Collection Cocu. Cadeaux De Noël Et Jour De L'An (1/1)

Noël, ses courses, vivement que tout cela se termine, sans compter qu’il va falloir recommencer à se creuser la tête pour le jour de l'An, Gabriel mon mari va recevoir comme tous les ans, certains de ses adjoints avec leurs épouses.
Le repas, c’est sympa, on danse sur la musique d’un D.J. qu’il engage sans que cela ne nous coûte le moindre euro.
Je fais principalement mes courses aux Galeries Lafayette, j’aime la beauté de l’édifice ainsi que la qualité de ses articles.
Pour Noël, c’est facile, j’ai un fils qui est à l’école maternelle, il en est encore aux jouets pour les s, le rayon est si bien achalandé qu’il me faut cinq minutes pour acheter l’un des jouets que je lui ai fait mettre sur sa liste au Père Noël.
Mais avant, je trouve l’eau de toilette pour Gabriel, une autre pour papa et un parfum pour maman.
Au rayon lingerie, je repère un ensemble bustier avec petite culotte rouge, je le regarde, il est hors de prix, Gabriel, fonctionnaire d’état haut placé à la préfecture de police, gagne largement notre vie, mais j’ai tendance à être dépensière.
Je vais en regarder d’autres, revenant voire le premier, je suis une acheteuse compulsive, mais parfois, je sais être raisonnable.
Mes pas me dirigent vers le rayon des chaussures, j’essaie une paire à prix cassé, il est certain que du 38, une des tailles les plus vendues, je n’en trouverais pas.
Les chaussures se trouvent dans des boîtes sur deux rangs, coup de chance, la dernière est du 38, je les prends, je repasse devant l’ensemble de lingerie rouge, je me vois très bien me déshabiller le soir de Noël après le réveillon gardant l’ensemble et mes talons hauts que je viens de m’acheter.
Gabriel sera comme fou et il me prendra comme il sait tellement bien le faire, il est plus âgé que moi, presque dix ans, certes, mais à 45 ans, il est toujours très viril.
Non, je repose l’ensemble, regardant une dernière fois l’étiquette, ce serait déraisonnable, je vais pouvoir acheter trois cadeaux pour la nouvelle année la semaine prochaine pour le même prix.



• Prenez cet ensemble, il vous ira à ravir, l’homme de votre vie, sera dans l’obligation de se jeter sur vous et il vous déchirera.

Mince un dragueur de super marché, il faut toujours que j’en aie un qui vienne m’embêter chaque année quand je fais ce type de courses.
Je passe mon chemin me dirigeant vers le rayon jouet, Jules avec mon aide à demander des Play mobiles, je pose mon panier avec mes premiers achats et la paire de chaussures.
Je cherche, une boîte est magnifique et largement dans les prix que je veux mettre pour mon .

• Super, cette boîte de Play mobile, ce château-fort est magnifique.
Problème, belle , vous avez vos autres courses et pas assez de main, je vais vous aider jusqu’à la caisse, après ils vous auront emballé vos cadeaux et vous pourrez rentrer chez vous sans aucun problème.

Un dragueur, mais un dragueur pour une fois utile, joli garçon de surcroît, à une autre période de ma vie, quand ce genre de beau gosse se présentait, j’avais vite fait de les faire venir dans mon lit.
Ne nous méprenons pas, je n’étais pas une pute, tout juste une jeune femme de son époque, prenant la pilule, ayant perdu son pucelage à 16 ans, normal pour la fille du chef de Gabriel, papa étant encore plus haut fonctionnaire que lui, mais en prime retraité.
C’est à une remise de médailles pour service rendu à la patrie, que ce garçon fils d’un haut gradé lui aussi, m’a invité à une boum avec des copains, j’étais fière, mais maman veillait et sachant ce qui arrivait à de nombreuses filles de son époque, m’a fait prescrire la pilule en urgence.
Est-ce de savoir que j’étais protégé, surtout qu’il a mis une capote, que lorsque Ludovic m’a pris par la main et m’a conduit vers les chambres, je l’ai suivie très lucidement.
Un petit problème, la nudité, j’étais devant un homme, à voir sa verge tendue d’envie devant moi, il m’a appuyé sur la tête et j’ai compris quand je l’ai eu à hauteur de mes yeux où elle voulait entrer.

Un petit peu, résistante au début, j’ai pensé que Ludo m’apprenait à être une femme, une vraie femme, quand je regarde le parcours fait depuis ce jour, la fellation m’a bien souvent servi pour satisfaire les garçons surtout dans des endroits comme les voitures, même une fois dans les W.C. de la fac où j’ai fait des études de droit.
Le moment le plus désagréable a été sa verge me pénétrant, mon hymen devant être hyper résistant, car j’ai eu mal pendant trois jours.
Il a voulu me revoir, je comprenais que les garçons quand ils avaient enfin une fille à baiser voulaient se l’attacher, il avait une autre tare, fils de fonctionnaire de police, je l’ai largué sûr que je ne me marierais jamais avec un homme faisant le même métier que mon père.
Je vous passe tous les amants que j’ai eus pour un soir, car jusqu’à mon mariage, quand je fais un inventaire rapide, je tairais le nombre, mais aucun ne m’a pris deux fois de suite.
Beaucoup de filles ne couchent pas le premier soir, moi seulement le premier soir et après bail, bail au suivant.
Pourquoi dans ce magasin, ce beau gosse me fait penser à mes amants, c’est drôle, je ne me suis jamais attardée sur le nombre réel, Ludo, Julien, Benoît, Luc, Benoît 2, ne pas se méprendre, c’était un autre qui avait le même prénom ?
J’allais oublier, avant le deuxième Benoit il y a eu le petit gros dont j’ai oublié le nom, j’étais en manque et dans cette boîte où j’allais régulièrement, ce soir-là, j’allais faire chou blanc.
Il m’a suivi jusqu’à ma voiture espérant désespérément avoir mon numéro, pour m’en débarrasser, je l’ai suivi dans sa voiture et je lui ai fait une fellation.
À oui, Thierry, bon coup celui-là, j’ai failli lui dire de revenir le lendemain, mais par chance Adrien était là et j’ai continué ma série.
Alain, je me souviens, pourquoi ce beau brun a réussi à me sodomiser pour la première fois, à oui, je l’ai revu quelques mois plus tard alors que j’étais au bras de Gabriel, il était assis avec un bellâtre, il était gay.


Non, d’un chien, je pensais pouvoir les compter sur les doigts de mes deux mains, à la rigueur, ceux d’un pied, mais il m’en faudrait dix de plus au moins, j’ai vraiment été une grande gourmande.

Un jour, mon père recevait des collaborateurs, parmi eux, Gabriel, homme d’âge mûr qui a su intéresser la jeune femme que j’étais, il savait parler et surtout me rendre complice à sa conversation.
Il n’avait pas d’alliance, comme une petite dinde que je n’étais pas, je lui ai demandé s’il était divorcé, il m’a répondu, dans un grand sourire qu’il n’avait jamais rencontré une jeune femme comme moi.

Le lendemain, je le retrouvais dans son appartement qui devait devenir le mien et celui de Jules après qu’il eut demandé ma main à mon père, après cette agenouillé devant moi, dans un des plus grands restaurant Parisien du quartier de l’Opéra.
Je sais, je m’étais promis de ne surtout pas épouser un homme travaillant à la préfecture de Police, j’ai toujours dit un seul soir pour un garçon dans mon lit, Gabriel est resté deux, trois, jusqu’à notre mariage.

Ce genre de beau gosse, terminé, surtout depuis que mon petit bout de chou est né, alors vous pensez ce jeune dragueur.
Je n’y tiens plus, je retourne vers les sous-vêtements et je le mets dans mon panier et je le repose.

• Non, ne le reposez pas, cet ensemble est fait pour vous, Mademoiselle, appelez-moi le responsable de ce service, je voudrais lui parler.
• Je ne peux pas déranger mon chef pour rien, je le connais, vous espérez une remise, je ne l’ai jamais vu en faire, il refuse toujours.
• Mademoiselle, si vous croyez conserver votre place, appelée-le et très vite s’il vous plaît.
• Bien monsieur, il va venir, quand vous serez parti, il va m’enguirlander, je l’appelle.

La jeune femme compose un numéro, son chef arrive.

• Je peux vous parler discrètement monsieur, je ne voudrais pas que des oreilles indiscrètes entendent ce que j’ai à vous dire !

Ils s’éloignent, discutent et reviennent.


• Mademoiselle, faites une remise exceptionnelle de 20 % à madame, il y a une erreur sur l’étiquette, s’il y a un problème en caisse, dite leur de m’appeler, je serais dans mon bureau.

Je paye, je vais pour tenir tous mes paquets, il y en a trop.

• Je ne me suis pas présenté, Rodolphe, ce n’est pas bandant comme nom, mais je fais avec.
• J’aime bien, j’adore les prénoms anciens, Rodolphe cela me change, j’ai appelé mon fils Jules.
• Vous n’avez eu aucun Rodolphe comme amant, c’est le moment d’en essayer un.
Tenez, j’habite ici, montée, je vous offre un verre.
• Le coup du dernier verre, c’est moi qui le faisais, je connais.
• Vous le faisiez et vous connaissiez, pourquoi avez-vous arrêté ?
• Je me suis marié et je suis fidèle à mon mari.
• Je vous en supplie, il fait chaud pour un début décembre, j’ai fait de la limonade, elle est toute fraîche, elle n’attend que nous dans mon frigo.

Depuis que nous sommes plantés devant cet immeuble, les choses peuvent paraître suspectes, je finis par entrer par la porte qu’il a ouverte, je dois aussi dire que la limonade me tente, maman m’en faisait quand j’étais petite et j’adorais ça.
Nous montons, ce doit être le fils de quelqu’un d’important ou quand il n’est pas en mode dragueur, il doit avoir une très bonne situation pour loger dans cet immeuble cossu et avoir un appartement qu’il me fait visiter de quatre pièces.

• Assieds-toi, tu ne m’as pas dit ton nom, c’est plus facile pour la conversation.
• Isabelle, tu sais à part la limonade n’attend rien de moi.
• Je vais la chercher.

Il part en cuisine et revient avec un plateau, ou il a posé une carafe remplie et deux verres à jus de fruits.

• Isabelle, j’ai été sympa, ma limonade semble bonne à ce que je vois, en veux-tu un deuxième verre, mais avant j’aimerais que tu me montres comment tu es belle dans ton ensemble rouge ?
Tu peux aller dans ma chambre te changer et revenir jusque devant moi, ce sera mon cadeau de Noël personnel.

S’il souhaite ce cadeau pourquoi lui refuser, je récupère les sous-vêtements et je vais me changer avant de revenir vers lui, je fais un tour sur moi-même, j’étais en bas, je les ai gardés, j’ai mis mes chaussures à talons, il y a une glace.
Au deuxième tour, je me rends compte que je fais pute de la fin du siècle aux maisons closes, je n’ai pas le temps de tourner une dernière fois, il m’att et me colle sa bouche à hauteur de ma chatte qui est en feu.
Canapé, petite culotte juste écartée et sa verge en moi, j’ai basculé revenant à mes premiers élans avec les garçons, je peux avoir du remords, mais Rodolphe malgré qu’il soit encore très jeune est un amant bien supérieur à tous les hommes qui m’ont fait l’amour.
Pendant deux heures, il me fait une grande partie du Kama-Sutra, je suis arrivé sur son lit, j’ignore à quel moment, je sais que les orgasmes qui m’ont dévasté mon comblé.

• Je peux te poser une question, comment as-tu fait pour m’avoir 20 % sur les sous-vêtements rouges ?
• Maman est la directrice des Galerie, je lui ai dit qui j’étais.
• Dragues-tu souvent les clientes de ta mère ?
• Jamais, je sortais de son bureau, nous devions parler de mon avenir ; je t’ai vu et j’ai eu le coup de foudre.
• Tu te fiches de moi.
• Crois-tu que je t’aurais fait l’amour avec autans de fougue si je n’avais pas été ébloui par toi, j’aimerais que l’on se revoie ?
J’ai une idée, laisse la boîte avec le cadeau de Noël de ton fils, tu seras obligé de revenir le chercher demain à 14 heures, il va sans dire que je garde l’ensemble rouge, je serais jaloux que ton mari te voie avec.

Je l’ai quitté après qu’il m’eût pris une dernière fois, je suis revenue le lendemain et le jour d’après et encore, non, là, c’est Gaétan, Thierry, Jean-marcel le mari de l’une de mes amies présente le jour de l'An, sans oublier, merde, de nouveau, je n’ai pas assez de doigts aux mains et aux pieds.
Mais quesque, c’est bon de retrouver les verges de ma jeunesse, je vous quitte, j’ai rendez-vous chez Rodolphe, c’est le seul à qui je suis fidèle, il a préparé de la limonade.

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