Collection Tabou. Les Mimosas (3/7)

En me retirant dans le chalet au plus haut de ma résidence, j’étais loin de penser que ma retraite que je pensais être tranquille prendrait une accélération aussi importante.
Ce chalet, lieu de mes premiers moments de bonheur avec mon épouse, qui m’a hélas quitté à la naissance de mon fils.
Ce chalet où je trouve la quiétude de l’écriture sur sa terrasse en admirant les mimosas encore en fleurs pour quelques jours.
Ce chalet où je me suis aperçu qu’un papier collant obstruant la fenêtre donnant sur le terrain de ma nouvelle voisine, une magnifique rousse notaire à Hyères se prénommant Blandine.

Blandine que j’ai hâte de retrouver dimanche, elle m’a invité pour me remercier quand lors de notre rencontre impromptue alors que je me rendais au village comme souvent le matin, je lui ai réparé son portail.

• Bonjour monsieur Chris, j’ai de la chance de vous croiser, j’ai un colis pour votre fils et sa femme, il n’est pas en recommandé, je peux vous le confier, vous me ferez gagner du temps en m'évitant de monter jusque chez vous, pardon, chez eux.

Je n’avais pas prévu de passer chez ma bru, que je savais être seule, je suis peut-être un homme qui aime le sexe, mais me faire sucer de façon régulière par la femme de mon fils a tendance à me donner des remords.

• Vous voilà beau-papa, j’avais quelque chose à vous confesser.
• Laisse les curés hors de nos affaires de famille Olga, il y a bien longtemps que j’ai perdu l’habitude d’aller à confesse.
• Je comprends ce que vous voulez dire, beau-papa, non, ce que je veux vous confesser reste dans le cadre de notre famille, je crois que votre fils est stérile !
• Comment le sais-tu, vous avez consulté ?
• Il refuse, pour lui son sperme est tout à fait capable de me faire un , j’ai beau me faire baiser presque tous les soirs, tous les mois mes règles sont là, je désespère, car pendant ce temps, il me prive de ma gourmandise.


• Mon sperme ne te suffit pas !
• Beau-papa, il est savoureux, mais vous n’avez plus vingt ans et j’ai peur pour votre cœur si j’insiste trop, je tiens de plus en plus à vous.
• Arrête petite fille, je refuse que tu tombes amoureuse de moi, je me vois mal apparaître dans le village comme celui qui a fait divorcer mon fils, ayant baisé sa femme.
• Je comprends, je vais voir ce que je peux faire, j’ai mes règles depuis hier, je lui donne encore un mois, sinon, je verrais quelle décision, je prends.
En attendant, je peux vous prendre dans ma bouche, cela m’apportera un peu de réconfort au milieu de tous mes soucis.

Pour la première fois, depuis que j’accepte qu’elle me suce, qu’Olga me pompe dans mon ancienne maison, j’ai l’impression de cocufier encore plus ma progéniture, quand je remonte chez moi, les couilles bien vides, je sens le besoin de continuer les aventures de Blanche.

« Après la surprise de voir Nat mon beau mâle épargné au profit de mon vieil amant qui avait reçu les coups de fouet le laissant certainement mort, père donna des ordres à ses contremaîtres.

• Allez dire à Nat mon esclave que je lui confie la conduite de la calèche à la place de Tom, rappelez-lui bien qu’un lieu, un coup de fouet, mais qu'aussi mes molosses ont toujours rattrapé ses congénères essayant de m’échapper.

C’est ainsi que je sortais avec mère pour des promenades dans nos champs, mère savait qui lui apportait la cravache tous les soirs et qui l’avait privé de la queue de celui qui était devant nous.
Un jour lors d’une promenade, j’ai voulu me mettre bien avec mère, jusqu’à ce qu’elle devienne ma rivale, nous étions assez complices.

• Nat, arrêtez la calèche sous ce bouquet d’arbres, je dois m’isoler.
• Bien m'dame, je suis à votre service.
• Mère, venez avoir moi, vous surveillerez à ce que personne ne vienne,

Nous sommes descendues, je suis passée derrière un gros arbre lui faisant croire que je me satisfaisais, quand je suis ressorti, je savais ce que j’allais faire.


• Nat baisse ton pantalon !
• Blanche, que vas-tu faire !
• Du bien, mère, vous allez apprécier !
• Nat présente ta verge à mère, tu vas voir, elle est accro au sperme, vide-toi les couilles dans sa bouche.

Mère s’est agenouillée et a pris en bouche la verge gigantesque, un moment, j’ai eu peur d’être jalouse, mais au contraire, j’adorais voir ce couple impossible en Virginie, se livrer à cet acte sexuel.
La fellation, ce fut lors de cette première sortie, quand nous rentrions, mère rejoignait sa chambre et moi ma broderie devant notre maison à l’ombre.»

• C’est direct, mais cela me plaît, c’est vrai que depuis que j’ai vu ta chatte rousse, tu m’as fait bander et que j’ai envie de toi.
• Tu as vu ma chatte rousse, tu es un mateur !
• Non, c’est un fait du hasard, je vis depuis peu dans le chalet au-dessus de nous, c’était là que j’ai vécu jusqu’à la construction de ma maison un peu en contrebas et que tu vois de la route.
J’ai donné mon ancienne maison à mon fils et sa femme pour leur éviter de vivre dans la rue, après une mauvaise affaire.
• La jolie fille que je vois se faire bronzer sur sa terrasse, c’est ta belle-fille, je ne savais pas, mais comment m’as-tu déjà vu nue ?

Je lui raconte le problème sur la feuille opacifiant la fenêtre sans lui parler des sucettes que je me fais faire à la suite de la vision de sa nudité.
J’enlève mes vêtements, je bande, j’aurais dû faire monter Olga chez moi pour être plus calme arrivé ici, mais comment aurais-je su que Blandine était en manque de sexe, certes, il y a le gode qui aurait pu être un indice.
Alors j’y vais directement, je m’agenouille à la hauteur de la touffe rousse et quelques secondes après mon nez vient constater par lui-même ce que l’on dit sur les rousses.
Pour Olga, mon sperme est poivré, pour Chris, la chatte est vraiment très odorante, ma langue trouve rapidement des vagues de cyprine qui déferle quand je lui suce le clitoris.

J’ai entendu parler des femmes fontaine, j’en ai eu sous les yeux, je devrais dire sur ma langue, surtout qu’elle a écarté ses cuisses encore bien fermes.

• Attends, viens sur la pelouse, le transat ça fini par être inconfortable.

Nous glissons sur l’herbe tendre, elle passe sa main, me sent tendu à mort et c’est elle qui me place dans son vagin dans la classique position du missionnaire, mais ses jambes venant enserrer ma taille.
Dans cette position, pour la première fois, nos bouches se soudent, elle finit par éclater et moi aussi dans la même gerbe de plaisir.
Nous nous sommes glissés dans l’eau ce qui m’a fait un bien fou et malgré mon âge, je lui ai servi le plat qu’elle a l’air d’apprécier, c’est après un serment de revenir par le trou de la haie de cyprès que nous nous séparons tard dans la nuit.

Le lendemain, j’écris jusqu’à 9 heures quand Olga entre, elle a mis un débardeur et un short ras sa moule.

« Depuis que père a confié à Nat la conduite de notre calèche et aussi l’entretient de nos chevaux, nous faisons de fréquentes sorties, c’est le cas aujourd’hui, père étant parti à la ville au marché aux esclaves afin de remplacer le vieux Tom.
Il y est déjà allé la semaine dernière et nous en avons profité pour sortir faire un tour, à son retour, il avait acquis un couple de jeunes ayant résisté à la traversée.
Je vais m’apercevoir, que c’est la jeune négresse qui l’avait fait flipper, il refusait à mère de se faire sauter par des noirs, mais ne rechignait pas à enfiler la chatte de jeunes femelles de la même couleur. »

J’en suis là de mon histoire au moment ou Olga me rejointe sur ma terrasse…

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