Ma Femme Me Surprend

Deux fois par mois, nous nous retrouvons pour une soirée poker, pas pour l’argent, car nous jouons avec des billets de Monopoly, non simplement pour le jeu et pour le plaisir d’être ensemble. Et à la fin de la soirée, celui qui a perdu le plus de billet doit recevoir chez lui pour la soirée suivante ; ayant perdu largement la dernière foi, c’est pourquoi aujourd’hui, nous sommes chez moi, avec pierre et Joël, deux amis, ainsi qu’une connaissance de Joël, Guy ; l’ambiance est joueuse, bien arrosée, un peu enfumée.
Il est très tard quand ma femme, sortie avec une copine rentre, alors que nous n’avons pas totalement fini la partie. « Mais c’est un véritable tripot ici ! » En effet nous avons quitté nos vestes, les bouteilles de bière sont sur le tapis et nous parlons plutôt fort. Cela nous fait rire, mais Pierre s’écaffe « pour être un tripot, il faut des femmes, et je dois reconnaitre que tu vas bien dans l’ambiance » cela fait rire tout le monde, mais je réalise qu’il n’a pas tort ; en effet Nini est courte vêtue, en talons hauts et avec un boléro cachant le minimum de sa poitrine ; il est évident qu’elle ne porte pas de soutient gorge. Je suis un peu surpris de sa tenue car elle ne devait qu’aller voir son amie.
« Mais je peux me mettre dans l’ambiance, si mon homme le permet » et elle me provoque en posant son pied sur ma cuisse, ce qui fait remonter sa jupe, dévoilant un peu plus ses cuisses ; je suis sûr que la vue sur sa culotte doit être complète pour mes amis. Son arrivée a un peu perturbé le jeu car les plaisanteries fusent, encourageant le jeu de Nini ; alors qu’elle m’embrasse fougueusement, je comprends qu’elle a du boire plus que nature car elle sent un peu l’alcool et je comprends mieux son ‘détachement’. Je crains pour la suite, même si cela commence à m’exciter, ; d’autant plus que Pierre, à côté de moi, avec qui nous jouons parfois en trio, réclame lui aussi un baiser. Aussitôt dit, aussitôt fait, se tournant vers lui, elle s’assoie sur ses genoux, se penche et lui emprisonnant la tête à deux mains, elle l’embrasse goulument.

Je surprends les regards appuyés sur elle, car en s’asseyant sur les genoux de Pierre, sa jupe nous dévoile totalement son pubis, et l’absence de tout sous- vêtement ; tous peuvent voir les lèvres, rosées, humides, d’où pointe un petit bourgeon, alors que le baiser se prolonge.
Le silence s’est fait dans la pièce, et je ne sais pas comment réagir car je commence à bander, connaissant ma nini, mais la présence de Joël et de son ami, me pose problème. Cela ne dure pas longtemps, il réclame un baiser pour tous, tendant la main vers elle. Sans un regard vers moi, elle se dirige vers lui et se plaçant en lui et son ami, elle les embrasse ; en se penchant, un sein se dévoile et elle ne bronche pas, bien au contraire car en se relevant, je constate que son boléro est totalement ouvert, dévoilant sa poitrine, et quelle poitrine : un90b, les seins bien ronds et haut placés, les tétons bien dresses à milieu d’une auréole brunâtre. Je pense que je ne suis plus le seul à bander et je décide de la laisser jouer. En se déhanchant, elle se dirige vers la chaine et place un disque sur la platine.
Fière, provoquante, elle se promène autour de la table, se frottant contre mes amis, se retirant quand les mains essaient de se poser sur elle. « Vous vouliez une femme dans votre tripot, c’est ok » et me tendant la main elle me demande de l’aider à monter sur la table, ce que je fais sans hésiter, d’autant plus que ce faisant, elle nous dévoile à nouveau son minou dénudé. Lascivement, elle se met à danser faisant face alternativement à chaque homme, puis jetant son boléro, elle joue avec ses seins ; les yeux sont rivés sur elle et personne ne bronche. Tournoyant, elle se caresse, ses mains descendant vers son bassin, jouant avec sa jupe, la remontant, pour la faire retomber aussitôt.
Avec brio, d’une main, elle a décroché le bouton de sa jupe et gracieusement, elle la fait glisser le long de ses jambes, puis l’enjambant, elle continue sa danse, totalement nue, totalement excitante, totalement offerte.
Ses seins dansent et sa chatte, totalement épilée, se dévoile à chaque pas ; minou d’où s’écoule maintenant des perles de cyprine. Les respirations se font plus bruyantes et tous les visages marquent l’envie. Alors que je lui tends la main pour l’aider à descendre, en me fixant dans les yeux, elle la refuse : « pour une fois l’enjeu sera différent ; c’est le vainqueur de la soirée qui va m’aider, je suis le trophée » et tournant face à chacun de nous, « qui est le gagnant de mon corps ? »
Même si la partie n’est pas totalement finie, c’est Joël qui est en tête, et il le sait. Se levant, il lui tend la main, et il est facile de voir que son pantalon est bien tendu. Redescendue, elle se love sur ses genoux en lui tendant ses lèvres et quand il commence à lui ploter les seins, elle ne bronche pas, bien au contraire, elle se dandine sur les cuisses et avec un grand sourire « il est bien tendu ! » Joël a compris et il ne se retient pas, sa main glisse le long du corps offert et lui caresse le mont de venus ; impudique, elle écarte les cuisses favorisant l’accès à sa grotte ; d’une poussée, il enfourne deux doigts, déclenchant un petit cri de surprise ou de plaisir, car c’est sans difficulté qu’il la possède, la doigtant puissamment, sous le regard un peu éberlué de l’ami de Joël. Pierre a déjà vécu cela, mais il faut reconnaitre que cela nous surprend beaucoup, car si nini est très demandeuse de sexe, elle est toujours plus discrète.
Et ce soir, ce n’est pas le cas, bien au contraire ; Joël a compris qu’elle s’offre à lui et sans tenir compte de notre présence, il l’allonge sur la table, les jambes pendantes et sans hésiter, il plaque sa bouche sur le sexe offert ; nini gémit sous la caresse de la langue qui la fouille ; elle écarte les cuisses ; impudique, elle s’offre à cet amant imprévu. Autour d’eux, nous formons le cercle, nous caressons discrètement le sexe à travers notre pantalon ; il faut dire que le tableau est érotique ; nini se tord de plaisir, appuyant la tête de son suceur sur sa vulve ; soudain son regard se voile et dans un long feulement, elle jouit, épandant sue le visage de Joël un flot de cyprine ; il est rare qu’elle se révèle fontaine, mais ce soir, c’est un jet continue qui l’inonde.
Sans un regard vers nous, il baisse son pantalon et son caleçon, et une trique jaillit ; fine mais longue, sa queue bat , se frotte sur le pubis avant de la déflorer d’une seule poussée. Un cri jaillit de la gorge de nini puis un « oh oui prend moi fort «
Autour, les queues sont sorties de leurs enclaves et c’est Guy, l’ami de Joël qui le premier vient présenter sa queue aux lèvres de nini ; d’abord surprise, finalement elle gobe le gland offert et sa bouche , au rythme de sa pénétration, enfourne le sexe tendu ; court mais gros , elle doit se distendre la bouche pour l’avaler en entier, d’autant plus que Guy lui tenant la tête ,s’enfonce à chaque fois jusqu’aux couilles. Joel, lui en profite pleinement, la pénétrant à chaque fois jusqu’à la garde, de plus en plus puissamment, lui pinçant en meme temps les tétons turgescents, ce qui, je le sais va la faire jouir encore plus intensément. Sous les coups de butoirs, elle se tend, s’offre au sexe qui la possède, cambrant son bassin pour mieux le sentir au fond d’elle ; vue la longueur de la tige arquée, elle doit le ressentir jusqu’au fond de sa matrice. Trop excité, Guy, collé à la bouche de nini, ne tarde pas à jouir et il se vide, sa semence emplissant la gorge . Sous les jets , elle avale, s’étrangle, déglutie difficilement et finalement rejetant le membre, elle reprend de l’air, la jute s’écoulant sur ses joues.
Joël , lui continue à la pilonner, ;puissant , ardant, performent , il l’amène à plusieurs jouissances, accompagnées de demande de saillies de plus en plus violentes de la part de sa partenaire ; Pierre , lui se masturbe à coté de moi, et j’en fais autant ; il sait que passée cette joute, il la possèdera lui aussi, car c’est sa maitresse et nous la prenons régulièrement tous les deux. Joel, lui par contre, n’a pas encore jouit ; se retirant, sous les reproches de nini, il la retourne et la plaquant à plat vente sur la table, il investit à nouveau sa chatte. La pénétration, brutale et complète s’accompagne d’un grognement de satisfaction de ma petite femme ; elle aime être contrainte, possédée, soumise et il la comble entièrement, d’autant plus que son doigt investit le cul offert et il le dilate, pour enfourner ensuite ses doigts ; nini se cabre, écarte ses fesses ; « vas-y encule moi, remplit moi de ta semence »
Pour lui, la demande est puissante et se retirant de la moule baveuse, il se plante sur l’anneau encore peu dilaté et d’une poussée, il le défonce, le perfore sans retenue ; la douleur doit être importante pour elle car elle gémit sous la contrainte, mais bizarrement, elle réclame « oh oui, fouille moi, montre leur comment tu me défonces le cul, baise moi , fais de moi ta petite salope » déchainé par les propos, il la percute violemment ; à chaque poussée ses couilles viennent frapper le fessier offert ; possédée, sodomisée avec détermination, nini se lâche, criant son plaisir, jouissant plusieurs fois sous les à-coups dans son fondement, puis soudain un grand cri sort de sa bouche, les yeux dilatés par le plaisir, et elle s’affaisse sur la table ; brisée par la jouissance, elle semble inerte ;je ne m’inquiète pas car c’est fréquent chez elle quand sa jouissance est complète ; pierre vient de juter sur son corps et moi je fais de même.
Surpris par contre, Joël se retire, sans avoir éjaculer.
Reprenant ses esprits, elle l’allonge sur le sol, elle se plante sur la tige fièrement dressée, l’embrassant tendrement ; ainsi allongée, elle dévoile son anneau, s’ouvrant spasmodiquement encore dilaté de la précédente enculade ; je regarde Guy, qui médusé, se branle, la queue à nouveau tendue ; d’un signe de tête, je l’encourage ; d’abord hésitant, il finit par se présenter contre les fesses offertes et son pénis gonflé par l’envie perfore l’anneau frémissant ; l’enculade est profonde, le sexe court mais très épais dilate le conduit, le remplit. Prise en double , elle geint, encaisse les deux chibres qui s’organisent pour mieux la défoncer ; à tour de rôle , ils la possèdent, s’enfonçant sans retenue ; c’est Guy qui mène la danse, son bassin percutant les fesses de nini, sa queue lui défonçant l’anneau ; Joël lui la maintient , la queue profondément enfoncée dans la chatte ; sous les assauts de ses pourfendeurs, elle encaisse gémit de plaisir, se livre sans détour à cette double pénétration ; elle feule en permanence, jouit, sous la contrainte de cette joute en elle ; possédée,, sodomisée, elle jouit , se livrant sans retenue.
C’est Joël qui le premier se vide en elle , grognant de plaisir, alors que Guy, toujours fringant continue. Quand Joël se retire, la queue devenue molle, un flot de semence s’écoule de la chatte libérée. La jouissance de nini déferle à nouveau quand ,enfin , accroché à ses hanches , cambré pour mieux être au plus profond de son fondement, Guy éjacule ; les jets doivent être puissants car elle vibre à chaque contraction. Enfin, il se retire, un filet de jute le reliant encore au cul possédé ; parcourue de tremblements, signe de son plaisir intense, Nini roule sur le côté, les cuisses maculées de leurs semences mélangées ; les deux conduits, rouges, dilatés, pleins de sperme, traduisent à nos yeux la puissance des deux possessions.
Alors que les deux gâtés par la soirée se sont retirés, pierre et moi, nous emmenons Nini, épuisée et couverte de sperme et dégoulinante de sécrétions de ses deux amants d’un soir. Allongée sur le lit elle nous explique alors son attitude
« Sur le site, j’avais déjà lu des récits où la femme venait au secours de son mari, perdant, subissant les assauts, au début contre sa volonté, pour éponger ses dettes. J’ai eu alors l’envie d’une situation inverse ; la femme s’offre au vainqueur devant son homme. A mon retour de chez mon amie, je suis rentrée discrètement afin de me changer et de me présenter à vous dans la tenue osée que vous avez découverte. Voilà vous savez tout ; j’ai beaucoup aimé, mais maintenant j’ai envie de mes deux amours ; pour eux je suis surement une petite salope, mais pour toi je suis ta petite femme qui aime t’apporter ce genre de plaisir et toi pierre, mon amant, le vrai.

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