La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1208)

chienne Vénus au Château – (suite de l'épisode précédent N°1207) -

Je n’avais même pas remarqué qu’elle était là… Au bout d’une heure, j’avais enfin repris des forces et je me suis attelée aux diverses formalités de ma société … Le lendemain matin, après un rapide petit déjeuner prit en présence du Châtelain, ce qui était rare depuis que je vivais au Château, j’étais contente de passer du temps avec Lui, même si je dois avouer que j’aurai préféré prendre mon petit déjeuner à quatre pattes et à Ses pieds dans une gamelle... Je m’inquiétais un peu de savoir s’il accepterait ma demande de soumission. Je sais que je Lui avais demandé de ne pas en tenir compte mais depuis ma requête, j’essayais de savoir par Ses attentions et Ses mots, s’il avait pris une décision mais il ne me laissa rien apercevoir, et c’est aussi pour cela que je Le respecte encore plus. Le Châtelain aurait très bien pu me refuser ma demande pour que je puisse me concentrer à fond dans la récupération de ma société et me dominer quand même, mais non. Hier seulement, et c’était magnifique, magique de me laisser porter par Sa Dominance et de m’offrir à Lui… Une fois le petit déjeuner passé, je suis allée m’habiller comme il se doit et encore une fois, Monsieur le Marquis avait pensé à tout car je trouvais sur mon lit un tailleur professionnel de très bonne facture et qui m’allait comme un gant. Je le passais et vite je descendis Le rejoindre :

- Mais, tu es sublime comme cela, Cristal, une vrai petite femme d’affaires ! Si seulement ton conseil d’administration savait la chienne que tu es, et la chance que tu as, oui l’immense chance que tu as que Moi, le Maitre ait tout pouvoir sur toi, si j’en décide ainsi ! Et ainsi si j’ai envie de te prendre et de te soumettre à mon simple claquement de doigts, ils en seraient jaloux, me dit-il pour me détendre.
- Merci, Monsieur le Marquis du compliment, mais pour le moment il est temps de prendre la route, je désire plus que tout en finir avec cela au plus vite.


- Oui tu as raison, Ma douce. Tu ne peux pas savoir comme il me tarde moi aussi que tout ce ‘cirque’ que ton père a fait se termine et que tu retrouves tes droits… Pour passer à autre chose avec toi Cristal, j’ai un beau projet pour toi, ici, me dit le Châtelain en prenant possession de ma bouche.

Ce geste et Ses mots me firent comprendre que j’avais trouvé Le Maitre que je désirais temps depuis si longtemps et je ne pus que Lui sourire… A 9h nous avons pris la route, c’est Walter qui conduisait et en moins d’une heure, nous étions arrivés à Lyon au siège de la société… La fin d’une histoire et le début d’une nouvelle ! J’allais enfin prendre possession de ma société que j’ai créée. Tirant un trait, par la même occasion, sur le regard inquisiteur de mon père sur tous les choix que je faisais dans ma vie et sur ce que je voulais être. J’allais simplement être moi… Le rendez-vous au 12 ème étage d’un moderne immeuble et autour de cette grande table ovale avec les administrateurs se passa sans aucun problème, mais mon père ne m’adressa pas un mot, ni même un regard sauf des regards hautains d’un homme qui se croit de classe supérieure. Une fois les papiers signés, devant un huissier afin de faire constater que tout se passait en bon ordre, il dut rendre les clés au conseil d’administration ainsi que tous les moyens de paiements qu’il avait en sa possession et son badge. Tout cela, devant mon père qui contenait difficilement sa colère, me fut restitué sauf que j’avais décidé, en accord avec mon conseil d’administration, de nommer Monsieur le Marquis comme associé de ma société, Celui-ci apportant un large capital dans nos finances soit de l’argent frais très apprécié des administrateurs et donc ils ont tous voté à l’unanimité, sauf une voix qui bien évidemment était celle de mon père… Je me tournais donc face au Noble et dis :

- Monsieur le Marquis d’Evans, en accord avec mon conseil d’administration, nous avons voté à l’unanimité, moins 1 voix, votre adhésion à notre société.
J’ai donc le plaisir de Vous faire associer de ma société à 50%. Pourquoi tout simplement car Vous avez toujours été de très bons conseils pour moi et que Vous m’avez été d’une grande aide et d’un grand soutien durant cette dure épreuve… De plus, Vous avez su convaincre nos amis administrateurs, ici présents, en apportant une manne financière non négligeable à notre société et nous vous en remercions. (puis me tournant vers mon père, je lui parlais froidement) … Quand à vous Monsieur de Bourbon, je vous serai grés de bien vouloir quitter mon établissement immédiatement ou je fais appeler la sécurité.
- Eh bien mon cher Edouard, voila une gamine prétentieuse et bien insolente envers un de Vos plus vieux amis, cela mériterai une sanction exemplaire mon cher, dit-il (insinuant par le mot ‘sanction’’ une punition D/s).

Un grand silence parmi les administrateurs se fit, eux observaient cette joute verbale avec attention. Je fus choquée des mots de mon père envers moi et le Noble de même. Il lui répondit alors par un regard fixe, froid, la tête haute :

- Monsieur de Bourbon, Je vous prierais dorénavant de m’appeler Monsieur le Marquis, tout simplement, après ce qui s’est passé en Ma demeure et surtout envers votre propre fille, je ne peux le tolérer. Vous ne faites plus partie de Mes amis, je vous prierais comme l’a demandé Mademoiselle la PDG de la société, de bien vouloir partir...
- Eh bien, Monsieur le Marquis, soit ! J’en prends note mais sachez une chose, tôt ou tard, vous me le paierez tous les deux, croyez-le, dit mon père fou de rage.

Sur ces mots, il se leva, ne salua personne et furieux, il tourna les talons et partit, claquant la porte avec force. Je me sentis soulagée et très reconnaissante envers Monsieur le Marquis. Après un pot offert aux administrateurs fêtant l’arrivée du Noble dans la société, où le champagne coula à flot, tous les administrateurs quittèrent les lieux en saluant chaleureusement le Châtelain…

- Rentrons au Château, maintenant mais avant Cristal, tu peux fermer la porte de notre société.

- Oui, je voulais encore Vous remercier pour Vos conseils, Votre soutien moral et financier durant cette épreuve.
- Tu es méritante, Cristal, et j’aime les gens qui entreprennent et donc tu méritais ce petit coup de pouce de ma part … bien allons, rentrons, dit-il en me caressant la joue.

Durant le trajet du retour, je m’endormis paisiblement sur les genoux du Châtelain. Ma joue posée sur ses cuisses, il me berçait par de douces caresses dans mes cheveux… Arrivés au Château, je dus passer quelques coups de fil pour faire entériner les changements et modifications des statuts de l’entreprise dans ma chambre, et je ne vis pas le temps passer. Ce fut seulement quand un des esclaves de Monsieur le Marquis vint frapper à ma porte pour m’annoncer :

- Mademoiselle de Bourbon, veuillez excuser mon intrusion mais Monsieur le Marquis m’a dit de vous dire qu’Il vous veut immédiatement dans Sa chambre.
- Merci de me l’avoir dit, accompagne-moi donc jusqu'à Sa chambre, cela me sera agréable…

Je suivais donc l’esclave jusqu'à la chambre du Noble, l’esclave à quatre pattes et moi debout n’ayant pas reçu de précision à ce sujet. Si j’avais voulu que l’esclave m’accompagne c’est simplement pour le voir évoluer en quadrupédie afin de m’exciter toute seule à m’imaginer à sa place en train d’évoluer ainsi dans les couloirs… Une fois arrivé devant Sa chambre, l’esclave s’en alla pour retourner à ses occupations. Je toquais à la porte et attendais

- Oui, Cristal, entre donc.
- Vous m’avez fait demander, Monsieur le Marquis ?
- Oui, j’ai à te parler... Je crois que tu attends une réponse petite chienne, il me semble...
- Je n’attends rien de Vous Monsieur le Marquis, je Vous ai fait, certes, il y a quelques temps une demande pour devenir une de Vos soumises mais la décision ne m’appartient pas.
- Très bonne réponse, alors comme cela, tu souhaites devenir Ma chienne, Ma chose, Ma propriété, Mon objet.
Sache que j’y accède avec plaisir car durant ces semaines, et bien avant, je t’ai observé attentivement et je sais déjà où je veux t’amener. Cristal, Ma belle petite chienne, montre-moi ce qui M’appartiens, je te veux nue devant Mon regard. Je veux pouvoir profiter de ce que tu m’offres pleinement aujourd’hui et pour des longues années… Voila qui est mieux… A genoux, Ma chienne. Tu as le droit de gémir mais pas de jouir, on est bien d’accord, Seul Moi peux te l’accorder si tel est Mon bon vouloir. Savoure Ma petite salope, donne Moi toute ce que tu peux, tu es désormais à Moi ... Tu es Ma soumise à partir de cet instant, tu peux m’appeler Maître…
- Oui … Mai … Maitre …, répondis-je, des larmes de bonheur aux yeux …

C’est donc très émue, que je me mis nue à genoux devant Lui, fière de Lui appartenir réellement, Il passait Ses mains sur tout mon corps prenant possession de ce qui Lui appartenait dorénavant. Je savourais ce moment car à ce moment précis, je ne m’appartenais plus. Monsieur le Marquis était devenu le Maitre à qui j’appartenais pleinement. Ses caresses devinrent plus appuyées, plus Dominantes et commençaient à jouer avec mes tétons déjà bien excités par Ses paroles, ils se dressaient fièrement. Le Noble les pinçait légèrement pour m’habi à la sensation puis petit à petit, il augmentait l’intensité, enfin je ressentais cette douleur, cette chaleur qui me permit au fur et à mesure de gémir de douleur se transformant en plaisir. Je Lui offrais réellement mon plaisir mais aussi ma douleur pour Son plaisir à Lui. Maintenant seul Son plaisir comptait. Et la douleur ne fit qu’augmenter, se transformant en une délicieuse excitation masochiste pure que j’acceptais car elle était Sa volonté. J’oscillais entre plaisir et douleur quand il pinçait, vrillait, étirait mes tétons ou leur donnait des calottes furtives et cela m’excitait au plus haut point.

- A quatre pattes, Ma belle femelle. Je vais te faire goûter et savourer mes martinets. Mais je ne veux pas entendre un son sortir de ta bouche, sinon tu seras punie.

Le Châtelain alla chercher Ses deux martinets et me chauffa la peau par des légers coups, qui au fil du temps devenait de plus en plus intenses et j’avais du mal à me retenir de crier car la douleur devenait plus vive, plus dure à accepter. J’essayais du mieux que je pouvais pour retenir les sons qui voulaient sortir de ma bouche. Au bout d’un moment les larmes sont sorties, tout comme un son de gémissement. Je savais qu’Il cherchait cela, j’avais compris qu’il voulait me pousser à la faute, pour en quelque sorte, me tester dans ma capacité à accepter de fauter et d’être punie.

- Qu’est que je viens d’entendre, Ma chienne ? Tu n’as pas su te contenir, tu vas donc être punie… Debout chienne mains sur la tête, jambes écartées, tête baissée… Comme ça, voila qui est mieux… Dis-moi, pourquoi tu es sanctionnée, Ma petite chienne ? Parle, je te l’autorise.
- Maître, Vous m’aviez défendu de n’émettre aucun son de ma bouche mais je n’y suis pas arrivée. Je vous présente mes excuses pour cela et Vous demande de bien vouloir me sanctionner.
- Oui Ma chienne, je vais te sanctionner car il en est de Mon devoir de Maitre. Tu va donc recevoir 10 coups de martinets et je ne veux évidement pas entendre un son, mise à part pour compter à voix haute et si j’entends un autre son que le chiffre à annoncer, je recommence à zéro. En position :

Le Maître m’infligea la sanction un coup par un coup, lentement, attendant que je sois prête et offerte. J’encaissais sans rien dire, même si les larmes coulaient aucun son ne sortait de ma bouche, je voulais Lui faire honneur ! Quand le dernier coup eut été donné il me fit mettre à genoux …

(A suivre …)

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