La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1213)

Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE) – (suite de l'épisode précédent N°1212) -

Arrivée de Clémence aux pieds du Maître :

- Je … Je … ne le sais pas moi-même Sire, je pense que oui mais j'ai également un peu peur mais je suis aussi assez excitée par cette éventualité …
- Je comprends. Votre unique expérience a été un fiasco total et cela vous rappelle de mauvais souvenirs. Laissez-moi vous montrer que cela peut être un bonheur, un épanouissement total, une plénitude via le plaisir ! Vous ne connaissez que la douleur, et je peux vous faire découvrir le plaisir et l'excitation quand il y a respect et savoir-faire... Je peux vous le démontrer et si cela ne vous plait pas, je vous autoriserai à faire marche arrière et on en parlera plus… Je ne vous en porterai pas rigueur …
- Alors, j'accepte Messire, dit-elle en baissant la tête.
- Bien, alors à partir de maintenant, tu me nommeras Maître.
- Oui Maître, puis je vous poser une question ? Cela change-t-il quelque chose à mes occupations actuelles ?
- Tu continueras à donner des leçons à mon fils, en dehors de ces leçons, tu seras comme les autres nues avec un collier portant Mes nobles initiales, S C E pour Seigneur Charles d'Evans
- Bien Maître, je suis contente de pouvoir continuer les cours avec votre fils.
- Nous commencerons ce même soir que nous sommes, tout à l’heure, Messire Léon viendra te chercher le moment venu.
- Bien Maître, dit-elle quittant la pièce

Clémence se sentait toute étourdie et alla dans sa chambre se reposer Le Seigneur d'Evans lui était ravi, sa mère se trompait ! Clémence ressemble plus à Alix qu'elle ne le pense ! 1 heure après, Messire Léon vient la chercher pour la conduire dans la chambre de Celui qui sera désormais le Maître de sa vie. Quand Messire Léon arriva, elle était en compagnie de Lucie, Manon, Marion et Kate qui lui expliquaient comment se comporter en présence du Maître et la rassuraient.



- Le Seigneur d'Evans vous attend
- Bien, je vous suis … dit-elle un peu nerveuse…

Ils traversent plusieurs couloirs menant aux appartements privés du Maître dans une partie du Château qu'elle ne connaissait pas. La voyant assez tendue, Messire Léon lui dit doucement :

- Ca va aller, un conseil déshabille-toi avant d'entrer, tu gagneras dans Son estime pour toi…
- Merci Messire, comment vous remercier?
- Nous verrons cela plus tard, ne le fait pas attendre…

Clémence un peu hésitante à se mettre nue mais tout en étant paradoxalement décidée, se dévêt et frappe à la porte et entre sur ordre. Quand elle pénétra dans la pièce, le Maître fut agréablement surpris de la voir sans vêtements. Clémence se mettant à genoux, mains dans le dos et tête baissée, elle attendait le bon vouloir du Maître. Le Seigneur d'Evans sentit naître une érection et voudrait la prendre sans tarder mais Il se dit à lui même "du calme ce n'est pas encore Alix, il faut y aller doucement"

- C'est très bien, bon comportement ! Qui te l'a appris?
- Mes compagnes, Vos soumises, Maître, elles m'ont expliqué l'essentiel

Le Maître sourit car tant mieux si elles s'entendent bien toutes les cinq

- C'est ta première fois alors nous irons doucement. Tu peux parler si tu en as besoin. Met-toi debout, les bras le long du corps

Le Châtelain lui mit un collier, une laisse et un bandeau sur les yeux et parcourut son corps de ses mains baladeuses. Il passa sur son entrejambes et vit que cela lui plaisait car l’humidité suintait du sexe de la belle et trahissait une évidente excitation

- Je t'interdis de jouir, petite soumise

Clémence ne put s'empêcher de lui demander

- Maître, je vous demande la permission de m'assoir, j'ai mal aux jambes
- D'accord, mais alors par terre

Le Noble lui mit des attaches aux poignets et les fixa aux barreaux prévus.


- Je ne vais pas te frapper mais juste passer la cravache et le martinet sur ton corps que tu sentes le cuir.

Clémence sentit le cuir de la cravache et les lanières du martinet la caresser furtivement et elle se surprit à penser qu’elle aimerait qu'Il les utilise. Le Noble continue de la caresser ainsi ce qui l’a fait gémir de plaisirs

- Gémis tant que tu veux aujourd'hui, tu en as le droit, mais de jouissance sans Mon autorisation

Le Seigneur d’Evans lui mit alors des pinces aux tétons et un faux sexe masculin en bois dur dans sa chatte trempée de plaisirs…

- A quatre pattes et présente-moi ton joli petit cul de chienne …

Clémence s'exécuta. Le Seigneur d'Evans continua de l'exciter avec le sexe factice en le faisant manœuvrer habillement par des va-et-vient profonds… tout en lui caressant les fesses et l'entrée de son anus où il appuya dessus avec son pouce pour le faire entrer. Ensuite avec de la graisse animale, il graissa le cul de Clémence et enduisit sa verge dressée par l’excitation de la prendre en saillie, alors il s'introduisit dans son anus. Elle cria sur le coup mais avec la délicatesse en de lents va-et-vient du Maître, elle commença à apprécier. Il l'excita ainsi un bon moment. Clémence gémissait de plus en plus et ne put s’empêcher de dire :

- Hum Maître c’est bon ! Encore …
- Monte sur le lit et met-toi en levrette, petite chienne
- Maître, merci d’un tel honneur de pouvoir me mettre sur votre lit…

Le Seigneur d’Evans la baisa ainsi en levrette et bien profond dans sa chatte trempée en lui donnant des claques sur les fesses et en lui tirant une touffe de cheveux en arrière tout en accentuant ses vifs et puissants coups de reins. Elle adorait et se dit en elle-même ‘’ Il fait ça comme un dieu.’’ Au bout d’un long moment, Il se retira :

- Couche-toi sur le dos

Et le Noble la doigta d’abord de façon digne du Maître qu'il est pour ensuite longuement aller jusqu’à la fister totalement.
Tout le poing pénétra le vagin de la belle qui coulait de plaisir, c’était une première pour elle dont elle se souviendrait tellement c’était bon et bien fait par le Maître... Clémence finit par Lui dire, trop excitée :

- Prenez-moi Maître, pitié …
- Demande-le correctement et peut être que j'accepterai
- Je ne connais pas comment faut demander, Maître
- On dit "Baisez-moi, Maître, s'il vous plait"
- Maître de grâce, baissez-moi, s'il vous plait

Le Seigneur d’Evans l'enjamba alors et approcha son visage du sien et sans l'embrasser passa délicatement sa langue sur ses lèvres et la pénétra profondément par de vigoureux coups de boutoirs. Cet accouplement dura de très longues minutes, Ils baisaient comme des bêtes, c’était sauvage, bestial, animal … La virilité du Seigneur était impressionnante et sut largement combler la belle Clémence quand le Maître autorisa enfin :

- Vas-y jouit, maintenant, je te l'ordonne …

Il ne fallut pas lui dire 2 fois, Clémence explosa dans un violant orgasme puissant, ravageur, un vrai séisme qui lui provoquait des décharges électriques remontant sur toute son échine par des spasmes violents que son corps exprimait. Elle n'imaginait pas qu'un tel plaisir jouissif puisse exister et ils jouissent au final de concert quand le Maître lâcha en elle, un flot saccadé de sperme en de longs râles de mâle en rut. Une fois qu’ils eurent repris leur esprit et donc après cette première initiation :

- Merci Maître, je ne pensais pas possible de prendre tant de plaisirs en si peu de temps, dit-elle agenouillée et reconnaissante.

Le Seigneur lui sourit, se leva et alla dans une pièce voisine. Clémence remarqua la cravache sur le bord du lit er sans réfléchir comme poussée par une force invisible, elle baisa le manche orné de la cravache pour se dire :

- J'aimerai toujours cette cravache ...

(A suivre …)

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!