Soumission En Vacances 8 - La Soumise

Partie 8 – La soumise

Nous venions de finir de manger. Un petit plat de tomates-mozzarella pour elle, une orgie de pâtes à la carbonara pour moi. C’est bien gentil les crudités, mais vu ma matinée j’avais besoin de reprendre des forces. Notre conversation pendant la cuisine et le repas était tout ce qu’il y a de plus banale.
Léa racontait des anecdotes de son boulot, je me moquais gentiment d’elle et de ses ragots, on riait… Bref, les 4 dernières heures semblaient être à des années-lumière.

Enfin, disons que les séquelles était plus similaire à de vagues souvenirs raisonnants qu’a une réelle douleur localisée. Parce que soyons honnête, 2h de et de jouissance ça passe pas non plus en un claquement de doigt. C’est bien pour ça que, quand Léa me proposa de me masser pour m’aider à récupérer de la matinée, je n’hésitais pas bien longtemps. Après notre baignade, elle avait enfilé une petite jupe d’été très sexy et un top un peu moulant qui l’était tout autant.

Je m’allongeais sur le ventre sur un transat, en caleçon, pour qu’elle ait accès à mon dos. Je gardais mes mains sous mon visage de manière à ce qu’elle ne puisse pas me feinter et me les attacher avant que j’aie pu mettre mon plan à exécution. Elle me versa de l’huile parfumée sur le dos et commença à me masser sensuellement le dos, les jambes, les cuisses, les fesses… c’était divin comme traitement.

Après 15 minutes, je lui proposais d’inverser les rôles. Elle accepta avec plaisir. Elle s’allongea à son tour, enleva son haut (sous lequel elle était nue). Elle portait pour tout vêtements une jupe relevée jusqu’en dessous des fesses et son bracelet de cheville en argent qui ne la quittait jamais.
A mon tour, je versais de l’huile sur son dos et commença à la masser, rendant son corps luisant et terriblement sexy. Après 10 minutes de ce traitement, je passais à l’action.

Sous prétexte de lui masser la main, je lui fis relever le bras vers l’arrière et, après quelques minutes, je la reposais sur sa fesse.

Détendue comme elle était, elle ne la bougea pas. Je fis de même avec le bras opposé.

Je marquai l’arrêt. Hésita une seconde. Juste une seconde. Puis je lui enfermais les poignets avec ses menottes.

Elle mit une bonne dizaine de secondes à comprendre ce que signifiait ce son. Subitement, elle releva la tête pour s’opposer à la situation.

- « Eh non mais tu fais quoi là ? On n’a jamais dit que tummmmfh… »

Elle n’avait pas eu le temps de finir sa phrase. Après avoir verrouillé les menottes, j’avais sorti le bâillon-boule que j’avais planqué sous le transat et avait attendu patiemment qu’elle ouvre la bouche pour la réduire au silence.

Elle était à moi pour l’après-midi.

Volontairement, je restais hors de son champ de vision. J’étais encore très influencé par ma matinée et j’avais peur de ne pas tenir mon rôle si je croisais son regard sévère. Je lui attachai les chevilles ensemble pour m’assurer de pouvoir prendre mon temps : maintenant, elle n’allait nul part. Pas faute d’essayer pourtant, elle se débattait comme un diable.

J’en profitais donc pour me retourner et pour élucider la question qui me trottait dans la tête depuis 2 jours : quels jouets avait-elle à sa disposition dans son sac de sport ?

Durant mon exploration, je découvrais avec plaisir qu’il lui restait encore littéralement plus d’un tour dans son sac : plusieurs modèles de cage de chastetés, deux martinets, des cannes en tout genre, une cravache, deux modèles de bâillon-boules supplémentaires (un plus gros et un harnais complet), un ou deux autres modèles de bâillon, des masques, des menottes, des cordes, des godemichet de différentes tailles, un harnais gode-ceinture, 2 vibromasseur, des pinces à tétons reliées par une chaînette et des poids pour aller avec, 3 plugs de formes variées dont un gonflable et vibrant que je connaissais bien, un crochet anal, 2 cockring dont un avec un forme particulière que je ne reconnaissais pas, plusieurs masturbateurs… Dans la deuxième poche, sa tenue de domina que j’avais déjà vu, mais aussi une petite tenue de soubrette, un slip masculin en cuir ouvrable sur l’avant et/ou l’arrière, 2 cagoules et de la lingerie fine.
Et enfin dans la troisième des serviettes, de l’huile de massage, du lubrifiant, du produit de nettoyage de de désinfection pour sex-toys.

J’étais sur le cul. Je savais bien qu’elle était équipée, mais là elle se promenait avec de quoi mettre la moitié de la région à sa botte. Clairement, ses achats du début de semaine était juste venu étoffer une collection déjà existante d’objets de collection. Ce qui pouvait aussi expliquer sa facilité à se lancer dans son rôle de domina : elle n’en était pas à son premier rodéo.

Intéressant.

Mais bon, j’avais quand un même un paquetage en train de gigoter sur son transat dont je devais m’occuper. Je récupérais les quelques objets dont j’allais avoir besoin à court terme et me retournait vers elle.

Ses cheveux étaient en bataille et elle essayait de d’attr ses chevilles, surement pour les détacher. Sa jupe était redescendue à mi-cuisse et un filet de bave avait commencé à couler du coin de ses lèvres. Parfait.

Je pris tout d’abord plusieurs cordes différentes pour m’essayer à un bondage un peu plus élaboré que sa position actuelle grossière. Je commençais par travailler sa poitrine. Je fis passer une corde sous et sur ses seins, puis vins faire plusieurs boucles autour de son cou pour les serrer entre elle. Elle avait les seins comprimés entre 2 cordes, c’était terriblement sexy. Je m’attaquais ensuite à ses jambes : ses chevilles furent ré-attachées croisées entre elles pour que je puisse installer une petite barre d’écartement sur ses genoux. Puis, je repliai ses jambes vers l’arrière et utilisa un dernier lien pour attacher la corde de ses pieds au harnais de sa poitrine. Je finis en la serrant pour l’immobiliser dans un hogtied assez restrictif.

Après ça, je m’arrêtais pour observer mon œuvre.

Elle était bandante ma partenaire de jeu. Cambrée au maximum, les seins accessibles car le haut de son corps était relevé du transat par la position de hogtied, ses cuisses entre-ouverte, sa jupe remontée sur ses fesses, le petit filet de bave au coin des lèvres, le regard de furie… J’étais assez fier de moi.


Je terminais avec 2 touches finales : la première consistait à faire passer une cordelette bien tendue entre l’avant et l’arrière de son harnais, avec une série de petits nœuds au niveau de sa chatte. A chaque mouvement qu’elle faisait, ils venaient frotter sur son clitoris pour l’exciter un peu plus. La seconde, c’était de lui passer (enfin) le collier de cuir : j’étais son maître, elle était ma soumise.

Je vins me poster face à elle, accroupis pour avoir mon visage bien en face du sien, et commença à lui parler en lui caressant les cheveux :

- « Bon ma belle je vais pas te mentir, je vais en profiter.
- Mmmmmpff…
- Oui tu as pas tort. Cela dit, je peux te rassurer d’office : je n’ai clairement pas ton niveau de sadisme. Je vais juste me contenter de profiter de toi. Si tu es sage, tu seras récompensée. Et si tu résistes… en fait si tu résistes ce sera exactement pareil, mais tu seras frustrée au lieu de récompensée. Clair ?

Elle me fixa droit dans les yeux 5 secondes, puis inclina la tête en signe de soumission : elle était prête.

Enfin presque. Au dernier moment, une idée me vint à l’esprit. Je récupérais une petite cordelette et lui attacha les cheveux en une queue de cheval. Si sa tresse était sa manière de basculer dans sa position de dominante, il était intéressant d’avoir à l’inverse un signe distinctif bien à elle de soumission.

Là j’étais prêt. Mais par où commencer au juste ? Oui parce qu’en vrai ce n’était pas aussi évident que dans un fantasme. Il fallait prendre des décisions rapides, les assumer, les mener au bout, piloter les plaisirs des 2 acteurs… Ce n’était pas si évident que ça en fait.
Je vis ce que je pris pour un grand sourire sous le bâillon de Léa. Elle se foutait un peu de ma gueule. Je lui donnais une tape sur la fesse, qui la fit se tortiller. Le grognement qu’elle poussa à la fessée se transforma instantanément en gémissement lorsqu’elle commença à se tortiller sous l’effet de la corde à nœud.
Ce gémissement produit un déclic dans mon esprit et je me mis au travail.

Je lui installai des pinces à seins sur chacun de ses tétons. A chaque fois que la petite pince se refermait sur cette partie de son anatomie, elle poussait un gémissement profond qui me faisait bander à en avoir un problème d’irrigation du reste du corps.
Je lui enlevais ensuite son bâillon. Elle garda sa bouche entre-ouverte dans une position provocante, la langue à moitié sortie, la bave continuant de couler au coin de sa lèvre… soit elle avait déjà joué ce rôle avant, soit c’était aussi naturel pour elle qu’être dominante.

- « C’est bien ma belle, tu es une chienne bien sage. »

En disant ça, j’approchais mon sexe tendu à quelques millimètres de ses lèvres, juste au-dessus de sa langue. Mais, obéissante, elle ne le toucha pas sans mon autorisation. Par contre, ses yeux me suppliaient littéralement de la laisser se jeter dessus. Je me contentais de lui caresser les cheveux, la faisant patienter. Je vis alors qu’elle remuait très discrètement les fesses : elle cherchait à jouer avec la corde dans sa chatte. Puisqu’elle voulait jouer avec cette corde, on allait jouer.

Je me retirai et l’entendis soupirer de déception. Je vins ensuite lui installer un nouveau bâillon, un mors trouvé dans son sac de Marry Poppins. Je pris tout de même le soin de passer la chainette de ses pinces à seins autour de la barre en mousse avant de lui enfoncer dans la bouche et de l’attacher. Elle gardait donc la tête baissée pour ne pas tirer dessus. Je n’allais pas lui laisser le choix.

Je me dirigeais vers l’arrière du transat et relevait sa jupe pour passer aux choses sérieuses.

Putain qu’est-ce qu’elle était sexy… son cul cambré comme ça… c’était juste divin. Mais bon, j’avais encore des choses à faire. Je fouillai à nouveau dans le coffre au trésor pour en sortir un crochet terminé par une boule assez conséquente : elle allait payer ses assauts répétés sur mon cul.

Je commençai par la travailler un peu pour qu’elle se détende. D’abord en lui caressant tout doucement la rondelle avec ma langue. Je l’entendais gémir et gesticuler pour frotter son clitoris contre le nœud de la corde. Qui, comme je pouvais le constater, était trempée. Puis je glissai un doigt, puis un second et rapidement avec un peu de patience et de lubrifiant, le crochet était en place. Je détachais alors l’extrémité de sa cordelette à nœud attachée à l’arrière de son harnais pour l’attacher à son crochet, en la tendant à fond et en faisant plusieurs tours de corde pour que les deux soient bien solidaires. Puis, j’utilisais une nouvelle corde pour relier l’anneau du crochet avec sa queue de cheval et la tendit autant que possible. Je pouvais l’entendre grogner.

Je pris un peu de recul pour l’observer : elle avait la tête relevée vers l’avant ce qui entrainait donc ses seins bloqués dans son bâillon. Ses tétons étaient tirés vers le haut, donnant à ses seins une posture extrêmement droite et, je dois bien le dire, très excitante.

Il ne manquait plus qu’une chose : Après un dernier voyage dans la caverne d’Ali Baba, je récupérais un vibrateur que je scotchai à la partie émergée de son crochet. Avec ça, elle allait vibrer jusqu’au fond de son fondement. Mais en bonus, avec la cordelette maintenant solidaire du crochet, elle n’allait pas tarder à avoir le clito en feu.

Et je l’allumai. A fond.

L’effet fut immédiat. Léa se lança dans un long gémissement sans fin, essayant de remuer comme elle pouvait pour se soustraire au contact de la corde. Son cul se balançait de droite à gauche, essayant de se soustraire aux vibrations qui l’habitaient, sans succès. Ces à-coups tiraient ses seins d’un côté puis de l’autre, donnant à l’ensemble de l’image un côté surréaliste.

Je déplaçais un fauteuil pour venir m’installer juste devant elle. Je la regardais droit dans les yeux, elle me suppliait du regard. De quoi exactement ? Je n’en avais aucune idée, elle non plus je pense. Je me contentais de la regarder droit dans les yeux en me branlant tout doucement. Puis, son visage fut déformé par une vague de plaisir : elle venait d’avoir son premier orgasme.

- « 1 – 0 »

Elle me regarda sans comprendre. Puis son expression changea à nouveau pour basculer sur celle du plaisir, son regard se fit à nouveau suppliant, son gémissement montait… 5 min plus tard, elle bascula sa tête en arrière, secouée par un nouvel orgasme, poussant un cri à la fois de plaisir et de douleur pour sa poitrine.

- « 2 – 0 »

Nouvelle expression d’incompréhension.

- « Si tu gagnes le match, je te punis. »

Et là elle dut se dire qu’elle était mal. Elle en était à 2 orgasmes, au rythme où je me caressais le mien n’était pas pour tout de suite et de toute façon, elle n’avait aucun contrôle sur les siens. Bilan : 5 minutes après, rebelote.

- « 3 – 0 ».

Son attitude changeait. Plus les orgasmes passaient, plus son clitoris était à vif. Elle se trémoussait pour essayer d’échapper à cette . Poussait un gémissement plaintif en continu, avait une petite larme au coin de l’œil.

Au 4ème orgasme, je décidais d’arrêter sa . Correction : je décidais d’arrêter cette .

Elle poussa un cri de soulagement lorsque j’éteignis le vibrateur, puis me remercia en continu, dans un gargouillement étouffé par son mors et par la bave qui coulait de son menton. Je vins me mettre face à elle :

- « Tu as joui 4 fois et moi aucune… décidemment 4 c’est le chiffre du jour tu ne trouves pas ?
- …
- Je vais d’abord jouir. Puis je déciderais de ta punition. »

Elle hocha la tête, résignée.

- « Regardes-moi droit dans les yeux »

Elle s’exécuta, avec une expression sur le visage qui me faisait chavirer : l’envie de satisfaire tous mes désirs, d’obéir à mes ordres.
Et c’est avec ce regard dans le mien que je détachai tout doucement les pinces sur ses tétons, libérant ses seins prisonniers. Je la vis un grognement de douleur et le déguiser en gémissement. De ses yeux s’échappait une larme unique, mais aussi un regard de défi, une volonté marquée de tenir, pour moi.

Je lui caressai les cheveux, sécha sa larme et l’embrassa sur le coin des lèvres.

- « C’est bien ma douce, je suis extrêmement fier de toi… »

Changement dans ses yeux : du plaisir, de la fierté.

Je lui enlevai son bâillon.

- « Il est grand temps que ce soit moi qui jouisse, tu ne penses-pas ?
- Oh oui maître s’il vous plais, laissez-moi vous prendre en bouche. Éjaculez-moi au visage, faites de moi votre chienne. »

Ah ouai, là elle était à fond… Poker face Fabrice, tu es un dominant, tu es sûr de toi !

Nouvelle caresse dans les cheveux.

- « Décidément tu es vraiment la parfaite petite salope Léa… mais non, je n’ai pas l’intention de te prendre par ce trou-là. Mais puisque tu insistes on va quand même le remplir. »

Je fouillai à nouveau la boite de Pandore et en sorti un godemichet avec ventouse à la base et le ring-gag. Puis je lui enfonçai le gode dans la bouche à la limite de ce qu’elle pouvait recevoir et attacha l’anneau autour de son cou.

- « Tiens ça pour moi veux-tu. »

Puis, j’allais vers l’arrière du transat. Je lui enlevais le crochet, les cordes, de manière à ce qu’elle n’ait plus que son harnais de corde et ses mains attachées dans le dos. Je l’aidai à se relever, l’orienta vers la table basse et la fit mettre à genou devant. Elle vint coucher son buste dessus d’elle-même, ayant compris ce que je cherchais à faire.

Je fixais le godemichet à la vertical au niveau de sa bouche. Puis, je lui mis l’anneau dans la bouche. Je vis son regard apeuré. Je lui caressai la joue.

- « Ne t’inquiète pas ma chérie, je vais y prendre beaucoup de plaisir et pour toi, c’est ce qui compte cet après-midi. »

Je pris un peu de bave qui coulait de sa bouche, releva sa jupe et l’étalais sur sa rondelle… puis je la pénétrais. Lentement, mais sans m’arrêter. Elle se mis à geindre en continu. Je la pris par les cheveux et commença à la faire descendre, imprimant des vas et viens sur le pénis en plastique. J’entendais régulièrement des gargouillis étouffés qui m’excitaient au plus haut point. Plus elle gémissait, plus je la pilonnais. Et plus je la pilonnais, plus j’imprimais des mouvements rapides et profond pour sa fellation e. Après m’être exciter à la r, le crescendo allait rapidement atteindre son apothéose. Pour le retarder un peu et pour répondre à sa demande, lorsque j’étais au bord de la jouissance je décidai subitement de changer de position.

Je sorti d’un coup et lui releva la tête. Elle inspira une grande gorgée d’air. Rapidement, j’arrachais le gode de la table, lui planta dans le cul là où était ma bite une seconde plutôt. Elle poussa un petit cri, surement plus de surprise que de douleur. Je la fis basculer vers l’arrière pour qu’elle soit assise sur ses genoux ce qui finit d’enfoncer le gode, dans un long gémissement de sa part. Gémissement qui fut étouffé une seconde plus tard, quand j’enfonçais ma queue jusqu’à la garde dans sa bouche bloquée en position ouverte.

Je sentais mon gland dans sa gorge. Elle se débattait mais ne pouvait rien faire.

- « Regarde-moi »

Son regard, suppliant, était planté dans le mien. Sa gorge se contractait fébrilement, finissant de branler un pénis qui n’avait plus besoin de grand-chose pour basculer.

Après 3-4 secondes de ce traitement, je sortis ma bite et éjaculais partout sur son visage en train d’essayer de reprendre de l’air.

J’étais lessivé. Elle était souillée.
Elle respirait par saccade, reprenant sa respiration. Je lui enlevais son bâillon, l’embrassa sur un coin du visage qui n’était pas maculé de sperme et la remercia.

Puis, je me levai pour aller chercher de quoi la nettoyer.

J’étais penché sur le sac quand je sentis une masse fondre sur moi. Avant de comprendre ce qui se passait, Léa était à califourchon sur moi, mes deux poignets étaient dans mon dos et j’entendais le cliquetis caractéristique des menottes.

- « Qu’est ce que… »

Mêmes causes, mêmes effets : elle m’avait réduit au silence avec un bâillon-boule.

… Merde qu’est-ce qu’il venait de se passer ?

Comment elle a pu se libérer ?!

J’étais scié, bloqué sous elle. Et avec les mains dans le dos, impossible d’échapper à sa prise.

Je l’entendais farfouiller le sac et s’affairer mais je ne pouvais rien voir. 3 minutes après, elle me passa le collier de cuir finissant d’affirmer son changement de rôle, puis me retourna.

Je la voyais dans la pénombre, encadrée par les rayons du soleil. C’était quasi mystique comme scène. Elle s’était nettoyé le visage. Elle avait encore le visage rougit de sa fellation e, mais au-delà de ça aucun signe de nos ébats d’il y a quelques instants. Elle avait enfilé son corset, ses gants et changé sa queue de cheval en une tresse. Et surtout, elle balançait son bracelet de cheville en argent sous mes yeux. Après l’avoir fixé sans comprendre, je la vis : une petite clé, en argent aussi, au niveau de l’attache.

La salope.

Ah non mais là vraiment, faut le dire… La salope !!!

Elle avait prévu un plan de secours, des fois que j’arrive à prendre le contrôle. Depuis 2 jours, elle portait sur elle la clé des menottes, cachée et en même temps à la vue de tous.

- « Le problème avec un putsch mon cher Fabrice, c’est qu’il ne faut pas le foirer… »

J’étais mal, j’étais très mal.

- « Tu vas me le payer … »

Quand je pense à ce que j’avais subit ce matin, juste parce que j’avais mis 4 minutes de trop à la faire jouir… J’étais mal, j’étais très mal.

A Suivre…

Si une lectrice à tendance domina (ou soumise) souhaite m’aider à faire avancer l’histoire, elle est la bienvenue !

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