La Vengeance D'Une Femme Délaissée

Avec Bruno, mon mari depuis cinq ans c’est un peu la calme plat à tous points de vue, ce qui vient de faire déborder le vase c’est son oubli de notre anniversaire de mariage, je me sens délaissée, fini ses ingéniosités au lit, c’est désormais l’amour ‘à la papa’ en position du missionnaire une fois par semaine, ce que j’appellerais ‘tirer un coup par hygiène’
Rien de pire qu’une femme qui se sent lâchée, dans ma tête des idées de vengeance prennent forme, surtout que depuis une semaine je croise un homme tous les jours à la même heure sur le trottoir qui mène à mon travail, à chaque fois que nous nous croisons il me sourit, il doit être légèrement plus jeune que moi, j’en ai trente-six, qu’importe, j’adore son allure volontaire, bien habillé dans un costume bien taillé, sans cravate ce qui dénote sa simplicité
Lequel aura l’audace d’aborder l’autre ? dans l’ordre des choses ce serait à lui de faire le premier pas, sans doute est-il en couple et fidèle ? comme moi, mais pour combien de temps ? ce matin j’ai fait une avancée, je l’ai vus ouvrir un magasin d’ameublement, c’est donc là qu’il bosse ? et si j’allais voir des rideaux ? justement il me faudrait en changer à la maison, ce soir en revenant je m’y arrête !
Toute la journée je me sens comme une collégienne qui aimerait aborder un mec ! ma tête est vidée des tracas du foyer, c’est une véritable renaissance, ce qui me conforte dans ma décision de donner une bonne fois un avertissement à mon imbécile de mari
Dès que je suis entrée en me voyant ‘il’ a affiché un large sourire et est venu vers moi d’un pas décidé, commerçant ou curieux de faire ma connaissance ?
- Bonjour mademoiselle, désirez-vous un renseignement ?
- Bonjour je viens juste par curiosité voir vos rideaux, il m’en faudrait pour mon salon et je suis indécise
- Grandes baies , petites baies ? quelles largeurs ? quelle hauteur de plafond ? voilages, tentures ?
Harcelées par ses questions pertinentes je me sens perdre pied et rougir devant Arnaud (puisque c’est le prénom affiché sur sa veste ouverte) pendant qu’il détaille ma silhouette, mes jambes et surtout ma poitrine sans doute parce que juste avant d’entrer j’ai fait sauter un bouton à mon chemisier ? … j’ai le temps de remarquer quelques poils frisés qui dépassent de la chemise… signe de virilité ? il y a longtemps que je n’avais ressenti cet agréable petit pincement qui me signale que ma petite culotte va être tachée …
- Excusez-moi je n’ai pas tous ces renseignements ! je voulais juste voir les différents motifs …
- Je vois …suivez-moi …excusez-moi mademoiselle, votre visage m’est familier, nous nous connaissons ?
- Heuuuu je ne crois pas, à part le fait que nous nous croisons dans la rue chaque matin !
- Suis-je bête, c’est cela ! j’ai tout de suite remarqué votre démarche féline, regardez ces modèles de voilages, si vous voulez voir ce que ça donne en réalité je viens d’en poser chez moi … excusez-moi une seconde fois, inviter une jeune femme a la maison est déplacé …
- Pourquoi pas ? je vais en parler à mon mari
- Ah … vous êtes mariée ?
- Si peu ! en ce moment je cherche de l’évasion, c’est pourquoi je me concentre sur l’ameublement !
- Je suis passé moi aussi par les problèmes de couple mais c’est du passé, je vais vous laisser ma carte si vous êtes intéressée revenez me voir
Tandis qu’Arnaud griffonne je ne sais quoi au dos de sa carte je me prends a rêver… qu’il doit être bon d’être blottie dans ses bras puissants, ses lèvres collées aux miennes, ses mains …
- Voilà ma carte charmante petite dame, prenez le temps de réfléchir.

.. à bientôt ?
- Sans doute, merci monsieur Arnaud …
- A bientôt charmante Maude ?
- Qui sait … au revoir
C’est à peine si mes jambes me portent, je me sens euphorique, le courant d’air frais sur mon entre jambes me le confirme, je mouille ! au moment où je vais fourrer la carte dans le fouillis de mon sac à main je vérifie ce qu’il a écrit au dos … : ‘ Maude, je vous attend demain quatorze heures au 27 rue des champs - Arnaud ‘
Carrément un rencard ? il se prend pour qui ce mec ? en même temps c’est bien ce que je cherche non ? Arnaud est bel homme, certainement pas le genre à sauter sur tout ce qui bouge …et puis c’est commercial je veux seulement voir ses voilages …
J’ai mis un temps fou à épiler ma toison dorée, à quoi bon avertir Bruno que j’ai pris mon après-midi ? en sous-vêtements j’ai mis un coordonné bleu électrique balconnet qui met mes deux seins en valeur, pour le bas c’est un peu différent ma chatte a tendance à bouffer l’étroite lanière et le tissu n’est pas très absorbant mais il est tellement sexy…, j’ai fait les cent pas durant vingt minutes avant de me décider à sonner, ce qui me vaut un mal aux pieds carabiné, il y a un bail que je n’avais mis ces escarpins
- Oui ?
- C’est Maude …
- Montez Maude, je vous ouvre
Mon estomac noué m’empêche de réfléchir, que vais-lui dire ? heureusement l’homme sait comment gérer une telle situation, Arnaud m’invite gentiment à m’assoir pendant qu’il fait passer deux cafés, mes yeux examinent les voilages posés aux grandes baies vitrées qui sont, je le reconnais, d’un bel effet, inconsciemment je me masse la cheville endolorie, ce qui a pour conséquence de me faire oublier de serrer les genoux
- Vous avez mal aux pieds Maude ?
- Le manque d’habitude des talons hauts !
- Rien de plus douloureux, déchaussez-vous, il ne faut pas rester ainsi
- Merci...
- Savez-vous qu’avant de vendre des rideaux j’étais kiné ?
- Non ?
- A la mort de mon père j’ai décidé de prendre sa suite, donnez-moi votre pied Maude
- Ça me gêne …
- Ça me fais plaisir … aaaahhh, pardon, c’est sans doute le fait que par la position je vois votre jambe ?
- Un peu …
- Vous savez, lorsque je faisais des massages mes clientes étaient souvent entièrement nues
- Ça ne vous faisait pas d’effet ?
- Je restais professionnel, même si je reconnais que parfois …
- Vous dérapiez ?
- Ne parlons pas de cela, détendez-vous je vais vous masser, laissez-vous aller en arrière …
Je préfère fermer les yeux car je suis consciente qu’il voit la couleur de mon string qui, vu la gêne que je ressens a la chatte, est sans doute à moitié logé entre me lèvres, ses doigts souples et fins font des miracles de mes orteils à mon mollet… même de plus en plus haut ? je me laisse ouvrir les jambes tandis que les mains d’Arnaud progressent maintenant au-delà du genou, des gémissements m’échappent lorsque mon talon reconnait une bosse significative sur le haut de sa cuisse que je ne prive pas de faire rouler
- Tu es belle Maude … tu sens mon désir ?
- Ooooooiiiiiiiiiiiiii ….
Moi aussi j’ai du désir Arnaud …
- Je vois ça ... tu es trempée, tu veux que je retire cette culotte qui doit te gêner ?
- Si tu veux, ça me fais mal au clitoris …
- Soulève-toi … et voilà... mmmmmuuuuuummmmmmmmmm, tu sens booooonnnn …
Je ne réponds rien, mais en rectifiant ma position Arnaud ne peut que comprendre ce que j’attends de lui, les genoux repliés et béants sur ma chatte tout aussi béante et dégoulinante, offerte comme une catin impatiente de tirer un coup, un froissement de vêtements m’indique que l’homme se débarrasse rapidement de vêtements inutiles, pour ne pas être en reste je déboutonne entièrement mon corsage, ma jupe roulée a la taille il ne reste plus que le mini balconnet qui contient mes seins dardés , un genou pèse sur le coussin entre mes cuisses, une main refoule le soutien-gorge pour malaxer mes nichons ,un souffle parcoure mes lèvres intimes juste avant qu’une langue fouineuse me fasse arquer les reins en pénétrant dans mon vagin … désolé pour toi Bruno mais tu vas être cocu ….
Mon clitoris est refoulé en tous sens m’arrachant des cris de pucelle, des doigts accompagnent la langue tantôt souple loin à l’intérieur de ma chatte tantôt dure lorsqu’elle tourne autour de mon anus et s’y attarde…
- Vient Arnaud …
- Merci, j’en ai trop envie, ne bouge pas …
- Rrhhhhhhhaaaaaaaaaaooooooooooouuuuuuuuiiiiiii !!!
- Mmmmmmmmmuuuuuuuuuuuummmmmmmmm, j’aime ta chatte !
- J’aime ta queue, cogne aussi fort que tu peux
Imbriqués étroitement nous baisons comme si notre vie en dépendait, nos bassins se télescopent violemment, les bruits humides s’ajoutent aux claquements des chairs heurtées, mes dents se plantent dans l’épaule de mon amant lorsqu’il s’épanche puissamment en moi, nous reprenons respiration tandis que nos corps tressautent encore à cause de l’orgasme qui s’éteint doucement
- Encule-moi Arnaud …
- Quoi ?
- Tu as bien entendu, encule moi
- Si tu y tiens
- Je vais me retourner ainsi
- Quelle belle croupe, laisse-moi donner un dernier coup de langue sur ta rondelle avant d’y planter ma bite
- Vas-y …
Arnaud ne dit rien mais je sens mon vagin se vider sur son canapé de cuir, je saurais par la suite qu’il a déposé sa chemise entre mes cuisses afin d’éponger l’hémorragie et protéger le cuir blanc, sa verge glisse dans ma raie, je vais y passer….
je n’appréhende même pas la douleur tellement je suis décidée à me faire baiser cet après-midi, deux mains puissantes me soutiennent pour mettre ma cible a bonne hauteur, la verge raide est désormais pointée sur mon anus qui cède peu à peu , une déchirure me fait grimacer mais trop fière pour afficher une souffrance, je subis la lente pénétration qui je le sais, va se transformer en un immense plaisir anal
- Tu me serre la bite … ça y est je suis entièrement en toi
- Je le sais
- Pas mal ?
- Non, encule moi à ta guise, fait moi jouir du cul
Mon amant providentiel se met en mouvements, la tête enfouie dans un coussin je vais au-devant de sa queue, afin de jouir plus vite ma main va titiller mon clitoris encore recouvert de mouille et de sperme, Arnaud se penche sur mes reins pour empoigner un nichon, il ne m’en faut pas davantage pour exploser à nouveau, mes entrailles sont inondées tandis que ma chatte pisse de bonheur, je m’affale comblée et repue, ce soir il me serra difficile d’expliquer ma lassitude a Bruno, en même temps je ne compte pas lui cacher mon adultère, a lui de choisir en me redonnant goût au sexe ou en me laissant vivre cette aventure qui risque de durer dans le temps …

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