Echange Des Corps (3)

Phil tombe amoureuse.

Sans y penser, Phil attira le visage de Fred et l'embrassa, utilisant sa langue, emportée par la passion.
« Oh Fred, ta grosse queue, c'est si bien, si bonne ... c'est comme si c'était la première fois … je n'avais jamais été baisée comme ça avant ... »
« Tu m'as déjà dis ça, bébé, que tu n'avais jamais connu la jouissance avant que je ne vienne baiser ta chatte épilée d'épouse chaste.» Phil était vexé, mais sa chatte se plaisait tellement que la blessure était mise de côté dans son esprit. Plus tard, il y penserait, mais pas maintenant.
« Oui, oui. Baise ma chatte d'épouse infidèle comme tu sais si bien faire.» Phil était plus enclin à la clémence envers sa femme infidèle, car maintenant il avait du sentiment pour cet homme qui le baisait si bien.
Fred a rigolé. « C'est curieux que tu ais dû baiser deux hommes avant de savoir ce qu'une grosse bite peut te fais jouir.»
Le cœur de Phil s'est brisé. « Deux hommes? C'est qui l'autre? J'ai eu son pucelage, alors qui? Quand?»
Fred a répondu à sa question avant qu'il ne la pose:
« J'ai adoré quand tu m'as raconté comment tu avais baisé le mec qui a fait tes moquettes.»
« Les moquettes? Quelles moquettes? Quand on a emménagé ici, il y avait déjà les moquettes dans les chambres! Merde, le basané! Le soir, en rentrant du travail. Sheila sur le pas de la porte qui discute avec cet arabe. La camionnette garée devant, dessus la publicité - Nettoyage Tapis Moquettes – Phil ne voulait pas mais Sheila avait insisté. Les moquettes des chambres étaient tachées. Elle l'avait embauché malgré la réticence de Phil. D'ailleurs, il avait fait un super travail, les moquettes étaient sorties nickel. Et pour pas cher, une poignée d'euros ... La salope! Un arabe!»
Phil voulait entendre cette histoire. Il avait besoin de savoir. Sheila, sa tendre épouse, la salope!
« Baise-moi lentement et racontes-moi l'histoire. Je veux m'en souvenir pendant que tu me baises.

»
Fred ralentit pour faire une bonne baise délicieuse.
« Eh bien, voilà. Tu était assise dans le salon en train de lire et il est entré après avoir fait les chambres. Tu as voulu te lever et il t'a dit de ne pas te déranger, que tu pouvais rester assise ici pendant qu'il faisait l'autre partie de la pièce. Donc tu es restée là à lire ton bouquin. En jetant un coup d’œil de temps en temps pour voir comment ses muscles bougeaient.»
Pendant que Fred parlait, Phil lui caressait les fesses pour l'encourager.
« Tu lisais habillée dans une tenue décontractée, une robe assez courte, et quand il s'est approché pour nettoyer la moquette juste devant toi, machinalement tu as levé les jambes et tu les as tenues levées pendant quelques instant. Ensuite, tu t'es rendu compte qu'il avait arrêté de bouger et qu'il s'était penché pour regarder tes cuisses.»
Phil le stimulait avec ses doigts dans la raie des fesses, cherchant le chemin.
« Bébé, ça t'excite, n'est-ce pas? Bien, un truc s'est passé. Le bouquin un peu chaud, les muscles du type, le manque de distraction, je sais pas. Tu as gardé les jambes levées, en les ouvrant légèrement, pour lui permettre de bien voir, en scrutant son visage pour voir sa réaction. Tu n'avais rien planifié, juste l'allumer, pour voir. S'apercevant de ta malice, il a brusquement levé les yeux et vos regards se sont croisés, t'attrapant par surprise. Quand vos yeux se sont rencontrés, tu t'es rendu compte que tu ne pouvais plus détacher ton regard du sien. Comme hypnotisée. Alors, il a éteint sa machine et t'a rejointe sur le canapé.»
Phil soupira: « Oh Fred, embrasse-moi. » Ils ont échangés un long, tendre et voluptueux baiser.
«Maintenant, finis l'histoire en augmentant le rythme, baise-moi plus fort.»
«Tu vas fantasmer en pensant au nettoyeur de tapis?»
« Oui.»
« La chose étonnante c'est, quand il est venu à côté de toi, que tu n’aies pas baissé les jambes. Il a encerclé ton cou avec sa main gauche en serrant un peu.
Sa main droite, il l'a glissée entre tes cuisses sous ta robe. Il a caressé tes cuisses tout du long, jusqu'à ta petite culotte, sans que tu n’aies la moindre réaction. Ensuite, il a écarté ta culotte et il t'a doigté, haletante et gémissante.»
Phil, haïssant ce qu'il entendait mais au bord de l'agonie, soupirait: « Continue, chéri.»
« Tu es venue! Immédiatement. Il avait à peine commencé à te doigter, quelques pénétrations, quelques aller-retour, juste pincé un peu ton clitoris, et tu as jouis. Comme une salope. Parce que c'était la première fois qu'un autre homme que Phil te touchait, et pour une raison inconnue tu étais super allumée. Les yeux dans les yeux, te serrant le cou, deux doigts dans la chatte, et hop! Tu as jouis! L'orgasme le plus que tu aies connu sans qu'une bite te pénètre!»
« Racontes-moi sa queue, chéri, décris-la moi, ça m'excite. Était-elle plus grosse et plus longue que celle de Phil?»
L'histoire racontée par Fred excitait Phil, mais ça excitait tout autant Fred qui le baisait passionnément.
« Bien, à l'époque, comme tu découvrais une nouvelle bite, tu la croyais grosse parce qu'elle était un peu plus longue que celle de Phil, mais le gland turgescent t'intéressait davantage. Un morceau de viande brune, circoncise, musclée et dure comme son propriétaire.»
« Comme la tienne?»
« Pas comme la mienne. Mieux que celle de Phil, pas gâté le pauvre, mais pas comme la mienne. C'est pourquoi quand tu as mis ta main sur ma bite, tu étais tellement excitée. Quand tu m'as raconté cette histoire, tu m'as dit que sa queue t'avait fait du bien, mais que la mienne c'était beaucoup mieux.»
Phil était à l'agonie. Les commentaires sur la médiocrité de sa bite, la façon dont la grosse bite de Fred travaillait sa chatte, et cette salope de Sheila, qui avait baisé un arabe, sans que le gars n'ait rien fait d'autre que regarder sous sa jupe pour gagner sa récompense.
« Comment sa femme pouvait-elle se déprécier comme ça, offrir sa chatte de femme mariée au premier regard, comme ça, comme une pute à disposition pour le premier venu, n'importe qui …?»
Pensait Phil, haletant et gémissant sous la charge de Fred travaillant sa chatte.

« Ensuite?»
« Ensuite , tu l'as sucé, sur le canapé. Tu as eu du mal à la gober, la première fois, elle était dure et elle sentait fort. Mais il t'a e, sa main agrippant tes cheveux, et tu as cédée. Au bout d'un moment, c'est devenu meilleur et elle sentait bon. Elle sentait le mâle et tu mouillais beaucoup. Ensuite, il s'est arraché en tirant ta tignasse en arrière, s'est levé, a quitté son pantalon, s'est rassis sur le canapé, les cuisses écartées, t'as obligé à t'agenouiller entre ses jambes et tu l'as sucé en caressant ses grosses couilles. Mais tu n'as pas voulu avaler son sperme, tu as gardé ça pour moi, petite coquine. Mais c'est lui qui a fait de toi une épouse infidèle, et qui t'as donné tes premiers orgasmes hors mariage. Après, tu t'es allongée sur le canapé, sur le flanc, et tu l'as guidé. Il t'a prise en levrette, sans préservatif, comme une fille des rues. Il t'a pénétrée d'une seule poussée, à la hussarde, et il t'a fait pleurer. Il s'est arrêté un moment, sa bite au fond de ton vagin, pour que tu te calmes, et quand tu as commencé à caresser ton clitoris, il a recommencé à te bourrer la chatte à grands coups de reins qui t'ont fait jouir rapidement. En t'apercevant qu'il allait venir, tu t'es dégagée pour le faire asseoir sur le canapé et le chevaucher. Tu l'as monté face à face, les yeux dans les yeux, en dénudant ton buste de la robe et du soutien-gorge pour qu'il te pétrisse les seins. Et pendant qu'il te pétrissait les seins et te suçait les tétons, tu l'as baisé en sautant sur sa queue, de haut en bas, hop, hop! Là, il est devenu vraiment raide et gros dans ta chatte, et quand tu l'as sentit palpiter au fond de ta vulve, tu as enfoui sa tête entre tes seins et vous avez jouis ensemble. Avant qu'il ne parte, tu lui as fait jurer le silence et pour obtenir sa promesse, tu as nettoyé avec ta bouche sa queue pleine de sperme, ses couilles aussi, et tu as finis en lui léchant la raie du cul. Ton mari, Phil, est rentré juste au moment ou vous finissiez de vous rhabiller, et c'est lui qui a aidé à porter les machines dans la camionnette.
»
« Je suppose qu'il m'a préparée pour toi!»
« C'est ce que tu m'as dit bébé, parce que tu avais déjà trompé ton mari, c'était plus facile pour moi de te niquer.»
Plus excité que jamais, Phil enroula ses jambes autour la taille de Fred. Alors qu'il enserrait le torse et les épaules de Fred avec ses bras, Phil sentit les mains de Fred glisser sous son cul. Il a cherché son anus, et Phil n'a pas essayé de l'arrêter. Les jus de Sheila coulant de sa chatte avaient atteint son anus.
« Oui, chéri, utilise ton doigt.» Le doigt mouillé est entré et il lui faisait beaucoup de bien.
« Vas-y plus profond.» Le doigt est allé plus profond, pénétrant entièrement.
« C'est la première fois que tu me demandes d'utiliser mon doigt aussi profondément.»
« Vraiment? Pourtant ça me fait tellement de bien.»
A son insu, Phil gémissait bruyamment. Il alternait les baisers langoureux et les gémissements d'extase sans aucune pudeur, entièrement obnubilé par sa quête du plaisir féminin poussé à son paroxysme. Fred commençait à s'apercevoir qu'il baisait une Sheila différente. Ce n'était pas les petits détails de leur routine habituelle qui l'avait troublé, comme par exemple l'emmener vers la chambre conjugale. Non, c'était un sentiment plus diffus, un manque de retenue, de pudeur, comme si brusquement elle ne se préoccupait plus que de jouir, encore et encore, de plus en plus fort. Par exemple, alors qu'il lui donnait de la viande, de plus en plus fort, il travaillait son trou du cul avec deux doigts, l'étirant comme s'il voulait l'enculer. Orgasme après orgasme, elle devenait de plus en plus salope et il pouvait se permettre des gestes qu'il n'aurait jamais osé avant. Non que ça le dérange, bien au contraire, mais il regrettait que Sheila ne soit pas sa femme pour pouvoir la niquer tout le temps, partout, alors qu'il se faisait un peu chier avec Maud.
Maintenant, Phil savait ce que cela signifiait pour les femmes d'avoir des orgasmes multiples. Il sentait arriver Fred, son énorme braquemart qui perdait le rythme, se mettait à trembler dans la chatte de Sheila, pendant que ses couilles se durcissaient au moment de lâcher sa décharge de sperme. Les battements continuaient pendant que jets de sperme frappaient le col de l'utérus, inondant sa vulve déjà trempée de ses jus, s'échappant de sa chatte dilatée, et Phil éprouvait à la fois une sensation désagréable d'humidité, et une tendresse infinie pour le mâle qui lui donnait tant de bonheur.
Il retenait Fred contre lui, l'enserrait de ses bras et de ses jambes, espérant un autre baiser, une caresse supplémentaire, pour accompagner ce merveilleux moment et ce sentiment de reconnaissance qu'il éprouvait pour Fred.
Quel merveilleux amant, à la fois doux et tendre quand il le fallait, mais aussi rude et brutal quand c'était le moment. Son trou du cul allait s'en souvenir un moment. Le salaud! Il n'y est pas allé de main morte, c'est le cas de le dire. Et comment faire pour rendre son corps à Sheila, demain, si l'anus est encore douloureux?
Mais Phil a oublié ce petit inconvénient lorsqu'il a éprouvé la déception de sentir Fred ramollir et se rétracter. Phil voulait encore baiser, mais le temps commençait à manquer. C'est ce moment-là que Fred a choisi pour jeter le choc sur lui. Fred, exalté par le tempérament de Sheila, posait le problème:
« As-tu pensé à ma proposition de divorcer de nos conjoints respectifs et à se mettre ensemble?»
Le cœur Phil se serra: « Sheila et Fred ont parlé de divorce, elle l'aime? Oh non, merde, pas ça!»
Phil allait devoir reconquérir Sheila, être tendre et généreux, se comporter mieux, et surtout performant au lit ...
Phil devait profiter qu'il se trouvait dans le corps de Sheila pour commencer à redresser la situation.
« Fred, cette conversation sur le divorce c'était juste une fantaisie. Je ne pourrais jamais quitter Phil et les s.»
Fred était toujours allongé sur Phil et il posa ses lèvres sur celles de Phil et l'embrassa longuement et tendrement.
Phil lui rendit son baiser langoureusement, avec la langue et tout le reste. Il souhaitait être enlacé et câliné.
« Eh bien, pour moi ce n'est pas de la fantaisie. Si tu souhaites en parler sérieusement, faites-le moi savoir.»
Phil avait peur maintenant, cette liaison entre Sheila et Fred était allée encore plus loin qu'il ne le pensait:
« Nous ferions mieux de nous lever. Je dois aller chercher les s très bientôt.»
« Oui, mais encore une minute, bébé. Cette baise que tu m'as donnée était la plus torride, bébé. De toute ma vie je n’ai connu une femme aussi sensuelle que toi. Et toi? Que penses-tu de ce moment que nous avons vécu?»
Pendant qu'il lui parlait, Fred bécotait les lèvres de Sheila et c'était Phil qui lui rendait ses baisers, bien sûr.
Avec la peur de perdre Sheila, Phil a voulu minimiser leurs ébats:
« Mouais, c'était plutôt bien. Des fois, Phil me fait ça aussi, quand il prend le temps de le faire.»
Fred a rigolé: « Tu me charries, l'autre fois tu m'as dit qu'il n'avait jamais pu trouver ton point G. Tu m'as dit que ma bite te touchait là où il faut et comme il faut, et que le contact de mon gland proéminent te donnais des sensations partout dans ta chatte, ce qu'aucune autre bite ne pourrait te donner, même pas celle de l'arabe qui pourtant était bien meilleure que celle de Phil. Tu m'as dit aussi que ton point G était tombé amoureux de ma bite et qu'il ne pouvait plus s'en passer.»
Phil repassait misérablement dans son esprit ce que Fred venait de dire: « Elle lui a même parlé de son point G. Sheila lui a dit que sa bite lui faisait du bien de partout dans sa chatte grâce à son gland proéminent et que la mienne ne peut pas lui faire ça? Peu importe ce que je peux faire dorénavant, à l'avenir Sheila n'aura jamais autant de plaisir avec moi qu'avec Fred.»
Dès que Fred se leva, Phil sortit tristement du lit. « Je sais ce que je t'ai dit, j'aime faire l'amour avec toi, mais j'ai une famille, je me sens vraiment coupable de tromper Phil, je l'aime, je l'apprécie au lit, et je ne peux pas tout détruire sur un coup de cœur.»
Phil imaginait, quand il aura réussi à revenir dans son propre corps, donner à sa femme un amour vraiment meilleur et attentionné et aussi lui faire part des soupçons à son sujet. S'il manœuvrait bien, Fred ne serait plus jamais dans son lit.
« Bien sûr bébé, mais je trouve étrange que tu dises ça après avoir rasé ta chatte pour me plaire, nous avons déjà traversé cette période de renoncement, si tu veux t'éloigner pendant un moment, je peux attendre. Même si tu ne veux pas m'épouser, je sais mieux que ton mari comment de rendre vicieuse ... Alors quand tu auras une envie de baiser, tu sais où me trouver, tu n'auras qu'à m'appeler.»
En lui parlant, Fred avait enlacé Phil. Phil ressentit une langueur et se blottit dans ses bras. Le pénis de Fred pressé contre son ventre le troublait et l'émoustillait. Machinalement, Phil le saisit et le caressa, lui redonnant de la vigueur. C'est tellement incroyable que Phil ne puisse résister à cet élan féminin, et désire amoureusement l'objet de son malheur.
Mais Phil, oubliant toutes ses déconvenues, ne souhaitait plus qu'une seule chose. Il voulait cette grosse bite entre ses jambes maintenant. Une fois de plus. Oui, une dernière fois. Tout oublier dans les bras de cet homme qu'il détestait et chérissait à la fois.
Fred était couché sur Phil gémissant de désir pendant que l'énorme bite écartait ses chairs en pénétrant dans sa chatte.
« Tu vois, bébé? Tu n'as pas attendu longtemps pour me désirer à nouveau, regarde les choses en face, tu aimes trop baiser pour t'en passer.»
Phil a choisi d'ignorer le commentaire de Fred. « Dépêches-toi, il nous reste peu de temps, mais sors et rentre à nouveau, plusieurs fois, que je puisse bien le sentir, seulement le gland bien mouillé.»
« Tu veux dire juste pénétrer et ressortir, trempé dans ta chatte pleine de de sperme?»
« Oui. Baise-moi. Fort. Dur. Et finis vite.»
Phil avait vraiment besoin de l'embrasser. Leurs lèvres soudées, les langues tourbillonnaient. L'enthousiasme de Phil déroutait Fred. Elle veut faire une pause, puis elle baise comme une chienne en chaleur. « Sheila, je t'aime tant.»
Ces quelques mots excitaient Phil. Il éprouvait ce sentiment de tendresse que les femmes ont quand elles sont comblées. Leurs hanches commencèrent s'agiter, leurs ventres claquant l'un contre l'autre.
« Baise-moi! Défonce ma vulve, ma chatte d'épouse infidèle que son mari délaisse, nique-moi, FORT ...»
Phil se rabaissait devant le mâle qui le baisait. Agissant comme une salope, Phil a levé ses jambes aussi haut qu'il le pouvait jusqu'à les mettre sur les épaules de Fred. Dans cette position, l'énorme bite frappait au fond de la vulve de Phil, déclenchant un orgasme dévastateur. Perdant tout contrôle, Phil hurla:
« Je t'aime, j'aime ta bite, j'aime quand tu me baises comme une salope, j'aime être ta salope!»
« Bébé, tu sais que je t'aime plus que tout. »
« Oh Fred, tu es si doux. »
Puis Phil éclata en sanglots en lui disant: «Je t'aime» une dernière fois.
C'était incroyablement stupide. Il voulait que Sheila mette fin à cette affaire, et pourtant, dès que Fred lui mettait sa bite dans le vagin, il perdait tout contrôle. Plus Phil jouait à être Sheila, plus il devenait une femme.
Fred embrassa Phil sur le front et se leva. Phil a essayé de se lever, il se sentait si faible. Quel baise ça a été. Il était épuisé, rincé, lessivé.
Fred a du aider Phil à sortir du lit, il titubait. Phil laissa Fred l'embrasser, et leurs mains recommencèrent à se caresser. Le message était clair, le corps de Sheila voulait continuer à baiser.
Mais c'était l'heure de s'occuper des s. Après avoir vidé des litres de sperme de sa chatte, s'être lavé et essuyé, Phil a remis le soutien-gorge, la culotte et la robe sage. Il est allé chercher les s et s'est disputé avec eux sur le chemin du retour. Puis, revenu à la maison, il a préparé le goûter et a organisé les devoirs, puis a fait un peu de repassage. Phil essayait de regarder la télé, mais ses fonds de culotte étaient humides, retour aux toilettes pour purger le reste de sperme dans sa chatte à l'aide de la poire à lavements et mettre une culotte propre.
Mais Phil, dans le corps de Sheila, s'était comporté comme une pute. Et il avait crié son amour à l'homme qui lui volait sa femme. Fred allait s'en souvenir. Son couple était définitivement en danger.
La soirée se déroula de manière habituelle, selon une routine bien établie. Seule la chatte en fusion de Phil tourmentait son esprit, il n'avait aucun remords pour sa conduite.
À 21h00, Phil était épuisé et, bien que ses corvées ne soient pas terminées, il se mit au lit où il devait remplir son devoir conjugal. Bien sûr, fatigué ou pas, il le fallait.
« Ma chérie, j'ai envie de faire l'amour à ta chatte rasée»
« Oui mon chéri, je l'ai rasée pour toi. Viens maintenant.»
« Je veux te sucer d'abord, puisque tu l'as rasé.»
Et Phil, dans le corps de Sheila, ne pouvait s'empêcher de comparer. Bon, d'accord, il n'y a pas que la technique, la taille, tout ça. Fred était plus tendre, plus patient, et Phil était très fatigué par cet après-midi de débauche. Son attitude passive n'incitait pas Sheila, dans le corps de Phil, à faire des prouesses. Même si ce fut un peu bref, un peu trop au goût de Phil, dans le corps de Sheila, qui n'a pas eu le temps d'exulter, il aurait aimer un peu de tendresse, un câlin, mais Sheila, dans le corps de Phil se tourna de l'autre côté et dit: « Bonne nuit » Sympa!
Bon, demain, tout ça sera redevenu normal. Phil fera comme il a dit, tendre, attentionné, gentil, il fera tout pour reconquérir Sheila, qu'elle cesse cette relation avec Fred, qu'elle oublie toute cette histoire.
Oui, demain sera un grand jour, son jour.
Le lendemain matin, Phil se réveilla en constatant qu'il était toujours dans le corps de Sheila.
Et Sheila, dans le corps de Phil, dormait à côté de lui dans le lit.
Il se jeta à genoux près du lit et demanda:
« Seigneur, ce n'est pas possible, ce n'est pas ce qui était prévu. Je me suis mal comporté avec ma femme. Je réalise maintenant combien j'ai été injuste, combien je l'ai négligée, je dois l'aimer et la chérir à nouveau pour sauver notre couple. S'il vous plaît, faites-nous l'échange inverse.»
Le Seigneur, dans son infinie sagesse, a répondu: « Mon fils, je suis conscient que tu as compris la leçon et je serai heureux de remettre tout comme avant, mais tu devras attendre 9 mois pour terminer ce que tu as commencé hier après-midi. Tu es enceinte!»

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