Collection Voyeur. Véronique Se Lâche (1/1)

À deux doigts de nous retrouver sans domicile fixe, avec une dette énorme qu’Urbain un copain de jeunesse rencontré par hasard dans un bar, me propose son aide.
Il possède douze logements dont certains sont vides, dans notre ville, il est prêt à nous en céder un, mais il y a un « mais ».
Ces logements possèdent des caméras dans toutes les pièces permettant à des voyeurs de satisfaire ce qui peut être considéré comme un vice, le voyeurisme.
Pour satisfaire leur envie, ils peuvent payer sur le site « La maison des voyeurs » ou ses caméras sont branchées afin de nous voir vivre comme tous le font chez eux, c'est là que le bât blesse, Véronique mon épouse assez prude va-t-elle accepter de s’exhiber, surtout dans nos rapports sexuels.

Je lui explique la situation où nous nous trouvons et après bien des hésitations, elle accepte et la première fois devant les caméras elle vient me faire une fellation avant de se laisser baiser.
Des caméras sont ouvertes à tous afin d’appâter les voyeurs, d’autres comme celle dans notre chambre, dans notre salle de bains, même dans la pièce principale sont payantes et montrent des angles bien plus hard étant plus rapprochés de nos ébats.

Ce qui aide Véronique à sauter le pas, c’est que nous sommes payés au prorata du nombre de voyeurs qui nous suivent, c’est ainsi qu’Urbain nous propose des rencontres avec des personnes seules ou des couples exhibitionnistes et échangistes qui viendront dans la journée et la soirée pour assouvir leurs vices eux aussi.

Ce soir, sur l’ordinateur dans la seule pièce sans caméra, j’ai un message d’Urbain.

« Ce soir, vous recevez un homme, il va s’occuper de Véronique en même temps que toi, je sais, c’est dur d’offrir son épouse à la bite d’un autre homme.
Il se prénomme Landry, il a votre âge, c’est un culturiste, il devrait lui plaire.
Il est prouvé que les regards augmentent quand tu annonceras à ta femme qu’elle lui appartiendra, Simon aucune crainte, dans les jours prochains, c’est toi qui auras une jolie petite chatte à t’occuper.

»

Je vais dans la cuisine où elle prépare le repas.

• Véro, je vais faire des courses, ce soir mon ami Landry, tu sais celui qui fait du culturisme, va passer la soirée avec nous, je souhaite le recevoir le mieux possible.
• Il faudra que.

Elle s’arrête.

• Oui, mais je serais avec toi.
• Va faire les courses, je vais faire le ménage.

Quand je descends, récupérer ma voiture qui à quelques heures près si je n’avais pas rencontré Urbain, nous aurait servi d’habitation, je vais vers le super marché à l’autre bout de notre ville.
De retour à l’appartement, Véronique est sous la douche, je la rejoins.

• Savonne-moi le dos, mais dis-moi, comment as-tu connu Landry ?

La salope, elle est maligne, elle sait que j’ignore qui est ce garçon, la seule chose qu’Urbain m'a dit, c’est qu’il était culturiste et qu’il avait notre âge.

• Salut Simon, heureux de te retrouver, alors tu as enfin épousé notre amie Véronique, est-elle toujours autant portée sur le sexe ?
• Tu le verras par toi-même, tiens la voilà.
• Landry, mais dit donc, tu as encore pris du muscle, donne ton secret à ton copain, je trouve qu’il s’empâte.
• C’est facile, je vends du matériel de culturisme, si tu veux, je vous fais livrer deux ou trois appareils, ils iraient très bien dans ce coin, tu pourrais en profiter aussi.
Je vous ferais un prix d’ami.
• C’est d’accord, tu me donneras la facture, c’est bientôt son anniversaire, ce sera son cadeau.

Il y a du bon dans nos malheurs, je vais pouvoir reprendre ma musculation à domicile certes cela va retarder le remboursement de notre dette, mais je vais de nouveau avoir des abdos en tablette de chocolat.

• À table, Landry à ma droite, Simon à ma gauche, tu aimes toujours autant les pizzas, Simon en a prévu au menu.

Comme elle s’est placée, les deux caméras payantes à notre droite et notre gauche, verront ce qu’elle nous fait au bout d’un moment, la caméra non-payante nous montrera sans que les voyeurs ne payant pas sachent ce qui se passe à hauteur de ses mains.

Nous discutons du dernier match de foot de la France, qui la qualifie pour la coupe du monde à Moscou, quand je sens la main de ma femme sur mon genou.
Je ne vois pas de l’autre côté, mais comme sa main est placée, elle doit aussi être sur son genou.

• Mais dit-moi, Landry, cela développe aussi ton engin, je le trouve plus gros qu’il y a quelques années, sort moi-là, toi aussi Simon, quelle chance d’en avoir deux à ma disposition, j’en ai souvent fantasmé.
• Ne rigole pas, mes pectoraux si tu veux, ma bite, il y a bien longtemps qu’elle a ces proportions.
Dis-moi, ta poitrine a-t-elle pris du volume.

En prononçant cette phrase, il se penche et saisissant le bas de son tee-shirt, il lui enlève, ses mains quittant un instant nos verges.
J’ai une femme formidable, passé de la vierge effarouchée à la salope qui s’exhibe, soit elle avait ces fantasmes en elle, soit elle veut se faire pardonner son aventure avec le black au supermarché.

• Mes seins sont toujours les mêmes, Simon n’a pas trouvé comment me faire un pour qu’ils soient plus gros, Landry vient dans la chambre me faire voir comment il faut faire.
Simon va finir ton travail dans le bureau, à tout à l’heure.

C’est bien une salope, elle vient de m’expulser de mon lit pour y mettre Landry, elle doit être amoureuse des gros bras et les miens dégonflent, dès que le matériel est là, je vais soulever des tonnes de fonte.

Je les vois partir, je traîne, mais je veux savoir, pour ne pas dire voir, je vais dans le bureau, l’ordi est branché sur le site, il est vrai que Véronique passe du temps ici, c’était le cas avant que Landry n’arrive, elle regardait un couple qui baisait dans leur chambre, mince, c’est Victoria, qui est le mec avec elle ?

Alain son mari ou un amant comme Landry, va devenir celui de Véronique, j’entre dans le couple Véronique et Simon, dans notre chambre, ma compagne a enlevé le pantalon et est déjà avec sa bite dans sa bouche, j’ai un moment de jalousie rétrograde, mais je vois passer devant mes yeux les jolis billets que cela va nous rapporter.


N’étant ni voyeur, ni candaulisme, je me connecte à l’appartement de Susy et Olane, le prénom du garçon est bizarre.
Dans la salle qui me donne l’impression de déjà vue, la dénommée Susy fait son ménage, elle est nue comme Urbain nous a conseillés de l’être quand nous sommes seuls, elle passe l’aspirateur, cette jolie blonde me dit quelque chose, mais qui ?

Merde, pardon, mince, Susy, c’est la jeune femme que j’ai rencontrée devant l’ascenseur, j’ai même été à l’intérieur avec elle, elle a un cul à faire bander les morts, j’ai réfréné ma main pour qu'elle n'aille pas le caresser.
C’est ma voisine du dessous, appartement opposé au nôtre, Urbain est un cachottier, ils ont deux logements dans notre immeuble, voilà pourquoi j’avais une impression de déjà vue.
Une idée me vient, Véronique me fait cocu, pourquoi ne pas en faire de même, je sors discrètement, si le pognon tombe grâce à ce qui se passe dans notre chambre, pourquoi risquer d’en perdre.
Je descends à pied, il faut que je commence à faire du sport, je sonne.

• Bonjour, on se connaît de vue, je vous ai croisé dans l’ascenseur.

La jeune femme a passé un peignoir en voile noir, ça rehausse sa couleur blonde, je vois sa toison et ses seins assez généreux en transparence, il faut être gonflé pour ouvrir, dans cette tenue.

• Simon, que veux-tu, je viens d’aller devant l’ordinateur, j’ai vu Véronique se faire baiser par Landry, une pointure celui-là.
• Je tombe des nues, on se connaît autrement que dans l’ascenseur, je venais demander si vous aviez de l’huile.
• Entre, je vais t’expliquer, Urbain nous a demandé de ne pas vous approcher tant que vous n’auriez pas compris qu’ils avaient deux logements ici, il prévoit un rapprochement la semaine prochaine.
• J’ai l’impression d’être manipulé.
• Au départ cela fait ça, tu remarques que je suis existentialiste, mais puisque tu es dans notre salon, pourquoi ne pas joindre l’utile à l’agréable.


Nous parlons de cela alors que les micros captent tous, j’entendais Susy chanter en passant son aspirateur, les voyeurs doivent se foutre de ce qu'on dit, ces dames veulent voir ma bite, ces messieurs, sa chatte.
En pensant à cela, j’ai une image qui vient devant ma rétine, si c’était l’inverse, si des hommes mataient ma bite.
Heureusement, Susy s’approche et m’embrasse, je commence à bander surtout quand elle met sa main sur ma verge, elle s’agenouille, j’ai un pantalon de survêtement décontracte que j’avais mis pour recevoir Landry, il descend sans aucune résistance et mon sexe se retrouve bien au chaud.
Qui lut cru, il y a peu, je me fais faire une fellation pendant qu’au-dessus de ma tête ou à peu près, Véronique doit l’avoir dans sa chatte.

J’essaye de résister, mais cette nouvelle bouche pour moi, surtout qu’elle se sert de ses mains, j’arrose le fond de sa bouche, gourmande la Susy, elle avale tout et me nettoie mon pieu.

• Allons voir ta femme sur l’ordinateur, tu connais le chemin, c’est le même que chez-toi.
• Depuis que je suis descendu, ils doivent avoir fini !
• C’est mal connaître Landry, avec lui ça dure une plombe, il te met la misère, j’aime quand il sonne de façon impromptue comme tu l’as fait tout à l’heure.
Regarde, elle apprécie, il la prend en levrette, tu avais entendu ta femme vagir autant qu’il la fait vagir, mais que fais-tu, oui vas-y.

Je viens de coucher Susy les seins sur le bureau, j’ai le temps de voir son magnifique cul quand ma pine ayant repris des forces la pénètre.
Elle se met à barrir autant que Véronique vagis, plus mon regard se porte sur l’écran et plus je prends avec rudesse Susy qui apprécie le traitement.
À l’étage supérieur, l’amant de ma femme décharge en elle, au même moment que je remplis la chatte de mon amie, une seule différence, les mateurs voient Véronique, alors qu’ici, nous avons baisé incognito.

Un dernier baisé et je remonte, quand j’entre dans notre chambre, Landry est parti laissant Véronique affalé sur notre lit, de sa chatte, le sperme de son amant coule, incroyable, je bande de nouveau malgré Susy.
Pantalon baissé, je vais sur le lit, je me couche sur ma femme et je la plante, sa chatte est tellement lubrifiée que je coulisse sans aucune difficulté jusqu’à mélanger mon sperme avec le premier homme qui m’a fait cocu.
C’est sûr, Véronique, s’est lâchée.

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