La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1205)

chienne Vénus au Château – (suite de l'épisode N°1203) -

- … Allez, fil te reposer, j’ai à faire…

C’est encore troublée, par ce pur moment de bien-être en me sentant à ma place et avec le gout de la Noble semence du Noble, que je remontais dans ma chambre. J’étais si bien et contrairement à ce midi, je m’endormis naturellement à même le sol au pied de mon lit. A 19h je rejoignis mes parents et le Châtelain pour le repas que Marie, la cuisinière, avait concocté. Un sublime repas au champagne, entre foie gras, saumon fumée sauvage, du caviar bélouga et j’en passe. Nous nous installâmes, moi à coté de Monsieur le Marquis et mes parents côte à côte.

- Je constate que Marie, s’est encore surpassée par sa cuisine, dit le Châtelain. J’espère que ce repas te plaira Cristal, il a été fait selon tes goûts, pour te faire honneur …
- Oui, Monsieur le Marquis, c’est déjà un plaisir pour les yeux.

Ce sont les soumis-chiens du Noble, qui firent le service. Ils étaient tous nus et portaient pour chacun un épais collier de métal au cou et une cage de chasteté. Malheureusement, un des esclaves me renversa de la sauce chaude sur ma robe.

- Ne sais-tu pas faire le service, le chien, dit mon père.
- Pardonnez-moi, Monsieur de Bourbon, je suis si maladroit …
- La ferme le chien, qui t’a autorisé à parler ? Tu devrais avoir honte de ton attitude, dit le Marquis… Walter conduit ce chien auprès de Marie qui le sanctionnera sévèrement pour un double faute, celle d’avoir renversé sa si bonne sauce moutarde, et de plus est, sur la robe de Cristal, mais aussi pour avoir ouvert la bouche pour s’exprimer sans y être autorisé.

C’est honteux et tête baissée que le soumis se mit à quatre pattes. Le Majordome s’approcha, accrocha une laisse à l’épais collier et ils quittèrent tous deux la grande salle à manger, l’esclave mené en quadrupédie par Walter qui le regardait avec des yeux fort réprobateurs

- Ma fille, comment vas-tu ?
- Ca va papa, ce n’est rien, me disais-je.


- Cristal, tu ne peux pas passer un tel comportement surtout que tu seras bientôt des nôtres, une grande Domina …, répliqua la mère de Cristal, fière et persuadée de ce que sa fille deviendra

Je ne disais rien et continuais mon repas.

- Mes chers invités, voici quelques esclaves MDE pour vous divertir, servez-vous ! Usez et z de leur corps autant qu’il vous plaira … Ils sont là pour ça !
- Merci Edouard … (puis, apercevant une très belle femelle brune) … Toi la chienne vient me sucer.

Monsieur Le Marquis s’approcha de moi et me murmura à l’oreille :

- Quant à toi, petite chienne, regarde bien, tu as l’autorisation de te caresser mais de ne pas jouir, j’espère que tu as bien compris...

Je hochais la tête pour Lui faire comprendre que oui. Mon père arborant une belle érection se faisait sucer pendant que ma mère qui avait enfilé un gode ceinture, retira le plug de la chienne pour s’enfoncer dans son cul bien dilater par l’énorme plug anal et commença à la besogner bestialement tandis que mon père lui enfonçait profondément sa grosse verge dans sa bouche. A ce moment, Monsieur le Marquis prit lui aussi possession de la belle en lui baisant sa chatte dégoulinante et donc la soumise se retrouva avec ses trois orifices bien remplis. Le Noble me lança son puissant regard Dominant et instantanément, je soulevais ma robe et je me mis à me branler, à me doigter toute en me servant d’un soumis-chien, qui attendait d’être utilisé, pour qu’il me lèche mon clitoris et mes lèvres intimes. Ce chien devait être formé pour procurer du plaisir car il me fallut fortement me concentrer pour ne pas jouir sous ses divins et experts coups de langues.

Cela dura plus d’une heure, une véritable orgie sexuelle et donc, c’est en contrôlant mon plaisir en retirant parfois la tête du soumis, pour m’éviter l’orgasme que je pus me retenir sans laisser échapper ma jouissance. Parfois, je remettais la tête de l’esclave mâle entre mes cuisses, bref j’alternais la présence de sa divine langue sur mon sexe.
Par moment, soit mon père ou le Châtelain utilisait le fouet ou martinet sur les esclaves … Ce qui m’excitait encore plus, c’était ce mélange de m’imaginer être prise comme cette chienne par tous ses trous et de aussi m’imaginer sentir la semence des Dominants se déversant dans mon cul, ma bouche, et ma chatte que je compris le terme de vide-couilles et ça me donnait très envie de le vivre en tant que soumise, bien entendu ! Oui, se sentir prise, humiliée et souillée, j’en crevais d’envie. Monsieur le Marquis le comprit à mes yeux gourmands tel un se trouvant devant un bon gâteau. Il s’approcha alors de moi et d’un geste discret, il me fit comprendre de trouver une excuse pour quitter les lieux. Alors je n’hésitais pas une seconde pour lancer à mon père :

- Papa, serait-il possible de me faire conduire dans ma chambre, je commence vraiment à être fatiguée ?
- Je t’accompagne, si tu veux bien, répliqua le Noble. Mickael, Opaline j’accompagne Cristal dans sa chambre car à cette heure mes autres chiennes sont parties se coucher et Walter doit être occupé à verrouiller tous les cachots. Continuer à profiter, je vous rejoins après...
- Bien, mon cher Edouard, dit mon père, bonne nuit ma fille.
- Bonne nuit, les parents

Je suivis donc le Châtelain jusqu'à ma chambre

- A genoux, petite chienne, dit-il. J’ai envie de profiter de toi

Je ne me fis pas prier et je me déshabillais rapidement, retirant ma robe pour laisser apparaître mon entière nudité qui se trouvait dessous. Puis, c’est tout naturellement que je me mis à genoux

- Bien ma belle, tu as compris ce que j’exige pour Mes soumises et esclaves, maintenant je bande alors fait ton travail et vide moi les couilles et peut être que je t’autoriserai à jouir …

Trop heureuse de me retrouver enfin à ma place que je commençais donc à soulager la queue déjà bien gonflée du Châtelain. J’aspirais, léchais, suçais, faisais aller et venir mes lèvres sur cette hampe dressée, quand Il décida de s’enfoncer jusqu'à la garde jusqu’au fond de ma gorge sans se soucier si je pouvais respirer et me baisa la bouche.
De temps en temps, il me laissa tout de même reprendre de l’air et recommençait à me besogner ma cavité buccale. Quand il en a eu assez, il me fit mettre en levrette et me pénétra d’un coup dans mon intimité et commença à me labourer vivement, sauvagement, bestialement sans autre préambule. Je devais contenir ma jouissance qui montait au fur et à mesure de ses vigoureux va-et-vient profonds et virils. Je lâchai des petits gémissements de plaisirs à défaut de ne pouvoir jouir …

- Que tu es bonne à prendre et à baiser, petite chienne en devenir, mais il va falloir si tu veux m’appartenir à contrôler tes gémissements. Maintenant, tu vas me répondre ma belle : T’a-t-on déjà pris ton petit trou ?, réponds-moi
- Non, Monsieur le Marquis. Je suis vierge du cul, n’ayant jamais été sodomisée
- Bien, alors ce sera mon cadeau d’anniversaire…. Et comme c’est ta première sodomie, exceptionnellement tu as mon autorisation de gémir quand je vais t’enculer, mais pas de jouir …

Il sortit alors de ma chatte trempée pour se présenter sur ma rosette et promenait son gland tout autour de mon œillet anal. Doucement, petit à petit et comme il l’avait prévu, je commençais effectivement à gémir sous l’excitation. Et d’un coup, il s’enfonça doucement d’abord et commença à m’enculer peu profondément et donc il prit le temps d’y aller modérément afin de me dilater les parois anales. Je commençais à gémir de douleur mélangée à l’excitation, ce qui est une sensation bizarre mais savoureuse. Au bout d’un moment cette douleur ce transforma en plaisir plus prononcé quand, me maintenant fermement par les hanches, il alla doucement jusqu’à la garde au plus profond qu’il put, le passage était fait ! Et Monsieur le Marquis le remarqua alors il s’activa plus rapidement et c’est ainsi profondément enculée qu’il accélérait ses coups de reins pour me saillir comme une véritable chienne. Ses ouilles frappaient contre mes fesses sous ses coups de boutoirs. Il me baisait le cul et je me sentait bien possédée, bien baisée du cul… Un véritable délice … Au bout d’un long moment où je laissais aller mes gémissements sans jouir, qu’il se retira de mon cul lui aussi sans éjaculer:

- Tu es bien serrée, bien bonne, Ma belle petite chienne, oui c’est ça tu es bonne à prendre ! Mais aujourd’hui, je ne te donne pas Ma semence car tu l’as déjà eu.
As-tu quelque chose à me dire petite chienne ?
- Ouiiiii Monsieur le Marquis ! Je Vous remercie pour ce magnifique cadeau d’anniversaire. Jamais je n’avais ressentis de telles sensations … Ce que Vous me faites vivre en ce moment ne fait que confirmer que je ne suis pas du tout faite pour être une Domina mais bel est bien une chienne soumise. Mais comment en parler à mes parents je ne sais pas encore...
- Pour le moment, Ma douce, il est temps que tu dormes, monte dans ton lit et fermes tes yeux, je reste jusqu’à que tu t’endormes. Je veille sur toi.

Sans chercher à réfléchir, je m’installai confortablement dans mon lit, le Noble s’assit à mes côté. Je fermais les yeux et le sommeil m’emporta sans même entendre ce que le Châtelain dit :

- Voila Ma belle chienne, Ma chose, tu es déjà mienne Ma douce, mais pour le moment, il va falloir que tu affrontes tes parents pour devenir après, une de Mes chiennes. Tu as de grandes capacités à la soumission, c’est clair et je sais que ta véritable nature n’est pas dans la Domination. Ça va être un réel plaisir de te dresser, de t’initier, de t’éduquer, me dit-il en me caressant le visage de ses doigts doucereux… Bonne nuit, Ma chienne …

(A suivre …)

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