers son soutien-gorge, Sherry pouvait sentir l'assaut de ses doigts sur ses tétons érigés.
Tom avait sa main gauche sur sa hanche.

Il la descendit en caressant doucement, palpant ses fesses rondes à travers sa jupe tandis que sa main droite martyrisait ses seins, se déplaçant de l'un à l'autre. Il se pencha sur elle et Sherry pouvait sentir son souffle chaud sur sa nuque.
Tom souleva lentement sa jupe en la caressant. Sherry gémissait doucement maintenant, elle écarta ses jambes un petit peu plus. Même si c'était complètement sombre, Sherry avait les yeux fermés pendant que Tom soulevait sa jupe complètement au-dessus de sa culotte. Il se déplaça légèrement, et Sherry pouvait sentir sa virilité rigide se presser contre sa fesse.
D'une main, Tom releva le devant de sa jupe, jusqu'à la taille. Sur son ventre nu, la différence entre la fraîcheur de l'air et la chaleur de la main a provoqué un frémissement dans son bas-ventre. Il glissa sa main dans sa culotte et commença à caresser son monticule pubien. L'autre main palpait à présent les fesses rebondies.
L'attention inattendue de son mari habituellement passif avait fortement excité Sherry. Se collant contre elle, Tom commença à la pencher en avant. Ensuite Tom saisit sa culotte à deux mains et la descendit à mi-cuisses. Il a l'intention de le faire ici même!
Même si c'était une matinée tranquille de septembre, avec peu de clients dans le parc ce matin, mais quand même ... quelqu'un pouvait entrer dans la grotte à tout moment.
Tom s'attaqua d'une main à l'entrejambe, caressant lentement sa chatte humide. Sa palpation lente était beaucoup plus érotique qu'un assaut direct dans la chatte. Ses doigts chatouillaient légèrement les poils pubiens puis sa fente. Doucement, il la taquinait, sans pénétration.
Sherry avait sa chatte en ébullition. Elle était déjà à mi-chemin de l'orgasme. « S'il met ses doigts en moi ...» Sherry aurait voulu garder un silence total dans l'étroit passage obscurci, mais elle gémit de désir.
Tom glissa un doigt en elle. Sherry gémit doucement, approuvant la pénétration. Elle était courbée en avant.
Son cul était soulevé et pressé contre son mari, partiellement aidé par les talons bas qu'elle avait préféré au lieu des chaussures plates qu'elle aurait dû choisir pour se promener dans Disney.
L'autre main de Tom était sur son sein, par-dessus son pull et son soutien-gorge toujours en place. Il se déplaça légèrement de côté, et Sherry put à nouveau sentir sa virilité se presser contre elle à travers son jean. Sherry essaya de se retenir pour ne pas encourager Tom. Elle a essayé, mais elle a échoué. Sherry laissa échapper une plainte quand elle sentit ses muscles pelviens se contracter autour du doigt. Elle était secouée par l'orgasme le plus rapide et le meilleur qu'elle ait eu depuis la naissance d'Heather!
Depuis sa grossesse, et bien que Sherry et Tom appréciaient le sexe autant qu'avant, il fallait reconnaître que la qualité et la fréquence de leurs rapports avait diminué.
La position courbée et l'intensité de son orgasme avait essoufflé Sherry. Elle se redressa un peu, les mains en appui sur ses genoux, le doigt de Tom toujours en elle. Il lui laissa une minute de répit avant de la fléchir à nouveau. Sherry le sentit se positionner directement dans l'axe de son cul. Elle entendit zipper la fermeture éclair de sa braguette. Tom voulait la consommer sur place!
Tom s'appesantit, et Sherry sentit la verge heurter la zone entre sa chatte et son trou du cul. Elle insinua sa main sous son entrejambe pour le guider. Il retira ses doigts. Sherry enroula sa main autour de la queue, et elle comprit à l'épaisseur de la chose que ce n'était pas son mari!
Choquée, incrédule, espérant se tromper, elle tâtonna un peu plus loin, testant la longueur. Nettement plus longue aussi! Sherry savait qu'elle devrait laisser tomber immédiatement et sortir de là. Cependant, prise dans l'ambiance, le cœur battant la chamade, la chatte en ébullition, Sherry ne pouvait se résoudre à lâcher la prise. Au lieu de cela, elle a commencé à caresser le membre long et épais avec sa main.
La sensation de ce pénis étranger, si imposant, si chaud, l'érotisme de la situation, enfiévrait la pauvre Sherry qui perdit la raison et guida le monstre vers sa petite chatte.
L'amant invisible et mystérieux de Sherry se détendit, se laissant guider par les doigts enroulés autour de son engin. L'étranger s'était contenu, le temps qu'elle explore son pénis et découvre que ce n'était pas son mari. Il lui avait même laissé le temps de décider si elle voulait prolonger l'expérience. Il était vraiment sûr de l'effet produit par les dimensions de son chibre face à la mignonne petite chatte de Sherry.
L'homme mystérieux (peut-être était-ce Joe l'Indien?) s’avança lentement, cramponné aux hanches de la femelle qui s'offrait. Sherry haleta tandis que le gland énorme écartait ses lèvres et la pénétrait. Le gland turgescent était encore plus volumineux que la colonne de chair.
Il resta là un moment sans bouger, pour lui permettre de s'habi, ou pour apprécier la sensation de sa tension. Sherry appréciait cette délicatesse, même si elle n'était pas sûre de sa motivation.
Il a commencé à pomper lentement, allant un peu plus profond à chaque coup de rein. Sherry, la chatte serrée sur la colonne qui la besognait, avait oublié Tom, Heather et la belle-mère.
L'inconnu, à force de pomper de plus en plus profond, heurta le fond du vagin. Sherry, pensant qu'il avait entré la totalité de sa queue dans sa chatte, tendit la main pour soupeser les boules, et fut surprise de constater qu'il restait une belle longueur à l'extérieur. Elle caressa ses couilles, s'émerveillant de leur taille et de la fermeté.
Elle a entendu des bruits à l'entrée de la grotte. Quelqu'un arrive! Sherry commença à se redresser et à se dégager de son amant. Mais il resserra sa prise sur ses hanches, l'empalant profondément sur son manche.
Il la bâillonna et l'attira vers une anfractuosité dans la roche. Sherry sentait sa culotte, autour de ses chevilles, s'étirer à chaque pas.

Ils attendaient, figés, dans un complet silence. L'inconnu continuant à agiter doucement son tomahawk en elle, juste assez pour la laisser en état d'émerveillement. Sherry n'avait pas ressenti cette sensation d'élargissement depuis ses premiers émois d'adolescente. Même lors de ses premiers rapports, l'ajustement n'avait pas été aussi serré qu'il l'était maintenant.
Les voix s'approchaient. C'était un jeune couple. La fille gloussait d'excitation tandis que le jeune homme la tripotait.
« Allez, laisse-moi toucher tes seins, personne ne peut nous voir ici.»
La fille a protesté: « ni ici, ni ailleurs, pourquoi devrais-je te laisser faire, cochon?»
Frustré, le garçon a répondu: « Je ne te comprends pas, tu veux bien jouer avec ma bite et moi je ne peux pas jouer ni avec tes seins, ni avec ta chatte.»
« Arrête de pleurnicher. D'abord, c'est à ta demande que je tripote ta bite, et je t'ai déjà dit que tu n'auras rien de plus avant le mariage.»
Ils étaient tout proches maintenant. Bizarrement, Sherry n'avait pas peur d'être découverte, courbée en deux, empalée profondément par le tomahawk d'un inconnu. Ce n'était pas Tom dans la caverne, et Sherry savait que si le couple tombait sur eux, ils passeraient leur chemin, peut-être même en sachant qu'elle était en train de se faire baiser.
Ils sont passés lentement, tâtant le mur sur la gauche, sans savoir qu'un couple forniquait juste là. Ils s'arrêtèrent juste après, si près qu'elle pouvait percevoir leur respiration. Le garçon essayait d'attr les seins de la fille qui se débattait de plus en plus faiblement.
« OK, juste une fois» dit-elle, « parce que je sais que tu ne pourra rien faire d'autre ici, alors qu'en voiture, tu ne serais pas capable de t'arrêter quand je dirai NON.»
« Vraiment? Tu veux bien?»
« Vas-y, mais doucement, ne les serre pas aussi fort, tu me fais mal, voilà, comme ça, caresse, ne pince pas!»
Sherry les écoutait, souriante. Elle était troublée par leurs jeux adolescents, avec la chatte remplie au point de jouir. Elle commençait à vraiment s'amuser! L'homme lâcha les hanches de Sherry pour s'attaquer à ses seins en la redressant, la plaquant contre sa poitrine.Il gardait son pénis enfoncé au plus profond de son vagin, écartant ses jambes pour ajuster sa hauteur. Sherry pouvait sentir son souffle chaud sur sa nuque, juste au-dessous de son oreille. Il ouvrit son chemisier et, d'un mouvement coulé, remonta son soutien-gorge sur sa poitrine, au-dessus de ses seins.
Ses mains étaient assez grandes pour empaumer ses grosses mamelles, tandis que ses doigts trituraient ses tétons érigés.
Alors qu'on lui tripatouillait les seins, son vagin dilaté par la colonne de chair, Sherry éprouvait silencieusement un spasme de plaisir.
Le jeune homme s'exclama: « C'est doux et ferme à la fois. Je ne pensais pas qu'ils étaient aussi grands.»
« Tu sais que tu es le seul garçon à les avoir caressé, j'espère que tu apprécies ta chance» gloussa la fille.
« Tes tétons sont vraiment durs, de quelle couleur sont-ils?»
Sherry, entendant ce dialogue et ressentant la caresse de l'étranger sur sa propre poitrine, se souvenait de la première fois qu'elle avait laissé un garçon tripoter ses seins.
« Bon, ça suffit, tu en as assez profité, sortons d'ici avant que quelqu'un vienne. Et puis tu vas être tout congestionné!»
« Est-ce que tu me branleras ce soir en rentrant avant que je te dépose?» quémanda le jeune homme.
« OK, dit-elle, mais dans un mouchoir, la dernière fois, tu as giclé si fort, j'en ai reçu plein ma blouse et ma jupe.»
Le jeune garçon a rigolé: « Je sais, tu as baissé la tête si près de ma bite pour me voir venir, que j'ai pensé que tu allais me sucer, et ça m'a vraiment excité.»
Les yeux de Sherry s'étant habitués à l'obscurité, elle regarda leurs silhouettes s'éloigner dans la faible lueur du tunnel.
L'inconnu baisait Sherry farouchement maintenant, se plantant au plus profond d'elle. Ses lèvres et sa langue tournoyaient dans son cou et sur son oreille. Des frissons parcouraient sa colonne vertébrale! Sa chatte ruisselait.
Sherry se demanda combien de temps il pourrait se retenir.
« De quelle couleur sont les tiens?» Il a demandé en serrant ses tétons.
« Mes tétons?» demanda-t-elle, contente d'entendre sa voix chaude et grave, chargée de testostérone.
« Oui, et aussi tes poils pubiens?»
« Mes tétons sont bruns clair, ils étaient roses jusqu'à ce que j'allaite ma fille, mes poils pubiens sont comme ma tête.»
« Châtain clair naturel?»
Elle savait maintenant. Il l'avait repérée et épiée avant qu'elle n'entre dans la grotte. « Oui»
« Bien, maintenant je sais exactement à quoi tu ressembles, habillée et nue.»
Il l'embrassa dans le cou et Sherry frissonna. Elle frissonna autant par le contact de sa bouche sur sa zone érogène, que par le fait de savoir qu'il l'avait choisie, tapi dans l'ombre, attendant la femelle qu'il désirait, avant de sauter sur sa proie comme un prédateur sexuel. Elle se sentait faible et sans défense, livrée à son appétit sexuel.
La sentant soumise, il la courba encore plus afin d'augmenter l'amplitude et la force de ses coups. Sherry haletait et gémissait sous la force de l'assaut. Il cognait au fond de son vagin, ses boules frappaient lourdement ses lèvres distendues.
Il ralentit sa cadence pour lui dire: « Trente centimètres»
« Quoi?»
« Trente centimètres. Si tu te poses la question, tu sauras ce que tu as pris dans la chatte.»
« Ooh!» Sherry ne pouvait plus soutenir une conversation. Elle sentait arriver les prémices de l'orgasme. Elle tremblait de fatigue, de froid, et d'excitation.
« Comment tu le ressens par rapport à lui?»
« Qui?» Demanda Sherry, feignant l'ignorance. La culpabilité l'envahissait de nouveau.
« Ton mari. Sa bite. Elle est comment, par rapport à la mienne?»
« La tienne est plus grande que beaucoup, je suppose ... C'est ton gland proéminent qui m'excite ... Je le sens bien coulisser tout du long … Il me fait du bien … De partout!»
« Je vais te faire prendre ton pied avant que quelqu'un d'autre ne passe par ce tunnel.»
Il accéléra encore la cadence, échappant presque, pour replonger au fond de son ventre. Ses grosses balles frappaient son pubis, agaçant son clitoris. Et il continuait à pétrir ses seins, pinçant ses tétons entre ses doigts.
En un rien de temps, Sherry s'abandonna à son plaisir, sa chatte étreignant tendrement l'arbre qui la pénétrait, plaquant ses fesses contre le pubis de l'homme qui la faisait jouir si merveilleusement. Sherry gémissait et haletait bruyamment, ne se souciant pas de qui pourrait l'entendre. Elle n'avait jamais ressenti un orgasme aussi intense.
Tandis qu'elle tentait de calmer les palpitations de son bassin sur la queue de l'homme, il la flattait:
« Ouais, chérie, c'est le son que le préfère, le chant d'amour d'une belle femme quand elle jouit.»
À bout de souffle et à bout de forces, Sherry restait penchée. Seul le long tomahawk planté en elle l'empêchait de tomber sur le sol. Mais l'homme voulait son plaisir à lui aussi. Sa récompense. Sans soucis pour l'état de fatigue de sa partenaire, il reprenait l'assaut interrompu un bref instant. Il accélérait de plus en plus vite et plantait son bâton en elle de plus en plus fort. Les hommes font ça. Tom l'a fait. Les autres garçons qu'elle avait connu avant l'avaient fait aussi. Les hommes ne semblaient pas pouvoir résister. Sherry se demandaient à quoi ressemblerait l'orgasme masculin si l'homme continuait à pomper lentement.
Joe l'Indien la poignardait profondément, juste au bord de la douleur, et pourtant c'était si bon.
« Oui, bébé, viens maintenant» lui chuchota Sherry par-dessus son épaule.
Toujours penchée, elle attrapa ses couilles pour le masser pendant qu'elle parlait.
Sherry se détendit, laissant son esprit se concentrer sur l'énorme bite qui la travaillait si merveilleusement.
Sherry sentit ses boules se contracter alors que son orgasme approchait. Incroyablement, son pénis semblait augmenter en taille. Elle gémissait bruyamment pour l'encourager.
« Maintenant, oh oui, viens bébé.»
Sherry sentit ses boules se contracter encore plus tandis que l'éjaculation trempait l'intérieur de sa vulve. Elle n'avait jamais senti un homme venir aussi fort, ni reçu une telle quantité de sperme en elle, et son orgasme semblait durer éternellement. Il gémissait et grognait doucement, comme un animal repu.
Sherry était à nouveau prête à jouir. Elle sentait l'orgasme remonter du fond de son ventre tandis que les pulsations de l'homme décroissaient.
« Ne t'arrête pas, juste un peu plus, s'il te plaît!»
L'inconnu resserra sa prise sur ses hanches et recommença à pomper. C'était juste à temps, et en gémissant, Sherry a reçu en cadeau un dernier orgasme, plus doux que le précédent, mais tout aussi merveilleux.
L'homme la soutenait. S'il ne l'avait pas fait, Sherry se serait effondrée. Elle était totalement épuisée et repue. Elle était heureuse de se blottir contre son violeur.
Il se dégagea lentement, et Sherry haleta quand son gland étira ses lèvres en sortant. Elle se sentit affreusement vide. Il s'accroupit pour lui remonter sa culotte. Elle était heureuse de cette délicatesse, car dans son état de fatigue, elle aurait eu du mal à le faire.
Sur une pulsion, Sherry se retourna et l'enlaça. Il a semblé surpris, mais l'a tendrement étreint en retour. Elle lui offrit ses lèvres et, même dans le noir, il comprit sa demande, et l'embrassa langoureusement. Il embrassait bien, et sa langue explorait fermement sa bouche.
Sa jupe toujours roulée autour de sa taille, Sherry pouvait sentir son membre chaud contre sa cuisse. Elle s'en empara, le câlinant pendant qu'il l'embrassait. Il était devenu flasque, mais même ainsi, il était encore épais. Elle soupesa ses testicules, déclenchant la résurgence de l'humidité au fond de sa chatte.
« Heureuse de m'avoir essayé?»
« Oh oui, merci, c'est la première fois que je reçois trois orgasmes successifs, dont deux avec ta bite.»
« Te te remercie aussi. Ton corps est génial, et ta chatte est juste parfaite pour mon sexe, c'était le meilleur coup depuis longtemps.»

Il l'embrassa tendrement en lui caressant le cul. En lui pinçant les fesses, il lui murmura à l'oreille:
« Tu es belle, je suis jaloux de ton mari, mais il est préférable de s'interrompre.»
Sherry sourit: « Sinon, tu ne sera plus capable de la remettre dans ton pantalon?»
Ils se séparèrent, et à contrecœur, Sherry commença à se rajuster. Elle remit son soutien-gorge en place, ajustant les bonnets. Elle défroissa sa jupe, fit bouffer ses cheveux et se retourna vers lui. Elle a tendu la main. Il n'était plus là! Elle a tâtonné à droite, puis à gauche. Personne.
« Heu ... Hello … Tu es là?» elle a chuchoté, mais il était parti, aussi mystérieusement qu'il était venu.
Sherry aurait voulu prolonger l'instant. Déçue, tâtonnant dans l'obscurité, Sherry se dirigea vers la sortie. En arrivant dans la partie éclairée de la grotte, elle vérifia sa tenue. Ne trouvant rien d'anormal, elle sortit de la grotte.
Couvrant ses yeux, elle a rapidement scanné les alentours. Ne voyant pas sa famille, elle examina de nouveau les environs, espérant apercevoir son mystérieux amant. Il y avait peu de mâles, et ceux qu'elle voyait ne correspondaient pas à l'idée de l'homme qu'elle recherchait.
Sherry a retrouvé sa famille à leur retour du snack-bar. Elle craignait que son mari ou sa belle-mère remarqueraient quelque chose de désagréable, mais ils ne firent aucun commentaire. Tom a juste dit qu'elle avait les joues bien rouges, et Sherry a répondu qu'il faisait chaud dans la grotte.
Quelques instant plus tard, Sherry s'engagea dans les toilettes pour dames. Sa culotte était trempée! Dans le cabinet, elle a enlevé sa culotte et a essayé de l'essuyer avec du papier toilette. Elle a séché sa chatte baveuse du mieux qu'elle pouvait. Ses lèvres étaient très sensibles. Explorant avec ses doigts la cavité, elle résista à l'envie de se masturber en fantasmant et replaça sa culotte. Sherry bourra plusieurs couches de tissu dans la culotte pour étancher le ruisseau qui semblait couler sans fin hors d'elle.
Elle pensait à son mari et ne se sentait pas coupable. Ce n'est pas comme si j'avais une liaison avec quelqu'un.
Ce n'est pas homme, c'est un fantôme.
Sherry passa le reste de sa journée à Disney à fouiller les visages et à évaluer les corps de tous les hommes qu'elle croisait.
Elle n'en a pas repéré un qui aurait pu être son amant. Elle finit par fantasmer que son inconnu était Joe l'Indien, pris au piège dans la grotte comme il l'était dans le livre.
Maintenant, après sa mort, il était condamné à perpétuité à hanter ces lieux, pour satisfaire des femmes salaces et infidèles.

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