Ma Déchéance (10)

Ma déchéance (10)

Hervé en profite pour caresser mes cuisses au delà de la lisière de mes bas, tente de les ouvrir et d’atteindre mon sexe prisonnier. J’ai honte, je ne veux pas qu’il constate que je porte une cage. Je tente une fois de plus de lui résister sans y parvenir. J’abandonne à regret la bouche d’Omar et supplie doucement presque tendrement :
- Laisse- moi Hervé, je t’en prie…Vous profitez que je sois saoul pour r de la situation. Je me suis laissé faire jusque-là mais cela va trop loin…
- Chuuut…. laisse toi faire… Je sais que tu en meurs d’envie ma petite salope…
- Noonnn, laisse-moi, ce n’est pas vrai… et puis je…je ne suis pas une salope…
- Mais si… accepte- le… je sais que tu vas aimer çà… Tu ne veux pas te l’avouer mais tu es faite pour çà… Julia m’a tout dit… N’importe quel mec se serait révolté à l’idée de devoir vivre en femme. Pas toi… Tu as tout accepté sans rien dire… Même ta cage ! Oui pas la peine de serrer tes jambes, je sais que ce que tu as entre les cuisses… C’est moi d’ailleurs qui ai eu l’idée de t’en faire porter une. Julia, la pauvre, ne soupçonnait même pas que ce genre d’ustensile puisse exister… je l’ai choisi avec elle sur internet. Tu n’es pas trop à l’étroit ?
- Salaud !
Il me donne une petite tape sur la joue :
- Ohhh… je me soucie de ton confort et tu me traites de salaud… Ce n’est pas très gentil, chérie… C’était juste pour plaisanter. Tu sais, j’ai eu maintes fois l’occasion de te voir à poil dans les vestiaires du club de tennis et j’ai bien vu que tu étais complexé par ta petite queue ! Et j’ai bien vu aussi que tu regardais la mienne avec envie. Tu aurais bien voulu en avoir une grosse et longue comme moi n’est ce pas ? A moins que tu aies eu envie de la sucer ?
- N’importe quoi ! Je n’ai jamais regardé ta queue ni eu envie de te sucer ! Tu es dingue ! Je ne suis pas pédé…tu me connais merde ! Ma queue est comme elle est et elle me convient parfaitement !
- A toi peut-être mais Julia n’a pas l’air du même avis.


- Laisse Julia en dehors de cette histoire ! Si vraiment elle t’a fait des confidences tu devrais savoir qu’on s’entendait très bien au lit. Malgré ma petite queue comme tu dis…
- Comme c’est beau l’amour…
- Cette fois Hervé tu dépasses les bornes ! Tu ne t’en tireras pas comme ça ! Je… je vais porter plainte contre toi…
Les deux hommes éclatent de rire….
- Oui, monsieur le juge je les ai accueillis chez moi travesti en pute mais c’était pour l’anniversaire de ma femme… minaude-t-il en perchant sa voix.
- Tu es un salaud ! Laisse-moi maintenant je t’en prie…
- Trop tard ma belle !
- Comment ça trop tard ?
- Tu m’as excité avec tes manières de vierge effarouchée !
- Tu es fou !
- Oh, ne me dis pas que ça t’étonnes ? D’ailleurs, tu as tout fait pour ça : tu crois que je ne t’ai pas senti caresser ma queue tout à l’heure ?
- N’importe quoi…
- En tout cas, tu m’as excitée ma salope ! Tu ne me crois pas ?
Je peux difficilement nier l’évidence : depuis tout à l’heure son excitation a pris des proportions monstrueuses et il faudrait être aveugle pour ne pas voir la bosse énorme qui déforme son pantalon. J’avoue à ma grande honte, que j’ai du mal à ne pas porter le regard sur elle. Je fais mine de me lever mais Omar me retient de ses bras musclés.
- Tut, tut chérie reste là… On s’entend plutôt bien tous les deux, non ? Et je suis sûr que tu as encore envie de m’embrasser n’est- ce pas, ma belle petite chienne ? murmure-t-il à mon oreille
Comment devine-t-il mes pensées ? Oui j’ai encore envie de sa bouche, de sa langue… Ce salaud pince un peu plus fort mes pointes de seins, ce qui a le don de m’enlever toute volonté…
- Tu me fais une fellation et je pars…
- Nonnn… je t’en prie Omar, tu ne peux pas me demander ça !
- Mais pourquoi ?
- Elle aimerait mais elle n’ose pas l’avouer ! rigole Hervé
- Non, ce n’est pas vrai ! Tu es un enfoiré Hervé !
- Comme tous les mecs ! Allez, chérie, je suis sûr que sa belle queue noire te fait envie ! Tu nous suces tous les deux et on part après.
Ce ne sera pas la première fois que tu fais ça, pas vrai ?
Je m’apprête à m’insurger quand je repense à José. Ce salaud est décidément au courant de tout ! Julia, Julia… pourquoi n’as-tu pas gardé nos secrets ? Je suis fatigué, épuise nerveusement… J’abdique :
- Si je… je fais ce que vous demandez vous partez, c’est sûr ?
- Juré !?
Sans attendre ma réponse, Hervé se lève du canapé, déboutonne son pantalon et extrait sa queue droite et dressé de son slip.
- Tu vois à quel point tu es excitante chérie ? Elle est belle, n’est-ce pas ?
Oui, elle est belle, monstrueusement belle même !
- Je suis sûr que tu vas l’aimer. Julia en tout cas, en raffole !
La révélation me laisse sans voix, sans force… Je viens enfin de comprendre : c’est avec lui que Julia couche ! Lui mon meilleur ami ou censé l’être… Elle aura été sans pitié pour moi… Je me sens trahi, vaincu, anéanti… Malgré moi, les larmes roulent sur mes joues faisant couler mon rimmel. Hervé compatissant, me tend un mouchoir :
- Allons chérie, ne pleure pas… Pense à ton maquillage. Avoue que tu l’as bien cherché… Julia ne t’aurait sans doute jamais trompé si tu n’avais pas commencé… Moi non plus d’ailleurs ! Et ce n’est pourtant pas l’envie qui me manquait de me la faire ! J’en ai toujours eu envie, je ne te l’ai jamais caché. Tu te souviens ? Je ne comprenais pas ce qu’une femme comme elle faisait avec toi et j’étais jaloux, c’est vrai… Julia m’a toujours plu et je pense que je lui plaisais aussi sans qu’elle se l’avoue… Alors quand elle est venue me voir ce soir là pour chercher du réconfort avec sa petite jupe, ses talons et son décolleté vertigineux, j’ai tout de suite succombé !
- Et elle… ?
- Elle ? Désolé de te dire ça mais elle s’est littéralement jetée sur ma queue comme une véritable nympho ! Toi qui me disais qu’elle n’aimait pas le cul ! On a baisé toute la nuit de toutes les façons possibles et elle en redemandait encore, la salope… Je n’avais jamais vu ça !!! Elle m’a tué…
- Salaud, tu mens, ce n’est pas possible…
- Mais si c’est possible, pourquoi je te mentirais ? Au petit matin, on s’est mis à parler.
Elle m’a tout raconté sur toi, je l’ai consolée… Elle en avait besoin, la pauvre… Elle voulait divorcer, te mettre à la porte, te virer comme un malpropre... C’est moi qui l’en ai dissuadé et lui ai conseillé d’attendre pour prendre sa décision. Tu devrais me remercier... Tu serais à la rue sans moi.
Je suis tellement effondré par ce que je viens d’apprendre que je reste un bon moment sans réaction… L’image de Julia en train de se faire baiser par Hervé se superpose au souvenir de cette affreuse nuit passée dans le placard… Ainsi pendant que je me morfondais mort de honte et d’inquiétude elle se faisait sauter par mon meilleur ami… Quelle salope ! Est-ce que je méritais ça ? « Oui me dit ma petite voix… Tu l’as trompée sans état d’âme des dizaines de fois. Ce qu’elle a fait avec Hervé n’est rien comparativement. Quant à lui, tu ne peux pas lui en vouloir : elle s’est offerte et il n’a fait que succomber. Qui aurait refusé ? Pas toi en tout cas si tu avais été à sa place. Tes maitresses passées étaient très souvent des femmes mariées et tu ne t’es pas préoccupé de leurs maris. Bien sûr, tu ne connaissais pas ces hommes mais cela t’aurait-il retenu de séduire leurs femmes ? Sans doute pas, au contraire cela t’aurait excité. »
- Allez, chérie, ne pleure plus, oublie ça. Va te refaire une beauté dans la salle de bains. On t’attend....
Devant le miroir, j’essuie les coulures de rimmel sur mes joues et refais mon maquillage : le contour de mes yeux, mon blush, mon rouge à lèvres tout en pensant à tout ce que je viens d’apprendre. J’ai beau essayer de lui en vouloir, je n’y arrive pas.
Ce qui me choque le plus finalement c’est que Julia ait pu me cacher si longtemps son attirance pour Hervé. Elle me disait qu’elle aimait bien les hommes délicats et sensibles, les « artistes » comme moi. Et finalement elle était attirée par les machos. Quel con j’ai été ! J’ai échoué sur toute la ligne… Oui, Hervé a en tout cas raison sur un point : il représentait pour moi l’homme que j’aurais voulu être.
Une image dont j’étais peut-être un peu amoureux après tout ? Je ne sais pas… C’est vrai que je regardais sa queue avec envie mais seulement parce que j’aurais aimé avoir la même. La sucer ? Non, çà je suis sûr que non…
La voix d’Hervé m’arrache à mes réflexions :
- Tu as fini chérie ? Apporte du champagne stp. On t’attend pour trinquer !
Pendant que j’étais partie, tous les deux se sont entièrement dévêtus et caressent nonchalamment leurs sexes observant un peu anxieusement, me semble-t-il ma réaction. A vrai dire je n’en ai pas… Littéralement fasciné par le spectacle, je reste figé la bouteille à la main.
Le sexe d’Omar est digne de la réputation des blacks : très long, épais et déjà en érection mais c’est celui d’Hervé que je fixe incrédule : sa queue est grosse, dure, gonflée comme je ne l’avais jamais vue ! Devant un tel monstre de virilité comprends que Julia ait pu craquer… comme je suis sur le point de craquer moi-même. N’importe quelle femme en ferait autant… Je sens soudain monter en moi le désir de me soumettre à sa volonté quelle qu’elle soit. Il a eu raison de baiser Julia ! A vrai dire, je voudrais même qu’il recommence ! Devant moi s’il le souhaite….Tout ce qu’il voudra ! J’ai envie de me soumettre à sa volonté, il peut faire de moi ce qu’il voudra : un cocu, un soumis, une lope…

- Approche chérie. N’aie pas peur… Tu es magnifique avec ce nouveau rouge ! Il te va à ravir ! Tu fais encore plus pute que tout à l’heure !
Il a raison : je suis devenue une pute, une salope et loin de me choquer cela m’excite terriblement ! A quoi bon résister à la fatalité… Je n’ai jamais été un mâle, un vrai, viril et dominant. Julia me dit souvent qu’elle veut faire de moi une petite lopette soumise destinée à donner du plaisir avec ma bouche et mon cul… alors puisqu’elle-même est d’accord… Je ressens soudain un immense soulagement à l’idée que je vais pouvoir m’abandonner à ma véritable nature, m’accepter enfin telle que je suis…
- Sers nous à boire et mets-toi à en position devant nous ma belle…
C’est Omar qui a parlé d’une voix douce mais ferme. Un peu tremblante je verse du champagne dans leurs coupes puis dans la mienne. Je bois d’un trait pour me donner du courage. Je sais ce qui m’attend et j’ai peur… peur de ne pas savoir m’y prendre, peur de les décevoir, peu de ne pas pouvoir aller jusqu’au bout…
- Oui…
- Oui qui ?
- Euh, oui chéri…
Ca y est j’ai abdiqué toute personnalité. Je me mets à genoux devant ces deux sexes tendus de désir à la fois angoissée et résignée. Inconsciemment, peut-être ai-je su dès le début comment cela allait finir ? J’ai joué les allumeuses, je les ai excités tous les deux et maintenant ils attendent d’être soulagés. C’est normal… je faisais la même chose autrefois avec mes conquêtes- comme tout cela me parait loin !- je les harcelais jusqu’à ce qu’elle cède à mon désir, et pour cela tous les moyens me paraissaient bon… Je me résigne à en finir avec ce jeu ignoble, ravalant les larmes et regarde longuement Hervé qui me sourit en me caressant la tête…
- Vas- y ma belle… Lances toi…
- Tu… tu me promets de partir après ?
- Mais oui nous partirons… Allez vas y et applique toi.
J’approche ma bouche de son sexe turgescent. L’odeur un peu acre et forte me rebute un peu et puis finalement m’excite. Mes lèvres effleurent son gland rouge et congestionné… Comme elle est belle… Malangue se pose timidement sur sa hampe et commence à lécher… Cà y est, j’ai franchi le pas : je suce un mec et Hervé qui plus est. Je suis vraiment tombé bien bas… Je suis devenue une moins que rien, une salope… J’ai honte mais c’est plus fort que moi… Pendant ce temps Omar m’encourage :
- Oui c’est bien ma belle, suce sa belle queue. Fais la gonfler. Tu t’occuperas de la mienne ensuite.
Loin de rebuter l’idée m’excite terriblement…
- C’est bien chérie continue de me sucer… Mmmmm… Tu sais quand Julia m’a demandé à quel genre de vengeance je pensais je lui ai conseillé de faire de toi un mari soumis, un petit chien obéissant. Tu ne demandais que cela avoue le… Je savais que tu étais attiré par les femmes dominatrices… Ensuite l’idée de te féminiser et de faire de toi une petite lopette a germé dans ma tête… Tu sais que j’ai beaucoup d’imagination…Et oui, c’est grâce à moi que tu es devenue ce que tu es… Remercie-moi ma chérie…
Je quitte un instant sa bite pour articuler un « merci Hervé » humide de salive. Je m’empresse ensuite de reprendre ma fellation appliquée mon regard de chienne braqué sur lui…
- Avoue que tu aimes ta nouvelle condition de femelle. Avoue !
- Oui j’avoue !
- Alors dis le : j’aime celle que je suis devenue : une femelle soumise. Ma femelle soumise !
- Oui je suis heureuse d’être devenue ta femelle, ta soumise, tout ce que tu voudras…
- C’est bien… tu as fait d’énormes progrès ce soir… C’est moi encore qui lui ai conseillé de te faire prendre des oestrogènes pour calmer tes ardeurs et pour que tu sois plus à l’aise dans ton rôle… Grâce à moi tu as de jolis petits seins, tes hanches se sont arrondies et un cul presque aussi bandant que celui d’une vraie femelle… Je vais doubler les doses : tu vas te métamorphoser très vite en une très belle femme et si tu es sage, je te poserai moi-même des implants pour te faire une poitrine de rêve… C’est bien de cela dont tu avais envie n’est-ce pas.
- Ouiiii…
- Oui qui ?
- Oui chéri… Tout ce que tu voudras. Tout ce que Julia voudra… Je veux devenir une vraie femme…
- Bien chérie, bien… Julia va être fière de son petit mari soumis. Suce moi encore… Oui comme ça… Tu suces bien ma chérie. Si tu continues comme cela elle va te garder avec elle ou plutôt avec nous car je viens m’installer ici très bientôt. Tu seras notre soubrette attitrée… Omar sera ton mec et il viendra te baiser ici aussi certains soirs. Il te plait ?
- Ouiiii… il me plait…
- Plus que moi ? rigole Hervé qui interrompt ma fellation en me relevant le menton.
- Non… mais autant chéri…
- Bien sûr ! Et qu’est qui te plait chez lui ?
- Mmmm il est beau, viril, musclé, tout ce que j’aime…
- C’est tout ?
- Non bien sur j’aime aussi son… sexe…
- Sa bite tu veux dire ?
- Heu oui sa bite…
- Pourquoi ?
- Elle est grosse, dure… comme j’aime…
- Très bien ma chérie. Et tu sais comment on appelle les filles qui aiment les mecs avec des grosses bites ?
- Oui… des salopes….
- C’est ce que tu es n’est ce pas ?
- Ouiiii je suis une salope, une grosse salope !
- Grâce à moi…
- Oui grâce à toi ! Je te remercie !
- Tu aimes la bite d’Omar mais comment peux-tu dire cela puisque tu n’y as pas encore gouté ? Omar donne lui ta queue à cette chienne…. Applique-toi ma chérie, pour que Julia et moi soyons fiers de toi…
FIN

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