La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1196)

Alice au Château - Histoire écrite par Janus01869 - (suite de l'épisode N°1154 et texte amélioré par MDE) -

… « Bonne nuit » de sa voix caressante et chaleureuse… Au petit matin, je me réveille alors que la lumière du nouveau jour éclatant sourde à travers les rideaux. Au loin, au travers les hautes fenêtres, aux volets à demi-fermés, je devine la pointe des arbres de la grande forêt du Domaine, bordée des étangs, l’ensemble bien fourni d’une riche flore et faune. Je me sens en pleine forme, à la fois reposée et repue. J’entends la respiration calme et sereine de Monsieur le Marquis et comprends ainsi qu’il est toujours dans les bras de Morphée. Je m’agenouille en position d’attente au pied du lit. Pour patienter, je pratique mes exercices de pleine conscience. Je me focalise sur mon souffle et quand je pars dans mes pensées, je souris et reviens à mon souffle. J’observe ensuite la pièce avec mes cinq sens. Le tapis épais sous mes jambes est d’une douceur exquise. Tout semble calme dans la Demeure ancestrale seulement éclaboussée par le beau chant des oiseaux qui pépient gaiement à l’extérieur. Les rayons chauds du soleil matinal font chatoyer les entrelacs dorés des tentures bleues aux Armoiries du Maître des Lieux et viennent caresser et réchauffer ma peau nue. Je me sens bien ici, en osmose avec mon environnement. Je prête l’oreille. Monsieur le Marquis d’Evans semble bouger dans son sommeil, signe annonciateur de son prochain réveil ? Je réajuste ma position. En effet, Il se réveille et ouvrant un œil encore endormi, mais c’est avec assurance qu’il me regarde tendrement :

- Bonjour la Chienne !, me salue le Noble
- Bonjour Monsieur le Marquis
- Je vois que tu es déjà réveillée, c’est très bien. Viens sur ma couche, je t’autorise à sucer Ma divine Verge. J’espère que tu mesures la chance qui est la tienne.
- Je Vous remercie bien sincèrement, Monsieur le Marquis, pour cet honneur que vous daignez m’accorder.



Je monte alors sur le lit en tentant d’être la plus gracieuse et féline possible. Le Châtelain a dégagé Son corps des draps de lin et je peux contempler Son sexe au comble de Son désir. Je lèche, suce, gobe, aspire avec déférence ce présent si généreux. Mon clito pulse en cadence dans les replis de mon intimité. Je m’applique du mieux que je peux à cette fellation dans le seul et unique but, apporter au Noble le plus de plaisirs possibles. Alors, après avoir bien utilisé ma langue, je détends ma gorge au maximum pour laisser faire ce qu'il veut de ma bouche grande ouverte. Le Châtelain plonge alors son épais et rigide pieu de chair dans ma cavité buccale ainsi totalement offerte à Sa disposition. D’abord doucement, puis un petit moment après, un peu plus rapidement pour enfin me baiser la bouche sauvagement, il s'enfonce entre mes lèvres et plonge jusqu'au plus profond de ma gorge... Ne prêtant aucune attention aux efforts que je fais pour récupérer un peu d'air entre quelques vigoureux va-et-vient, il accélère Son Vit dans mon fourreau de chair dans lequel il glisse en des allers-retours encore plus cadencés, plus puissants, et me besogne la bouche sans ménagement, usant de mon écrin humide que j'offre à Son épaisse queue qui durcit à son maximum encore jusqu'à envahir tout l'espace de ma bouche docile... Au bout de quelques minutes, il semble tout près de jouir et c’est en râlant de plaisirs tel un mâle en rut, qu’il laisse éclater Sa jouissance en jets puissants, chauds et épais dans ma bouche. Tandis qu’il me maintient la tête sur Sa verge, je me délecte de Son offrande. Je présente Son sperme sur ma langue avant de l’avaler sur Son ordre.

- Merci Monsieur pour Votre semence délicieuse. Je me sens honorée et comblée
- Bien, va maintenant en cuisine me chercher mon petit Déjeuner. Et ne traîne pas en route !

Je me rends à quatre pattes dans l’antre de la cuisinière Marie, ne me levant que pour ouvrir et fermer sans bruit les portes derrière moi.
Plusieurs personnes dont la condition d’esclave est indiquée par leur nudité et le port de collier s’affairent déjà au ménage de l’Illustre Demeure. Nous nous saluons de la tête sans échanger le moindre mot. En passant devant la porte de la chambre de Maîtresse Céline, je reconnais le rire cristallin de celle-ci et le son plus rauque et étouffé d’une jeune femme gémissant de plaisir. Je souris en imaginant ce que la sublime Maîtresse qui daigne me soumettre à bien pu créer comme jeux sexuels à tester sur une esclave si accomplie qu’esclave Aphrodite MDE.

Après une incontournable volée de fessées de la part de Marie la cuisinière, je repars les bras chargés d’un lourd et copieux plateau empli de victuailles au parfum entêtant de café et viennoiseries. Je ne m’attarde pas sur les très belles peintures accrochées aux murs des couloirs et amène aussi vite que possible le déjeuner du Noble. Monsieur le Marquis lit son journal qu’un esclave lui a apporté (comme à chaque matin) durant ma courte absence et je pose sans bruit le plateau. Maîtresse Céline m’a inculqué la valeur du silence à ne rompre sous aucun prétexte. Toujours muette donc, je me prosterne, les épaules et les bras étendus au sol au-delà ma tête dans l’axe de mon corps, mon postérieur tourné vers le Maître des Lieux.

- Mais au fait, tu es musicienne ! s’exclame soudain le Noble … (Il appuie sur un bouton de sa table) … Walter, amène le violoncelle de la chienne et la chaise dans mon bureau, s’il-te-plaît.
- Tout de suite Monsieur le Marquis

Puis à mon encontre, le Châtelain d’Evans rajoute.

- Je voudrais que tu joues pendant que Je travaille.

Nous passons à Son bureau où un immense secrétaire en acajou est placé en biais à côté d’une haute fenêtre. Il s’installe et ne me prête absolument plus attention. La chaise en question est en fait surmontée d’un gode de bonne taille fixé à la verticale sur l’assise et dont je comprends rapidement la fonction.
Il me remplit divinement le fondement alors que je m’installe dessus en m’y empalant. En plaçant le violoncelle entre mes cuisses et le posant sur mon torse, j’ose jeter un coup d’œil au Noble. Il est concentré sur l’écran de son ordinateur et tape ce que j’imagine être la suite de Sa merveilleuse Saga. Je prends le temps de m’installer et d’accorder mes cordes tout en réfléchissant au morceau que je vais bien pouvoir jouer. Et là, une évidence s’impose : Le prélude de la première suite pour violoncelle de Bach ! Je réfléchis et respire en cadence pour me mettre dans le rythme et l’énergie de l’interprétation toute personnelle que je voudrais lui imprimer : La monter d’un orgasme puissant ! C’est comme un ruisseau, léger au début mais qui devient torrent puis débouche sur la mer. Je me force à redescendre mes épaules pour les décontracter. Une légère inspiration et je me lance.

Je commence avec douceur. Les notes, comme l’eau, s’égrènent et coulent délicatement entre les rochers. Et de temps à autres, deux petites crêtes, deux petites vagues comme des reflets passent. Ils sont comme des accents vaporeux, que par conséquent je n’accentue pas trop. On entend le flux et le reflux du plaisir (ou de la mer qui arrive devrais-je dire). La respiration est binaire, inspiration, expiration. Puis le paysage change. On passe en ré majeur, une couleur plus chaude. Le soleil est plus présent, le plaisir monte. Ça change encore et repart. Un sol dièse crée la surprise. On passe en la mineur. Un instant de tristesse que je fais résonner, les basses étant les piliers, les fondations d’une œuvre. On arrive à la deuxième partie, l’illustration que le ruisseau s’élargit pour devenir torrent puis mer. Les ondes du début qui arrivaient par instant se succèdent à un rythme soutenu désormais. Le flot et le plaisir se précisent. Tout monte de plus en plus avec toujours cette respiration. Trois pas en avant, deux pas en arrière. Une fausse sortie : Petit decrescendo vite remplacé par un crescendo de plus en plus en puissant car oui maintenant la sortie est la bonne, l’orgasme arrive, herculéen ! Et la délivrance dans un fortissimo prodigieux ! Mes doigts dansent sur la manche en ébène de l’instrument.
Je laisse résonner le dernier accord, complétement absorbée. Mon corps vibre de la musique et du violoncelle, cette musique qui m’habite totalement et ne fait plus qu’une avec moi est l’instrument le plus proche de la voix humaine. Alors que les dernières notes se dissipent dans l’espace, j’ouvre timidement les yeux et découvre que Monsieur le Marquis n’écrit plus et me regarde fixement par-dessus l’écran de son ordinateur. Ses pupilles sont d’un bleu pur si fascinant qu’ils en deviennent hypnotiques. Mais je n’oublie pas ma place et je baisse immédiatement le regard vers le sol à 3 mètres devant moi.

- Rejoue une nouvelle fois ce morceau la chienne en chaleur !, me lance-t-il d’un ton péremptoire qui ne souffre aucun refus.

Effectivement, un filet de mouille s’écoule paresseusement de ma vulve et vient maculer la base de mes fesses. Mon odeur de petite femelle me pique agréablement les narines. Je me force au calme par la respiration et me lance à nouveau dans le morceau. Mais au moment où mon archet gratte les cordes, une drôle de sensation me fait vibrer de bas en haut : Le gode vertical de la chaise est un gode vibrant télécommandé ! La vitesse de vibration est intense mais continue. Aussi, j’arrive à me concentrer sur la musique pendant que le flot de la cyprine s’écoule plus rapidement. Alors que j’entame la deuxième partie, Monsieur le Marquis prend un malin plaisir à jouer avec moi et change le rythme des vibrations du gode, rythme pas ment en phase avec ce que je joue. Et là, la cacophonie commence. Je continue de jouer mais le rythme est complétement élastique ! J’arrive tant bien que mal à l’accord final et le Maître éclate de rire à la vue de ma mine déconfite.

- Bach doit certainement se retourner dans sa tombe mais au moins, tu n’as rien lâché et c’est le principal ! conclue le Noble… Je vais accompagner Maîtresse Céline pour faire le tour du parc en ponygirl avec esclave Aphrodite MDE et nous reviendrons plus tard au Château. Je vais te confier à Walter pour qu’il puisse te sortir et que tu l’assistes dans quelques tâches.

Je pose alors le violoncelle à terre pour empoigner des deux mains la chaise et ainsi me retirer du gode bien inséré dans mon œillet plissé. Je lèche le gode pour le nettoyer de mes sécrétions féminines et qu’il redevienne propre comme si de rien n’était.

Après deux coups toqués à la porte, le Majordome entre. D’un signe de l’index, il m’ordonne d’approcher et une fois à sa hauteur, il glisse la laisse à la boucle de mon harnais.

- Monsieur le Marquis, votre ami le Docteur, et son esclave Harmonie, arriveront en fin de matinée.
- Très bien ! répond avec enthousiasme le Noble. Fais tout comme d’habitude
- Bien Monsieur le Marquis.

Sur ce, Walter sort du bureau du Maître avec moi sur ses talons. Alors que nous approchons de la forêt, il me passe un bandeau noir sur les yeux et m’ordonne de pisser. Je ne vois plus rien et soudain j’entends la voix d’un inconnu :

- Bonjour Monsieur, tout est prêt
- Merci esclave. Entre voir Marie la cuisinière. Tu es à Sa disposition ce matin.
- Oui Monsieur.

Je n’aurai pas aimé pisser devant une tierce personne mais je reconnais volontiers que d’entendre quelqu’un pendant ma petite affaire, m’a excité ! J’ai des envies folles ce matin !

- Mets-toi debout, la chienne…

(A suivre…)

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