La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1200)

Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE) – (suite de l'épisode précédent N°1199) -

Antonin, Godulfe et Alix partent au secours de Louis-Etienne :
Le voyage en carrosse se passa sans encombre jusqu'à leur arrivée chez les parents de Frère Justinien… Durant le trajet, sous les yeux de Godulfe, la belle Alix était assise en face de lui. Antonin quant à lui, méditait en silence. Nue et offerte, prête à tout accepter des exigences de Godulfe, bras droit du Seigneur et Maître, Charles d’Evans, qui ce dernier, avait clairement donné les pleins pouvoirs à Godulfe sur le corps de la belle Alix. Donc suite à l’exigence de Godulfe, elle avait du se dénuder et se positionner les cuisses à la chair ferme étaient largement ouvertes, dévoilant la chair rose de son sexe glabre qu'il a tant de fois pénétré et dont la vue lui procure pourtant toujours un si délicieux émoi. L'observation silencieuse et attentive de ce sublime corps dénudé fait peu à peu monter le désir en lui. Seuls se font entendre les couinements des essieux provoqués par cahots monotones du carrosse sur les chemins poussiéreux. Godulfe sentit alors son sexe qui gonfla et se durcit, palpitant d’envie. Il fixa la magnifique paire de seins qui palpitaient au gré, là aussi, des cahots du chemin, les tétons roses foncé de la belle Alix.... Godulfe n’hésita alors pas une seule seconde et fit claquer les doigts de sa main gauche... Sans un mot, sans un regard, conservant les yeux baissés, la belle Alix quitta le siège et vint s'agenouiller entre ses jambes. Lui, d'une main assurée, défit sa culotte et libéra son épais phallus. Celui-ci demeura droit, tendu et Alix dut se rehausser légèrement afin de pouvoir le saisir entre ses lèvres.

Alix y parvint malgré la position rendue fort inconfortable par les aléas chaotiques du parcours. Mais sa bouche se referma avec envie sur la Verge telle une gaine parfaitement proportionnée.

Elle l'avala et le suça avidement. L'érection fut telle que la fine bouche parvint à peine à l'engloutir, Alix devant l'accueillir jusqu'au plus profond de sa gorge. Puis, elle laissa le mouvement du carrosse imposer son rythme et elle offrit à Godulfe, la plus chaude et délicieuse des fellations, serrant bien les lèvres afin d'assurer son plaisir, jusqu'à ce que celui-ci jaillisse brusquement, violemment, inondant la bouche de la jeune soumise d'un flot épais et chaud qu'elle s'appliqua à avaler jusqu'à la dernière goutte, sans oublier de nettoyer avec le plus grand des dévouements le gland violacé de Godulfe avant que de reprendre sa place, humble et silencieuse, toujours en baissant la tête ... Alors que le trajet arriva à sa fin, Godulfe ordonna à la belle Alix de se rhabiller correctement, afin de ne pas choquer les parents de Frère Justinien. Ceux-ci habitaient une ferme en carrée. Si bien qu'ils seraient au calme et à l'abri des oreilles ou regards indiscrets, pour préparer leur expédition.

- C'est très aimable à vous de nous recevoir ainsi chez vous, madame, dit Antonin à la mère de Justinien.
- Je vous en prie, entrez, je vous présente mon second fils Thomas (environ 20 ans) il travaille pour le Comte Baudouin de Courtenay. Et voici ma fille Emérentine qui a 8 ans et mon mari Mathurin est couché et souffrant, alors je vous le présenterai plus tard…

Vie au Château :
Pendant ce temps au Château, la vie continuait son cours normal. Au manoir de Maisondieu, Clémence allait mieux mais était encore fragile suite au traumatisme subit. Un jour, le Seigneur Charles d'Evans demanda à voir Eléonore de Maisondieu. Quand elle arriva, le Seigneur Charles d'Evans l'attendait dans la grande salle quand un garde lui annonça qu'elle était arrivée.

- Ha, Madame, ravi de vous revoir.
- Bonjour Mon Seigneur, moi de même.
- Je vous en prie, prenez place, je vous ai fait venir car j'ai à vous parler d’une demande en réalité
- Je vous écoute, Messire
- Tout d'abord comment va Clémence?, demanda le Seigneur d’Evans
- Beaucoup mieux, merci, mais une telle épreuve laisse des marques.

- Je vois, Madame, loin de moi l'idée de vouloir de vous séparez de vos s mais je veux que Clémence vienne vivre au Château, je lui offre une place à mon service.
- Messire, cela est un honneur autant pour moi que pour ma fille mais si identiques soient-elles physiquement Alix et Clémence sont très différentes de caractère.
- Certes, si elle ne veut pas être soumise rien ne l'y oblige, j'ai d'autres projets pour elle dans l'immédiat et je veux quelqu'un pour donner des leçons à mon plus jeune fils Enguerrand. Mais je la veux ici au Château.
(Eléonore était pensive) – Messire, si elle vient vivre ici, pourrais-je la voir de temps en temps ?
- Bien sûr quand vous voudrez. J'ai besoin d'elle car son esprit et celui d'Alix, j'en suis persuadé, sont liés et s’il arrivait quoi que ce soit à Alix, elle le saura et je pourrai agir de suite en conséquence.
- C'est vrai l'esprit des jumelles est un mystère. Laissez-moi faire le nécessaire et je vous l'amènerais dans quelques jours.
- A votre aise Madame, je vais vous faire raccompagner.
- Merci Mon Seigneur…

Après le départ d'Eléonore de Maisondieu, le Seigneur Charles d'Evans appela :

- Léon
- Oui Messire
- Dit-moi comment s'est passée la deuxième séance de dressage de la jeunette Ignabelle ?
- Elle devient lentement un peu plus docile depuis qu'elle sait que son père sait tout.
- Va me la chercher et amène-moi cette chienne dans mon salon privé.
- Tout de suite, Messire.

En attendant le retour de Messire Léon, le Seigneur d'Evans pensa :

- Une vraie rebelle difficile à faire plier, son père m'avait prévenu pourtant, elle a tout à gagner à être plus docile dans son intérêt

Messire Léon arriva avec Ignabelle tenue en laisse, tête baissée et toujours le plug en place.

- La voici Sire.
- Bien, laisse-nous… (Léon sortit) - Alors ce petit passage dans mon donjon et mon chenil t'ont-ils remis les idées en place ? Tu peux répondre.

- Oui Maître, j'ai bien compris que mon comportement était inacceptable, cela ne se reproduira plus.
- Je l'espère pour toi
- Je vous le jure Seigneur et Maître, je ferai dorénavant tout mon possible pour vous satisfaire et respecter les règles.
- Petite insolente, ne jure pas, tu ne sais même pas ce que cela veut dire.
- Je m'excu... heu … je vous prie de m'excusez Maître, je vous promets de faire de mon mieux.
- Nous verrons en attendant, tu vas me servir pour me soulager et quand je n'aurai plus besoin de toi, tu iras là ou ton insignifiante personne pourra servir.
- Oui Maître
- J'ai besoin de me détendre alors tu vas me sucer et ensuite tu me serviras de repose pieds...

(A suivre …)

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