La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1207)

chienne Vénus au Château – (suite de l'épisode précédent N°1206) -

Il tapotait et caressait mes cheveux afin de m’assurer de son soutien, de son réconfort, dans cette consolante accolade … J’avais l’impression d’être abandonnée par mes parents. Monsieur Le Marquis avait bien ressenti que j’étais complètement désemparée et je ne savais pas comment j’allais faire mais sa tendresse me rassurait moi bien blottie contre sa poitrine…

- Ma belle, regarde-moi, ne t’en fait pas, tu es ici chez toi, comme … disons, Mon invité !… Je t’offre l’hospitalité autant que tu le souhaiteras… Mais rentrons à l’intérieur … (puis s’adressant à son Majordome) … Mon cher Walter, va nous chercher de quoi sécher les larmes de Cristal et de quoi nous rafraîchir. Nous serons dans mon bureau, j’ai à lui parler.
- Bien Monsieur le Marquis, je vous fais porter cela immédiatement, répondit le Majordome.

Je suivi donc le Châtelain dans Son bureau. Il s’installa dans Son fauteuil. Il me convia à faire de même alors, je m’assis dans un autre fauteuil afin de digérer ces nouvelles et l’abandon de mes parents qui ne pouvaient comprendre mon besoin viscéral de soumission… Un esclave mâle entra et déposa, tête baissée, de quoi manger et boire. Le voyant, je me permis de demander la parole :

- Puis-je demander quelque chose à Votre esclave ?
- Mais oui, Ma belle, tu y es autorisée …
- Va me chercher, esclave, dans ma chambre mon ordinateur, je dois absolument vérifier une chose … (puis m’adressant au Noble) … Si cela ne Vous dérange pas Monsieur le Marquis, car les menaces de mon père sur mon entreprise me font très peur...
- Oui bien sûr Cristal. Et si jamais tu as besoin d’aide, ça sera avec plaisir car je n’ai jamais laissé une soumise dans le besoin…

L’esclave partit chercher mon ordinateur

- Je ne comprends pas mes parents, pourquoi ils restent butés sur leurs idées ? Le rôle des parents n’est-il pas d’aider leurs s à être heureux ?
- Tu sais, je me doutais de leur réaction car pour eux, tu représentais la nouvelle génération de Domina de votre famille.

Alors pour eux, ce fut un véritable choc d’apprendre que tu n’avais rien d’une Maîtresse… Même si je les comprends, je ne cautionne pas leur réaction… Ils auraient dû s’incliner avec compréhension et fair-play afin de préserver l’essentiel, à savoir le bonheur de leur fille... Prends le temps qu’il te faut, tu es ici chez toi...

L’esclave rentra et m’apporta mon ordinateur. Je commençais donc à effec les vérifications sur ma société et ce que je doutais avait eu lieu. Mon père avait déjà gelé tous mes comptes de mon entreprise et même mes comptes personnels lesquels il avait tous accès puisque j’étais mineure lors de leur ouverture. Il avait donc fait cela très vite, certainement dans sa voiture en wifi. Je n’avais plus aucun droit sur ma propre société qu’il m’avait financé… En plus, de me trouver un logement, il allait falloir que je me batte pour récupérer ce que j’avais mis des mois à construire soit cette entreprise laquelle j’avais créé en tant que mineure et que mon père gérait les formalités administratives car il en était le PDG, même si je gérais entièrement, d’une main de maître, la clientèle.

- Je m’en doutais, il l’a fait et je ne pourrais jamais le lui pardonner
- Qui y’a-t-il, Cristal ?, s’inquiéta le Châtelain.
- Il m’a coupé les vivres et je n’ai plus aucun pouvoir sur ma société. Je ne peux plus rien faire, il m’a bloqué complètement l’accès aux comptes en banque et tout le reste…. Je … Vous … Vous m’avez proposé Votre aide, je vais la prendre volontiers et pour le moment, si cela ne Vous dérange pas, Monsieur le Marquis, oubliez ma demande de soumission car je dois avant tout récupérer ce qui est à moi, dis-je d’un ton déterminer !
- Oui, je te comprends … et accède à ta demande, sans problème … Tu te dois de te concentrer à 200% sur ta société et je vais te mettre en contact avec mes (et les) meilleurs avocats du barreau de Lyon pour t’aider. Et pour ta demande de soumission, on verra plus tard, la priorité aujourd’hui, c’est toi et tu le sais.


Les semaines suivantes furent riches en rendez-vous et l’aide du Châtelain me permis de démontrer à mon conseil d’administration que j’étais bien capable de diriger ma société et que j’avais des projets dans l’avenir pour la faire prospéré et multiplier le chiffre d’affaires. Mais ce combat fut long car mon père ne voulait pas lâcher l’affaire. Une clause décelée par un brillant avocat dans les statuts de la société, et que mon père avait parafée en me liant à ladite société, me permis d’avoir gain de cause, elle était claire et sans équivoque : Dès ma majorité légale, je pouvais jouir pleinement de tous les droits et pouvoirs pour gérer toute seule l’entreprise en devenant la PDG. Et donc juridiquement, ayant dépassée mes 18 ans, j’étais dans mes droits d’affirmer que la démarche de mon père de m’interdire l’accès à ma société était répréhensible. Du coup un jour, un coup de fil de mon conseil d’administration arriva pour m’affirmer qu’ils m’attendaient le lendemain pour valider physiquement par ma présence le poste de PDG de l’entreprise et donc que je récupère à 100% mes droits sur ma société. Je me doute bien que les puissantes relations du Châtelain avaient été efficaces et je Lui en étais reconnaissante. J’étais tellement contente que j’allai porter la bonne nouvelle au Noble et Lui demander, s’il voulait bien m’accompagner, ce qui conforterait aussi ma présence en face de mon père.

- Bonjour Monsieur le Marquis, comment allez-Vous ce matin ?
- Bien Cristal et toi ?, me dit-il.
- Contente, j’ai eu enfin des nouvelles de mon conseil d’administration, j’ai rendez-vous demain pour signer les papiers. Pouvez-Vous m’accompagner car je ne me sens pas d’affronter mon père toute seule, s’il Vous plait, Monsieur le Marquis ?
- Je suis content Moi aussi pour toi que tu puisses enfin récupérer ta société … Et d’ailleurs, depuis hier, j’étais au courant de ce que tu viens m’annoncer mais je ne voulais pas te l’annoncer moi-même afin que tu savoures pleinement ta victoire.
Oui, je t’accompagnerai demain, tu peux compter sur Moi… Mais avant, Cristal approche-toi de moi.

Son regard changea du tout au tout, d’un regard bienveillant, il passa à un regard empli de Dominance et instantanément je baissais les yeux, en ressentant fortement que ce regard m’avait tant manqué …

- Cristal, tu baisses les yeux et je sais ce que tu ressens … Alors si tu envie de te soumettre juste pour ce moment ? Tu es en droit de ne pas accepter, je ne t’en tiendrai pas rigueur dans ma décision de te prendre sous Mon joug.
- Monsieur le Marquis, ce sera un réel honneur pour moi de m’offrir à Vous maintenant, dis-je en me mettant à genoux, répondis-je sans hésitation, me sentant de nouveau à ma place dans un bien-être total
- Ma belle petite chienne, tu es toujours sublime quand tu t’offres à Moi. Tu es extrêmement bandante comme cela, une vrai petite chienne j’adore te voir prête à subir Mes moindres Exigences pour me satisfaire. Va au fond de la pièce et reviens vers moi à quatre pattes comme la chienne que tu es. Donne-moi envie de te prendre, excite-moi, tu as carte blanche pour y parvenir …

A ces mots, je commençais à sentir mon excitation s’amplifier. Cela faisait des semaines que je n’avais pas été prise ou même à simplement jouir. J’étais en manque de sexe mais surtout en manque de soumission et au vu de mon excitation et du bien-être à cette place, j’espère que je pourrai le vivre à Ses pieds. Alors, j’obéis immédiatement et je me dirigeais vers le fond de la pièce et me mis à 4 pattes et avançais avec une démarche des plus féline déhanchant mon cul pour exciter Monsieur le Marquis. Je fis quelques aller-retour quand le Noble me fit venir à Lui, je constatais que mes déplacements l’avait excité au vu de la bosse dans Son pantalon. Il passa Sa main sur mon visage, elle était tendre et cherchait par Ses caresses à me donner aussi du plaisir, puis il glissa ses doigts sur mes vêtements et s’immisça sous ma culotte pour vérifier mon excitation :

- Eh bien, que vois-je ? Une chienne en chaleur ! Je peux le sentir de Mes doigts qui sont trempés de ta mouille de petite chienne affamée… Aujourd’hui, je vais te prendre petite chienne, te baiser et t’enculer … Une bonne saillie et quand j’aurais fini de te défoncer ton cul de belle chienne, de belle petite salope en devenir, tu Me nettoieras Ma noble verge et je te ferai, peut-être, l’honneur de déguster Ma semence.
.. Déshabille-toi, la chienne !

Je me déshabillais en vitesse sachant qu’Il ne supportait pas attendre et je me positionnais en levrette, position qu’Il affectionnait tout particulièrement, pour une saillie digne de ce nom. Sans un mot de plus, il s’enfonça dans ma chatte dégoulinante de ma cyprine de chienne en rut et commença Ses va-et-vient de plus en plus sauvages et profonds. Il me baisait la chatte pour Son plaisir par de grand coup de reins, alternant l’intensité. Je me sentais à ce moment pleinement moi et soumise, je me sentais en effet possédée, remplie et à ma place à être utilisée comme bon Il le décidait. Cela dura un long moment, ces couilles frappaient sous ma chatte presque dans un même rythme cadencé. Il me baisait tel un lion, avec vigueur et longtemps, jusqu’à la garde… Quand il en eu assez de me prendre la chatte, il sortit et sans préparation, il m’encula d’un coup de reins puissant, d’une fortes poussée, son gland violacé entra dans mon cul, m’arrachant un cri de douleur qui en quelques allers et venues se transforma en râle de plaisir animal. Il me possédait totalement là encore par cette sodomie conquérante. Il s’enfonça de plus en plus profondément et rapidement, j’avais du mal à reprendre ma respiration tellement mon excitation grandissait mais je me retenais de jouir car il ne me l’avait pas ordonné alors que je sentais sa grosse bite me dilater les parois anales…

C’était tellement bon de me sentir remplie, possédée et utilisée ainsi, j’étais bien. Je ne voulais pas que cela s’arrête. Je voulais qu’il me baise, qu’il m’encule tout le temps et qu’il se serve de moi pour toujours, je voulais être Sa chose, Son objet sexuel de plaisirs, Son vide-couilles. Là était ma place. Au bout de longues minutes, il se retira et me présenta Sa verge et sans préambule, il prit possession de ma bouche ne me laissant pas lui faire une pipe mais baisant ma bouche comme un simple trou, s’enfonçant jusqu'à ma gorge. Et par moment m’empêchant de respirer et me décrochant quelques larmes au passage. Pendant qu’il me prenait la bouche, je sentis Ses doigts se poser sur mon clito et il se mit à me stimuler vigoureusement. Je sentais à Ses va-et-vient que Sa jouissance arrivait et je me préparais à cet honneur. Il s’approcha de mon oreille et me dit d’une voix tendre :

- Prends tout ce que je vais te donner, petite chienne, n’en perds pas une goute et quand j’aurais fini de me vider dans ta bouche, tu l’avaleras et après je te ferai l’honneur de te faire jouir de Mes mains, petite salope en manque...

Une fois ces mots terminés, il amplifia Ses mouvements et se vida dans ma bouche en longs, puissants, et épais jets de Sa semence chaude au fond de ma gorge, tout en lâchant des râles de plaisirs, tel un cerf en rut. Je me délectais de son sperme comme s’il s’agissait d’une gourmandise, Sa gourmandise, je me concentrais encore pour ne pas jouir pour Lui nettoyer méticuleusement Sa bite :

- Va s’y petite chienne, jouit pour Moi, laisse exploser ton plaisir, donne-le Moi…

Le Noble accéléra encore plus Ses mouvements de Ses doigts et je me suis mise à lâcher une jouissance animale telle une chienne dans un long râle bestial. Orgasme venant des contractions vaginales, de mes muscles, tandis qu’Il continuait à me stimuler et sans rien contrôler, un deuxième et un troisième orgasme surgissaient dans des vagues successives de décharges électriques qui me remontaient tout le long de mon échine. Et dans le dernière, tellement l’intensité était puissante, un flot de cyprine se répandit sur le sol.

- Ma belle petite chienne, Ma belle chienne fontaine, quelle jouissance sublime tu viens de m’offrir … Mais maintenant, il va falloir que tu me lèches tout ça, je ne veux pas que mon plancher en chêne massif soit tâcher par le plaisir féminin d’une petite chienne fontaine. A quatre pattes et nettoie.

Pendant que je léchais, à quatre pattes, le sol pour le nettoyer, Monsieur le Marquis me fessa sensuellement le cul en me disant :

- Je ne pense pas que tu te rendes compte que le plancher que tu lèches a été foulé par le Marquis de Sade en personne, il y a de cela, bien évidemment, quelques siècles …

En effet, je n’avais pas pensé à cela alors je redoublais d’ardeur à rendre impeccable un plancher à connotation historique. Une fois finie, je me mis en position prosternée à Ses pieds et j’attendis.

- Bien, maintenant tu vas te rhabiller et retourner à tes occupations, j’ai du travail. Aller file...

Sur ces mots j’essayais de me relever et d’un seul coup, le trou noir, je m’effondrai et tombais dans les pommes…
Je me réveillais dans ma chambre habillée et couverte. Il me fallu 10 à 15 minutes pour comprendre ce qui m’était arrivé. Quand enfin, je retrouvais la force de m’assoir sur le lit, je vis le Châtelain assis et travaillant sur la table de la chambre.

- Tu as fait un petit malaise, Cristal, je crois que t’avoir autorisée 3 orgasmes t’ont complètement vidée de toute ton énergie. Je t’ai donc fait porter dans ta chambre et rhabiller pour ne pas que tu prennes froid et j’ai profité de ton sommeil pour avancer dans mon travail, tout en veillant sur toi. esclave Phryné MDE va chercher auprès de Marie, un plateau bien garni pour que Cristal puisse reprendre des forces en mangeant copieusement.

Je n’avais même pas remarqué qu’elle était là…

(A suivre …)

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