La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1189)

Kate au Château (Nouvelle saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE) –

Avant-propos de Monsieur le Marquis :
Historiquement le Château de la Famille des Evans a été construit en 1625. Mais pour le plus grand plaisir du lectorat, la fiction nous permet d’imaginer le Château à une lointaine époque antérieure et donc pour cette nouvelle Saga, l’action se passera au Moyen-Age ! Messire Charles d’Evans en est le Seigneur absolu sur la Seigneurie de Beaujeu… Et on y découvrira qu’il fut le premier Seigneur de la Famille des Evans à pratiquer la D/s ! Donc grâce à cette fiction, nous laisserons ainsi le lecteur s’imaginer que les origines de la Domination-soumission au Château ont débuté à cette époque moyenâgeuse… Je remercie bien sincèrement Kate de nous faire partager les nombreux épisodes qui vont suivre et je tiens d’ores-et-déjà à la féliciter pour son véritable investissement à son volumineux travail d’écriture. Qu’elle reçoive toute ma gratitude et ma sincère considération.
MDE

Prologue :
L’aube se levait sur l’immense forêt de la Seigneurie de Beaujeu. L’épais brouillard blanc ressemblant à un épais coton s’échappait silencieusement au-dessus de la canopée des immenses feuillus. Seule une importante colonie de corbeaux tournaient et croassaient bruyamment au-dessus des plus hauts arbres. Au fond de ce décor de pleine nature encore sauvage, émergeait sur un pic rocheux, un Château moyenâgeux, celui de la Famille des Evans…

Mais l’action de ce début d’histoire se passe dans un autre château à quelques lieux plus éloignés… Antonin, de la petite noblesse, se trouvait donc dans cet autre château, c’était celui de sa grand-mère, la Duchesse de Saint Ymer. Dans sa chambre, Mathilde, une vieille servante venait de lui apporter son petit déjeuner, le déposa sur la petite table et ouvrit les rideaux laissant passer la lumière du jour naissant. Antonin tourna la tête, Mathilde avant de quitter la chambre lui dit respectueusement :

- Monsieur le Duc, puis-je vous conseiller de ne pas tarder à vous lever, je suis sûre qu’avec ce qui vous attend sur votre plateau, vous passerez une excellente journée

Sur ces mots, elle s’inclina et quitta immédiatement la chambre.

Antonin intrigué par les paroles de celle qui était son ancienne nourrice, se leva et découvrit sur son plateau une lettre de son Cher Ami, le Seigneur Charles d'Evans. Tout en avalant avec appétit son bouillon et le pain, il décacheta l'enveloppe en brisant le magnifique cachet de cire portant le sceau de son ami composé de deux lions rugissant aux pattes dressées se faisant face. Il lut la missive où son ami l'invitait en son Château avec sa douce amie, qu'il aimait depuis toujours, Kate. Celle-ci avait sa vie en dehors du château de Saint Ymer et vivait dans une modeste demeure, certes celle d'une simple villageoise mais c'était sa maison natale et elle l'aimait. Antonin appela Mathilde et lui dit :

- Vas me cherche Kate et ramène-là ici, j'ai une grande nouvelle à lui annoncer
- Bien Monsieur le Duc … avez-vous une demande particulière ?
- Non, je le recevrai en amie ce matin

Après avoir terminé son petit déjeuner, il se rendit dans le grand salon et retrouva sa grand-mère, la Duchesse de Saint Ymer. Celle-ci le trouva fort excité par une débordante énergie :

- Grand-mère, j'ai absolument besoin de vos conseils
- Antonin, mon grand, qu’a t’il de si important pour une telle impatience ?
- Mon ami, le Seigneur d'Evans m'invite ce soir en son Château et demande que Kate m'accompagne
- Hé bien c'est une bonne nouvelle depuis le temps que vous la fréquentez… ne rêviez-vous pas de la lui présenter? (la Duchesse appréciais cette jeune fille de modeste condition mais semblait avoir une grandeur d'âme hors du commun et pour la Duchesse, elle était de bonne présentation)
- Si bien sûr, mais il lui faut des vêtements digne d'une Dame pour se présenter au Château devant le Seigneur d'Evans et Maître incontesté et reconnu de notre monde…
- En effet, venez jusqu’ici, nous allons lui trouver une tenue digne d'une Duchesse qu'elle deviendra quand enfin vous oserez faire votre demande de mariage, lui dit-elle légèrement moqueuse.

- Justement grand-mère, je compte ce soir même demander au Seigneur d'Evans la main de Kate et l'occasion est idéale car mes chères cousines Alix et Clémence et mon cher cousin Louis-Etienne seront présents et j'en suis sûr, ils seront tous ravis de cette nouvelle.
- C'est vrai ! dit-elle en ouvrant un large coffre en bois où étaient soigneusement pliées de belles robes dans les plus belles étoffes. (La Duchesse en sortit une de toute beauté) - Bon alors cette tenue que pensez-vous de cette robe ? Elle est du plus bel effet ! Regardez ce bleu clair lui va à merveille, nous la compléterons avec une ceinture de soie blanche et Mathilde se chargera de sa coiffure … Elle sera ravissante, digne du Seigneur d’Evans, de vous bien sûr et du rang qu'elle va désormais tenir à vos côtés.
- Merci grand-mère, cette robe est magnifique, j'ai hâte qu'elle arrive et la lui montrer.
- Attendez, j'ai quelque chose pour vous mon garçon, je le tiens de ma mère.

Elle se dirige vers sa commode en sort un petit coffret qu'elle ouvre il contient une très belle bague surmontée d'un rare rubis elle la tend à Antonin.

- Elle est magnifique grand-mère mais je ne peux l'accepter.
- Prenez-là, je veux la savoir au doigt de celle que mon petit-fils aura choisi.
- Merci grand-mère c'est un précieux présent…

Initiation de Messire Ronan d’Evans avec la fille de la cuisinière :
Pendant ce temps, au Château de la Seigneurie de Beaujeu, Messire Ronan d’Evans devenu jeune adulte était l'aîné des fils du Seigneur Charles d'Evans et au vu de son âge, il devait être accepté dans le cercle de Domination/soumission que son père avait créé et qu’il gérait d’une main de fer. Le soir même, Ronan allait donc passer son initiation… Sa chambre avait été équipée pour l'occasion. Angélique, la fille de la cuisinière du Château, était menée en laisse par Godulfe dans la chambre de Ronan, mais elle ne voulait pas que le fils du Seigneur Charles d'Evans se serve d'elle pour sa première expérience en tant que Dominant et futur Maître comme son père avant lui.
Sa mère lui avais dit, juste avant que, Godulfe le bras droit du Seigneur, ne l’emmène en laisse :

- Tu n'as pas le choix si Messire Ronan te veux, tu acceptes.
- Mais mère, je ne suis pas soumise juste une aide dans votre travail dans les cuisines du Château.
- Si tu refuses le Seigneur, Maître des lieux, peut te chasser définitivement de Son Château, tu n’auras plus sa protection, ni le logis et tu vivras miséreuse dans nos campagnes à mendier le pain… C'est cela que tu veux?
- Non mais...
- Il suffit, tu obéis un point c'est tout ! Après la mort de ton père, il y a plus de dix ans, si je n’avais pas trouvé ce travail de cuisinière ici au Château et demander le pain et le logis en échange pour nous deux, nous serions déjà décimées par la faim. Et estime-toi heureuse que Messire Ronan a été préparé par le plus Grand Maître qui soit et est un homme honnête et respectueux de Ses serfs de Sa Seigneurie.
- Bien mère, répondit Angélique tête baissée et résignée…

Messire Ronan d’Evans l'attendait assis dans son confortable fauteuil, Godulfe frappe à la porte de la chambre du fils. A sa grande surprise, c'est le Seigneur Charles d’Evans, Lui-même, qui ouvrit la porte.

- Godulfe, vous voilà, c'est elle qu'il a choisi ?
- Oui Sire, je vous prie de m'excuser, je vous ai interrompu.
- Que neni mon ami, nous avions fini. Recommandations de dernières minutes à mon fils. (Il s'écarte afin de laisser Godulfe passer) - Je vous en prie mon cher, entrez.

Godulfe entra, le Seigneur des lieux referma la porte derrière Lui et s'éloigna sans autre mot prononcé.

- Messire Ronan, la chienne que vous vouliez.
- Merci Godulfe, tu peux disposer…

Angélique se retrouva à genoux au centre de la pièce :

- Que fais-tu encore habillée, chienne ?
- Je m'excuse Messire, je n'ai pas l'habitude.
- On ne s'excuse pas à soi-même.
- Pardonnez-moi.
- Tu oses me donner des ordres, de mieux en mieux.

- Non Messire je suis désolée, je vous prie de me pardonner.
- Voilà qui est mieux, maintenant enlève-moi tout ça.

Avec hésitation, toujours aussi résignée, Angélique retira timidement tous ses vêtements et s'agenouilla mains dans le dos tête baissée, comme sa mère le lui avait fortement conseillé, voire ordonné afin de satisfaire Messire Ronan et ainsi rester au Château, loin de la misère de l’extérieur.

- Bien, j'imagine qu'on t'a expliqué les règles ?
- J'ai été en partie préparée par les esclaves de votre père et par moi-même pour certaines choses, Messire
- Qu'as-tu fait par toi-même ?
- L'épilation à la cire d’abeilles, Messire.
- Bien… Debout.

Messire Ronan d’Evans s'approcha et sans autre préambule, il lui prit les cheveux et tira sa tête en arrière pour l’embrasser fougueusement en pénétrant sa langue, forçant ainsi la cavité buccale d’Angélique. Puis toujours par les cheveux, il l'a fait assoir sur le lit. Tout en la fixant droit dans les yeux d’un regard carnassier, Ronan sortit son gros membre déjà fortement dressé et l’exhibait fièrement devant le visage de la soumise....

- Suce-moi, la chienne.

Angélique tenta un geste de recul, mais la forte empoignade exercée sur son épaisse touffe de cheveux empêcha ce repli et l’effet contraire se produisit car Ronan approcha ainsi le visage d’Angélique à quelques millimètres de sa verge en rection. La belle n’eut d’autre choix que d’ouvrir la bouche afin de le sucer, l’aspirer, le lécher, sa tête immobilisée sur cette noble queue...

- Tu fais bien ça, petite catin.

Il passa sa main entre ses jambes, après lui avoir fortement pressé ses tétons, elle était trempée.

- Mais ? Mais … c’est que ça t’excite, la chienne de sucer le Maître … En levrette sur la table.

Angélique obéit sans dire mot et il faut bien le constater, sans se faire prier, comme si le fait de se sentir contrainte l’excitait plus que raison. Ronan d’Evans la rejoignit une cravache à la main et la posa sur son dos.

- Si elle tombe, gare à toi.

Messire Ronan d’Evans revint avec un bout de branche cylindrique, en hêtre, travaillé à lui donner une forme conique, qui de nos jours appelons plug. Il était de bonne taille et l'approcha de la bouche de la femelle pour qu'elle le lèche afin de le lubrifier. Tout en lui ordonnant d’écarter ses cuisses et ses fesses. Au bout d’un long moment où durant ce temps, il flatta abondement la croupe de la belle, caressant son beau fessier arrondi, en allant maintes fois fouiller la chatte trempée de la chienne qui exhibait une humidité excessive au point que sa cyprine coulait le long de ses cuisses. Tout d’un coup Ronan vint lui placer dans son fondement anal le plug. Elle grimaça et gémit.

- Silence chienne, n'as-tu donc rien appris ?

Elle ne répondit pas et Ronan reprit la cravache.

- Tu débutes, alors je fixerai moi-même ta punition pour ton comportement de toute à l'heure. 50 coups pour ton manque de respect et tu compteras à haute voix tu me remercieras à la fin d’avoir la bonté de t’éduquer en une bonne chienne soumise et obéissante.

Messire Ronan d’Evans commença, les coups de cravache pleuvaient, et Angélique pleura en silence mais paradoxalement éprouvait un certain plaisir excitant qu’elle ne s’expliquait même pas à elle-même. Il frappa comme son père le lui avait appris en ne laissant jamais le même lapse de temps entre les coups afin qu'elle ne puisse anticiper le prochain… Au dernier coup :

- … 50... mer…merci, Messire d'avoir pris de Votre temps pour me corriger... dit-elle grimaçante de douleurs et en lui embrassant la main en signe de reconnaissance tout en restant en position
- Descend, met-toi près du lit, la chienne.

Il retira le plug en bois et le remplaça de suite sans attendre par sa grosse verge dressée et la pénétra par le cul sans plus de cérémonie ?... Surprise de cette subite saillie, elle hurla de douleur mais étrangement de plaisirs aussi qui montait crescendo dans son bas-ventre. Il la pilonna à grands coups de reins puissants tout en émettant des ‘’han’’ de bucheron à chaque poussée virile et profonde ainsi de longues minutes alors qu’elle ne cessa de gémir de plaisir à se faire ainsi enculer si bestialement.

- Tais-toi la chienne, tu me déconcentres.

Angélique se mordit alors la lèvre pour ne pas gémir, sa chatte dégoulinait de nouveau son excitation car cette situation lui plaisait malgré elle… Au bout d’un long moment il se retira sans avoir éjaculé, pour lui ordonner :

- Couche-toi sur le dos, chienne. (Il veut lui introduire un autre gode en bois de grande taille et soudain suspend son geste) - Ce n'est pas parfaitement épilé.

Messire Ronan d’Evans la regarda sévèrement dans les yeux d'un regard si Dominant et réprobateur lui faisant sentir que si elle n'était pas couchée elle tomberait à ses pieds :

- Tu sais ce que ça signifie ?
- Oui Messire, une punition.
- Exacte.

Il lui mit alors le volumineux gode qui l'a fait grimacer
- Présente-moi de nouveau ton cul, salope.

Il la sodomisa de nouveau en la pilonnant tant qu'il put à grands coups de boutoirs digne d’un taureau en rut et joua perversement avec le gode dans sa chatte en même temps. Elle se tut en retenant ses couinements de plaisirs mais était au bord de la jouissance

- Je t'interdis de jouir, salope.

Ronan, à force de la besogner sentit son plaisir monter et sans se retenir, il éjacula cette fois à grands coups de reins par de longs et épais jets saccadés de sperme chaud au fond du cul de la chienne tout en laissant échapper de longs râles de jouissance. Il resta ensuite en coït profond et immobile tout au fond de son cul. Quant à Angélique, elle ne put tenir et elle jouit, hurlant son plaisir orgasmique tellement ce traitement par son cul et sa chatte en même temps l’avait excitée.

- Mais ? Tu as joui ! Chienne. (courroucé, il se retira et revint avec un martinet).

- Tu mérites 50 coups de plus et crois-moi, tu vas les sentir, sache que je ne tolère pas d'une chienne qu'elle désobéisse à un ordre direct.

Messire Ronan d’Evans lui marqua le dos, les fesses, les épaules et frappa aussi sa chatte des lanières de cuir du martinet. Et plus il frappait, plus elle se sentait en chaleurs, plus elle en était de nouveau excitée …

- Tais-toi, je ne veux plus t'entendre sauf les chiffres.

Au dernier coup, elle s'écroula sur le sol en sanglots de douleurs mais paradoxalement trempée d’excitation. Il n'y prêta pas attention et rangea tranquillement ses affaires. Quand elle fut calmée, il s'installa dans un siège ressemblant à un petit trône et lui dit :

- Ici, sur mes genoux.

Il utilisa la badine pour une série indéterminée de fessées jusqu'à ce que son cul soit rouge vif, presque à sang et le restera ainsi quelques jours

- Ca c'est pour être mal épilée et ne pas m'avoir remercié après les coups de martinet. Rhabille-toi et retourne aux cuisines, chienne qui ne sait pas se retenir de jouir...

Le Seigneur Charles d'Evans et Godulfe étaient dans la pièce d'à-côté et on tout suivi par des ouvertures prévues dissimulées dans le mur.

- Mon fils, vous avez été parfait.
- Merci père, j'ai appliqué vos précieux conseils.
- Ce soir à notre réception, vous serez officiellement admis dans notre cercle. Ainsi plus tard, tu transmettras, toi aussi à ton tour, à ta descendance, mon enseignement à la Domination/soumission et ainsi de suite… Et, je l’espère, notre Art de vivre perdurera de génération en génération jusqu’à la fin des temps où du moins, je le souhaite, pour des siècles et des siècles encore…

Un sourire éclairait le visage du père fier de son fils….

(A suivre…)

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