La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1194)

Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE) – (suite de l'épisode précédent N°1193) -

La requête d'Alix :
Après quelques jours, Eléonore et Alix sont rentrées chez elles et Antonin s’en est retourné à Saint Ymer. Clémence est vivante mais ne veut plus ni parler, ni s'alimenter. Au Château, la vie suit son cours, le Seigneur d'Evans ne faisant plus appel à Alix, vue sa situation familiale… Un jour, au manoir de Maisondieu, un homme, ressemblant à un mendiant maigre, titubant, fatigué, se présente au portail forgé et demande à voir Madame de Maisondieu, Jacques, le valet lui donne du pain.

- Je … je … dois par … parler à Madame de Maisondieu, dit-il tout en pâtissant de parler, le souffle court, les yeux presque blancs
- Je la remercierai pour toi, mon brave, allez file
- N… non … je … je sais où est Lou … Louis-Etienne

Ce fut les derniers mots qu’il put dire avec difficulté juste avant de s'évanouir, chutant sur le sol de son propre poids, trop faible pour rester éveillé. Jacques entendit, avec intérêt, les dernières paroles de cet homme frêle, et emmène de suite en le portant sur son dos, cet homme dans la grange, puis va au plus vite prévenir Madame Eléonore :

- Madame, un homme à l'aspect d'un mendiant est arrivé au portail, il affirme savoir où est Louis-Etienne
- Comment ? Et où est-il ?
- Je l'ai amené dans la grange
- Pas lui, enfin tu as bien fait, mais Louis-Etienne ?
- Je ne saurais le dire Madame, il s'est évanoui avant de pouvoir le dire, il me paraissait en effet au bord de l’épuisement
- Alix, venez avec moi, allons le voir

L'homme est toujours allongé dans la grange, inconscient, Léontine, la servante s'occupe de lui. Il a un visage assez jeune mais émacié et il a l'air d'avoir passé plusieurs mois sur les routes

- Connaissez-vous cet homme, mère ?
- Non, mais dans l'état où il est je crains que sa pauvre mère ne le reconnaitrait même pas.


- Prenez soin de lui et prévenez-nous quand il reprendra conscience
- Bien Madame
- Mère, il faut prévenir Antonin et la comtesse de Saint Ymer ?
- Oui, je vais envoyer un messager
- Non, je préfère y aller, galoper un peu me fera du bien
- Comme vous voulez ma fille
- Jacques, prépare mon cheval, je monterai en tenue d'homme
- Bien, dit-il levant les yeux au ciel en pensant, une si jolie jeune fille s'habiller en homme quel dommage !

C’est ainsi que la belle Alix enfourche son cheval et part à toute allure en direction de Saint Ymer. Une fois arrivée, elle ne trouve que la Comtesse qui lui dit qu'Antonin est au Château avec Kate et lui offre de prendre quelque chose à boire et se reposer un peu, elle accepte et en profite pour mettre la Comtesse au courant des événements et part assez rapidement en direction du Château. Arrivée à l’illustre demeure, Alix actionne la cloche devant la lourde porte. Godulfe lui ouvre la porte et de grands yeux, il ne l'a jamais vu habillée en homme.

- Alix, c'est bien vous?
- Bien sûr, je vous prie de m'excuser, mais je dois voir Antonin immédiatement, on a des nouvelles de Louis-Etienne
- Oui, bien sûr, suivez-moi, il est dans le petit salon avec sa fiancée, Sire d'Evans et Ronan
- Allons-y

Godulfe frappe à la porte du petit salon et entre sur ordre. Avant qu'il n’ait pu dire quoi que ce soit pour annoncer Alix, celle-ci passe devant lui et tombe à genoux devant le Seigneur d'Evans

- Maître, je suis désolée de venir ainsi sans prévenir, mais c'est de la plus haute importance

Sachant qu'elle n'agirait pas ainsi si cela n'était pas vraiment urgent, Le noble Seigneur, lui répliqua :

- Alix, relève-toi et dit-moi ce qu'il se passe ?
- Louis-Etienne est en vie

A ce moment-là, tout le monde pose des questions en même temps

- Calmez-vous tous, dit le Seigneur d'Evans un à la fois, comment voulez-vous qu'elle réponde si vous la harcelez ainsi ?
- Désolée, Charles, mais cette nouvelle est vraiment excellente et inattendue
- Je le sais, mon cher justement, alors Alix ou est-il ?
- A vrais dire, on ne le sait pas exactement mais un homme est arrivé au manoir et affirme savoir où il est, mais trop faible, il s'est évanoui avant de nous le révéler, mais il est vivant.

- Qui est cet homme? demanda Antonin
- Nous l'ignorons, mon cousin, mais j'ai voulu vous en informer au plus vite
- Oui, vous avez bien fait
- Mon Seigneur, il faut le retrouver, c'est mon frère, supplie t'elle.
- Bien sûr, ne vous inquiétez pas je me charge de tout. Godulfe prépare tes hommes, les meilleurs de la garde, fait une liste des équipements et n'oublie rien, je prends tout à ma charge.
- Bien mon Seigneur, ce sera fait ce soir même

Antonin met un genou à terre devant son ami, le Seigneur d'Evans

- Mon Seigneur, je vous demande de me joindre à vos troupes, Louis-Etienne est mon cousin, il est de mon devoir de lui porter secours
- Bien sûr que j'accepte. Antonin mon ami, je vous comprends mais que vais-je faire sans vous ?
- Charles, puis-je vous confier Kate, vous êtes le seul en qui j'ai assez confiance pour vous la laisser en mon absence
- C'est évident que je l'accepte et je vous promets d'en prendre grand soin

C'est au tour d'Alix de faire une requête à son Seigneur et Maître se mettant de nouveau à genoux

- Maître, je me permets de solliciter de votre part l'autorisation d'être libérée de mes obligations envers vous le temps de cette mission?
- Pourquoi donc devrais-je te libérer durant cette mission ?
- Car je souhaite moi aussi y prendre part … (voyant son regard plus qu'étonné elle s'empresse d'ajouter) … je sais que je suis une fille mais sachez que je manie l'épée aussi bien qu'un homme et monter comme un homme, la preuve, voyez ma tenue.

Il remarqua seulement à ce moment-là qu'Alix portait une tenue de cavalier homme

- Mon Seigneur, intervint Antonin, elle dit vrai, c'est une fine lame, elle a gagné plusieurs fois face à moi et face à son frère, si vous acceptez sa requête je ne peux souhaiter meilleure équipière sur cette mission.
- Bien, je dois y réfléchir je vous tiendrai informé en temps voulu, mais vous aurez le temps de vous préparer.

- Merci Maître …

Punition au donjon :
Ce jour-là, il était prévu que le Seigneur d'Evans punisse une soumise particulièrement difficile, laissant pour le moment Godulfe préparer la mission de sauvetage pour Louis-Etienne. Cette soumise se nommait Ignabelle, elle était la fille d'une riche connaissance du Seigneur d'Evans, parti en mission à l'étranger sur ordre du Roi. Avant de partir, il avait demandé au Seigneur d'Evans, s’il acceptait de prendre sa fille à son service le temps de son absence sachant que ce séjour au Château lui ferait le plus grand bien afin de la rabaisser de son arrogance. En effet, Ignabelle était une jeune fille hautaine, trop gâtée, devenue trop capricieuse et ne respectait rien, ni personne, elle était d’une telle insolence envers son père que celui-ci avait donc décidé de la faire dresser, éduquer, par le grand savoir-faire de son vieil ami le Seigneur d'Evans... Ce dernier ‘attendait’ donc dans la salle du donjon le chevalier chargé de la lui amener. Il arriva, la tenant en laisse…

- Merci Messire Léon, laisse-nous, je m'en occupe …
- Bien Messire d'Evans et il sortit

Léon fut à peine sorti que cette femelle se relève, le Seigneur d'Evans stupéfait par ce comportement, ne réagit pas tout de suite…

- Sachez Messire, que je refuse de me conduire comme une chienne. Mon père n'est pas n'importe qui et je puis vous assurer qu'à son retour, il saura tout ce qui se passe ici. Je ne suis pas de votre Seigneurie mais de celle du Comté de Forez, dont mon père en est le Seigneur incontesté…
- Bien ma chère, répondit-il d'un ton faussement cordiale, dites-le à votre père tant qu'il vous plaira mais pour votre information, il est parfaitement au courant et c'est pour cette raison qu'il vous a confiée à Moi, Seigneur Charles d'Evans, Seigneur de la Seigneurie de Beaujeu…

Ignabelle, malgré qu’elle soit hautaine, à l’énoncé du nom de Celui qui vient de parler, est très troublée et se met à trembler de tout son corps, tellement le nom du Seigneur Charles d'Evans l’a toujours vraiment impressionné.
Son père lui avait souvent parlé de Lui comme le Maître des Maîtres et de ses activités D/s et souvent quand il voyait sa fille aussi capricieuse, il l’a menaçait de l’expédier dans la Seigneurie de Beaujeu pour la faire plier. Le Comte du Forez avait décelé que seule cette menace avait un impact sur le comportement de sa fille qui donnait, à chaque fois, l’impression de craindre qu’une telle menace soit mise en application, connaissant la réputation du Seigneur Charles d'Evans. Son père n’avait néanmoins jamais mis cette menace à exécution, jusqu’au jour où à bout de solutions, il ne trouva que ce moyen pour la dresser.

- Vous … Vous êtes le Seigneur Charles d'Evans ? … En … en personne ? … Je ne savais pas que mon père avait décidé de m’envoyer ici … Je … je … suis … à …. Votre disposition …, finit-elle par dire en balbutiant ses mots avec cette impression étrange pour la première fois de sa vie de ressentir la crainte

Cette crainte qu’elle ne se connaissait pas à cause de son insolence depuis sa plus tendre enfance, finit par lui faire baisser la tête autant que le regard froid et Dominateur du Seigneur d'Evans

- C'est un peu mieux maintenant, à genoux, petite insolente … Tu es prête à m'écouter et m'obéir ? Choisit ! Soit tu te plies à Mes exigences, soit je te mets une semaine au cachot infesté de rats et dans la nuit la plus totale, au pain sec et à l’eau et ça je peux te garantir qu’au bout d’un jour ou deux, tu me supplieras de t’en sortir …
- Au cachot ? Sans voir le jour ? Avec des rats ? Vous n’avez pas le droit !
- Ton père m’a donné pleins pouvoirs ! Et il m’a, lui-même, suggéré cette idée de cachot au cas où tu n’obéirais pas à Mes ordres, tellement il est décidé à faire plier ton insolence …
- Il a osé me faire çà ?
- Oui et si tu ne me crois pas, tu peux alors le lire car il a écrit sur ce parchemin tout ce que je viens de te dire.

Il lui tend le rouleau de papier, au sceau de cire rouge du Comté du Forez, où effectivement son père a bien écrit tout cela, qu’il donne les pleins pouvoir au Seigneur d’Evans sur sa fille pour la dresser. Ignabelle lit attentivement et vaincue, elle comprend que cette fois elle doit enfin obéir car le cachot et les rats, elle sait qu’elle ne pourra pas le supporter… Le Seigneur lui réitère alors la question :

- Pour la dernière fois, tu es prête à m'écouter et m'obéir ?

Alors c’est d’une voix résignée, qu’elle répond :

- Oui, dit-elle d'une toute petite voix
- Alors, à genoux, réplique-t-il laconiquement sur un ton sec

Fébrilement, elle s’exécute, la tête baissée… Un coup d’une fine et souple tige de noisetier cinglant s'abat subitement sur ses fesses et elle arrive de justesse à retenir un cri mais elle se surprend de ressentir un autre sentiment inconnu et qui n’est autre que l’excitation cuisante de la branche de noisetier sur ses fesses.

- C'est ‘oui Messire’ ou ‘oui Maître’ … est-ce clair ?
- Ou.. oui Maître … se surprend-t-elle à répondre, comme subjuguée par la situation
- A quatre pattes et appuyée sur les avant-bras et ton cul bien relevé.... Bien tu sais pourquoi tu es ici?
- Oui Maître, pour être dressée afin de rabattre mon arrogance envers mon père et tout le monde…
- Bien alors pour commencer, tu vas recevoir 30 coups de cravache pour ton comportement à t’être relevée en position debout quand tu es arrivée, tantôt. Tu compteras à haute voix et tu me remercieras entre chaque coup, Compris, petite effrontée !

Il ne lui laissa pas le temps de répondre qu'il lui assène le premier coup

- Un, merci Maître, dit-elle doucement

Avec un autre coup beaucoup plus appuyé, il lui dit :

- Plus fort, j'ai rien entendu, recommence à zéro !
- Un, merci Maître, dit-elle cette fois à haute et intelligible voix
- Ne bouge pas et ne gémit pas, sinon je recommence à zéro autant de fois qu’il le faudra
- 2, merci Maître, dit-elle restant parfaitement immobile et se retenant de gémir
...
- 30, merci Maître

Ignabelle lui baissa la main, qu'il lui tendait, avec une reconnaissance qui la surprend elle-même mais qui lui apporte une joie inattendue à faire un tel geste. En effet, elle éprouve une certaine satisfaction personnelle à ressentir une certaine infériorité ce qu’elle n’avait jamais ressenti de toute sa vie, elle qui est d’ordinaire si hautaine…

- Maintenant, va à quatre pattes près du mur là-bas et met-toi ensuite debout de dos, la face contre le mur…

Le Seigneur d'Evans lui attache, dans cette position, les poignets dans des anneaux solidement scellés au mur :

- Cette punition sera humiliante pour toi et tu ne peux rien dire et surtout ne pas bouger

Il lui donna une volée de fessées sur chaque fesse en lui disant sur un ton sévère :

- Alors comme ça, tu as osé défier et manqué de respect à ton père, petite effronté trop gâtée, apprend que tu n’es qu’une chienne, une salope à dresser, une salle catin...

Le Seigneur d'Evans constate que les fesses d’Ignabelle déjà très rougies par les 30 coups de la fine branche noisetier sont presque à sang, alors il fesse plus haut, juste en bas des reins ou sur les hanches, tout en lui fouillant le sexe qu’il trouve trempé en passant la main sur son entrejambe complétement trempé également :

- Mais c'est que tu aimes ça, la chienne ! Tu es toute excitée, salope !

Alors il continue en prenant cette fois un fouet aux lanières longues en cuir pour lui frapper le dos et arrête quand celui-ci ne possède plus une seule parcelle de peau sans trace des lanières cuisantes. Il finit par la détacher et lui ordonne :

- En levrette, prosternée, les bras bien en avant, la tête sur le côté, la chienne

Ignabelle obéit, elle se sent effectivement de plus en plus excitée. Il lui frappe son cul rougi, d’un coup de martinet

- Met-le en l'air mieux que ça et présente-le moi correctement.

Le Seigneur d'Evans lui insère alors un plug en bois imposant, elle grimace mais ne dit rien.

- Ca, tu vas le garder jusqu'à nouvel ordre
- Je … je ne peux pas, je déteste ça Maître

Encore un coup de martinet

- Ce n'est pas fait pour te plaire, mais pour t’apprendre à accepter l’humiliation et ainsi apprendre ce qu’est l’humilité qui devra, à terme, remplacer tes manières hautaines

Alors il lui attache les poignets placés bien en avant, et les chevilles. Elle se trouve donc en levrette prosternée tout en étant ligotées. Puis il appuie encore plus sur le plug pour mieux l’enfoncer dans son fondement

- Comme ça, tu le sens bien dans ton cul serré de chienne et maintenant tu vas me sentir dans ta petite chatte de salope

Il l'enjambe par derrière et la pénètre très facilement trouvant un sexe trempé et c’est avec des coups de reins puissants et des cris de bucheron en plein effort qu’il la besogne. Son excitation montre d’un cran et elle sent vite la jouissance arriver, sa respiration s’accélère, ce qui n’échappe pas au Seigneur…

- Je t'interdis de jouir, penses-tu sincèrement y avoir droit ?, la salope

Il lui fallut toute la force de sa volonté pour se retenir car elle éprouvait de plus en plus de plaisir à Lui obéir. Quand le Seigneur d'Evans se retire, il lui enfonce sa grosse queue gluante dans sa bouche sans autre préambule et elle est tellement excité que c’est telle une chienne en chaleur, qu’elle le suce du mieux qu'elle peut avec des haut le cœur et manque de s' quand enfin il lâche dans sa bouche chaude des flots saccadés de sperme et sous l’ordre du Seigneur, elle se surprend avoir du plaisir à tout avaler et à le nettoyer par sa langue avide…

- C'est tout pour aujourd'hui, je vais envoyer un messager près de ton père, là où il se trouve, pour lui faire dire qu'il t'a fallu du temps mais que tu as été une chienne docile et obéissante et que tu as compris le risque et ce qu'il en coutait de mécontenter ton père. Maintenant, file en cuisine, Céline, la cuisinière t'attend...
- Merci Maître dit-elle en baissant la tête

Ignabelle part à quatre pattes, vaincue ais visiblement heureuse …

Quant au Seigneur d'Evans, il retourne superviser, au champ d'entrainement, l’entrainement des chevaliers choisi par Godulfe pour le sauvetage de Louis-Etienne…

(A suivre …)

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