Petits Boulots Grand Plaisir

L’été de mes 18 ans, j’avais réussi à trouver un job saisonnier comme serveuse dans un restaurant d’un petit village de bord de mer, ce midi là il n’y avait pas grand monde aussi j’étais ravie de pouvoir quitter plus tôt afin d’aller faire un tour à la plage, je me souviens que j’en avais profité pour mieux chouchouter mes clients, notamment un homme qui aurait pût être mon père qui revenait souvent le midi, il m’inspirait confiance avec ses mots gentils, ses compliments sans compter un petit pourboire non négligeable
Je finissais de dresser les tables pour le service du soir il était toujours là a siroter une bière qui devait être chaude, puis, je suis montée à l’étage où se trouvait notre vestiaire près des toilettes , comme par hasard la porte ne se verrouillait pas ,mais cachée dans le recoin où se trouve mon casier je me sentais rassurée pour quitter cette tenue qui sent la sueur, je me retrouve donc en string et soutien-gorge lorsque mon portable sonne mais le temps de le retrouver dans mon placard la communication a été coupée , c’est à ce moment-là que j’ai senti une présence dans mon dos… ‘mon’ client qui visiblement cherchait les toilettes ?
Aussi surpris l’un et l’autre aucun mots n’est sorti de ma bouche et lui scotché par ma tenue me dévorant du regard reste bouche ouverte, pas un instant je n’ai cherché à dissimuler mes atouts féminins, a-t-il pris ma passivité pour une invite ? au fond de moi-même j’étais fière de montrer mon corps de dix-huit ans à cet homme mature, toujours est-il qu’il a bloqué la porte avec une chaise et fait les trois pas qui me séparaient de lui
- Tu es belle Nadia …n’ai pas peur je ne te veux pas de mal
- Mais ?
Trop tard il m’a enlacée, mon prénom ? facile, il est agrafé sur mon corsage durant le service, ses mains plaquées sur mes fesses me collent à lui et donc sur l’imposante érection qui se manifeste déjà, je n’ai pas refusé ses lèvres tandis que sa main fait sauter habilement l’attache de mon soutien-gorge avant de venir empaumer mon nichon gonflé de désir, il m’a collée sur le métal glacé des casiers en laissant un espace entre nous deux afin de pouvoir fouiller mon entrejambes déjà écarté, ce n’est pas la mince largeur de dentelle qui peut arrêter la progression de ses longs doigts , deux d’entre eux trouvent facilement ma faille ruisselante et en frottent bruyamment les pourtours aussi loin qu’il le peut
- Ta chatte à envie de bite on dirait ? je vais te combler …
- Bloquez la porte …
- C’est fait …tu veux du sexe ?
- Ouuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiii
- Sort ma queue et suce-la un peu
Fébrilement je défais le pantalon et en extrais difficilement une verge comme jamais je n’ai eu occasion de voir et toucher, légèrement courbée vers le haut tel un sabre, nervurée et poilue à souhait, chapeautée par un gland écarlate que j’ai peine à avaler, pleurant d’une grosse perle qui ravie mes papilles, l’homme se raidit de plaisir percutant mes amygdales me faisant hoqueter, je n’ai pas assez de mes deux mains et de ma bouche pour branler le mandrin, ça énerve mon amant qui me confisque la bite raide
- Inutile d’aller plus loin tu n’arriveras pas à me faire décharger, relève-toi
- Vous me rejetez ?
- Pas encore, voyons si ta chatte peut me recevoir aisément, prend appuis sur ce placard … recule toi et écarte les pieds… Biiiiieeeeeennnn, respire fort …
- Hoooooouuuuuuuaaaaaaaaaaaaaaaaah….

Oooouuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiii !
- Attend avant de te réjouir, il en reste encore dehors
- Je veux tout !
Il recule un peu et me tire brutalement a lui pour mieux perforer ma matrice répétant plusieurs fois la méthode qui se révèle efficace, ma gaine vaginale s’étire encore et encore, va-t-il me blesser ?
- Tu as la chatte vachement soyeuse et élastique, je vais tout te mettre jusqu'à ce que mes poils caressent ton p’tit cul, travaille un peu je vais m’occuper de tes seins
Je n’ai jamais été baisée aussi virilement, mon copain fait toujours ça en douceur me laissant souvent sur ma faim, aussi je compte bien en profiter et me démène comme une vulgaire salope sur sa trique tandis qu’il malmène mes seins, si j’ai des ganglions ils ne vont pas lui échapper
- Bien Nadia, fait toi jouir
- Baise-moi salaud, défonce-moi la cramouille tape encore-encore-encore !!
- Prends ça catin, je vais t’arroser l’intérieur bbbbbbbbooooooooooouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuhhhhhh !!
- Ouuiii-ouuuuuuiiiiii-ooooooouuuuuuuuuiiiiiii OOOOOOUUUUUUUUUUUUUIIIIIIIIIIIIIIIII !!!-
Un déferlement de foutre chaud inonde mes entrailles qui, ne trouvant pas de refuge ressort en giclant, inassouvie j’ai encore envie de jouir, toujours plantée jusqu’aux testicules je recommence des vas-et viens intrépides
- Tu n’es pas rassasiée ?
- J’en reprendrais encore un coup
- Ça te dirait de faire une expérience avec trois bon mâles ?
- Oouuuuuuuuiiiiiiiii ?
- Lorsque je dis mâles ce sont de vrais défonceurs de vagin et du reste …. après cette expérience tu ne supporteras plus un accouplement ‘normal’
- Je veux essayer !
- Rhabillons nous et suis moi à l’hôtel d’à côté j’y ai deux potes qui attendent mon coup de fil, inutile de te laver, ils savent se servir de leurs langues
- Sortez par la cour afin d’éviter mes patrons, je vous rejoins dehors
Suis-je devenue folle ? pourquoi avoir accepter d’aller me faire mettre par trois mecs hyper sexués ? ma chatte est encore en feu je dois la satisfaire, j’ai été prévenue, advienne que pourra … de mon anus
Cinq minutes plus tard j’entre dans ‘l’arène’ … ses potes, apparemment de son âge, bien conservés aussi me regardent comme s’ils j’étais la madone, en moins respectueux, je suis déshabillée par des yeux injectés de sang


- Alain ? Georges ? je vous présente Nadia une charmante jeune fille qui désire connaitre le grand frisson
- Bravo Maurice tu as levé une belle pouliche, avance ma jolie
- Nadia a déjà servi, je l’ai testée avec succès, qui veut nettoyer son entrecuisse ?
- Te connaissant y’a du boulot, partageons nous la tâche ?
Les deux hommes viennent vers moi, me guident manu militari jusqu’au lit et ‘m’invitent’ à m’allonger en m’y propulsant, l’un d’eux fait le tour tandis que mon amant se poste à mon côté, l’autre vient au bout de la couche qui vas supporter nos ébats, il me tire par les chevilles afin que mon entrecuisse lui soit accessible, des doigts s’affairent à déboutonner mon corsage d’autres à tirer sur ma culotte amidonnée de foutre
- Elle a bien reçu la petite, sa fente est toute barbouillée
- Tu sais bien que Maurice ne possède pas une verge mais une lance à incendie !
- Ne fait pas ton difficile, lèche-la sinon je prends ta place
- Elle sent trop bon de la chatte ! je vais me régaler
Que c’est bon une bouche sur chaque téton et un autre ventousée sur mon abricot qui après le passage de Maurice doit plus ressembler à une figue confite, des soupirs de satisfactions fusent, tout en aspirant mes bouts les hommes se servent de leurs mains libres pour se déshabiller, Alain lâche mon sein pour me présenter une queue légèrement et heureusement plus modeste que celle qui m’a ouverte au restaurant, entre mes jambes mon clitoris est merveilleusement aspiré et mon anus taraudé au plus profond par un doigt habille, je me tords sous les prémices d’un orgasme qui s’annonce violent quand à mon grand désarroi ils stoppent brutalement les préliminaires
- Elle est bonne à prendre, que fait-ont ?
- Baise-la je vais décharger dans sa bouche
- Et toi Maurice ?
- J’attends patiemment mon tour pour la sodomiser, préparez la bien
- C’est déjà fait, son anus est très souple
- Passe d’abord Alain … je la prendrais seul à ma guise
Finalement je me retrouve à cheval sur Georges qui tient sa bite dressée, je m’ouvre de deux doigts en m’asseyant lentement sur ce pic zébré de grosses veines bleues, une fois bien assise, devinant la suite je me penche sur le torse velu de mon amant qui m’enlace, aussitôt des doigts prélèvent du jus lubrifiant sur mon con pour enduire mon anus en profondeur , un soupir de satisfaction et l’homme qui ne peut être qu’Alain, prend position me flattant les hanches comme pour me mettre en confiance
- Que c’est beau la jeunesse … faut que j’arrive à la retraite pour me farcir une telle pouliche
- Tu n’as jamais pratiqué une double ?
- Hé non ! j’ai peur de lui faire mal …
- Allez-y Alain je suis prête …
Le gland tâtonne, hésitant à forcer sur ma cible, c’est Maurice qui s’impatiente et l’encourage à me sodomiser, mon anus est étiré jusqu’à ce que la verge puisse entrer en moi, je grimace mais serre les dents ne faisant rien paraitre de la douleur aiguë qui me fait serrer les fesses avant que je ne me relâche totalement, Alain pousse un cri de victoire et me met toute sa queue d’un coup de reins
- Ça y est ! baisons là Georges !
- Après toi mon bon complice ! bouge un peu …
Les deux pistons infatigables me font voir des étoiles, malgré ma volonté des larmes brouillent ma vue, après une minute le plaisir fait place à la gêne d’avoir deux gros manches dans si peu de place, pour m’encourager je pense que Maurice va m’avoir pour lui seul, je vais demander à ses copains de nous laisser, il va me faire grimper au firmament en me faisant l’amour dans des positions inavouables que je choisirais …
A ces pensées agréables je jouis interminablement, entrainant l’éjaculation de mes amants qui se retirent discrètement, je reste couchée pour reprendre des forces …
- J’arrive ma chérie ….

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!