La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1215)

chienne Vénus au Château – (suite de l'épisode précédent N°1214) -

- Alors va la chienne. Va voir Le Maitre et demande lui !, me dit-il l’air bougon …

Comme ordonné par le Châtelain, une fois la matinée passée avec Son ami le Comte de Beusgley, je suis allée le retrouver le Maître. Pour cela, je me suis dirigée dans le bureau de Walter pour savoir où Monsieur le Marquis se trouvait. Le Majordome m’informa qu’Il était toujours dans Son bureau et qu’une fois mon entrevue finie avec le Noble, de venir le voir car il voulait se vider dans un de mes orifices. Je me suis donc hâtée d’aller jusqu’au bureau du Maître. Après avoir frappé et suite à un ‘’Entrer’’ laconique, j’entrai la tête baissée en quadrupédie dans la vaste et luxueuse pièce et me positionna prosternée à Ses pieds et j’attendis qu’Il daigne m’adresser la parole.

- Ma belle, tu ne peux pas t’imaginer comme tu es sublime comme cela offerte à Mon regard Dominant mais bienveillant… Je sais que Mon ami, le Comte, t’a fait sa demande en mariage. Je lui ai dit que si tu acceptais, tu resterais avant tout Ma chienne. A genoux Ma chienne, je veux que tu me regardes…. Voila qui est mieux... Que penses-tu de sa proposition ? Réfléchit bien car j’estime, pour ma part, que pour qu’il y ait mariage, il faut avant tout de l’amour entre deux personnes … Je considère donc sa demande comme une requête d’un autre temps, dans celui de la noblesse française de jadis, où on se mariait plus par intérêt et non par amour … Qu’en penses-tu ?
- Maitre, je ferai selon Vos exigences, c’est Vous le Maitre et quand j’ai rejoint Vos pieds et Votre Cheptel, je Vous ai offert ma vie et tout pouvoir de décision sur celle-ci.
- Je sais Ma belle, je sais bien, mais je veux ton avis réel car c’est une décision importante et sache que jamais je ne te forcerai à accepter si ce n’est pas ton désir, que l’on soit bien d’accord !
- Oui Maitre, en toute honnêteté Maitre adoré, je ne me sens pas encore prête à m’engager dans une vie conjugale car cela implique beaucoup de choses.

Et j’ai l’impression que votre ami ne m’a choisi, en effet, uniquement pour ma lignée de noblesse des Bourbon. Alors que malgré ma soumission, je chercherai plus tard à me marier, mais avec un homme que j’aime et qui m’aime aussi et avec qui je voudrais fonder une famille. Et puis, comme vous l’avez si bien dit, il faut de l’amour pour se marier et je n’aime pas votre ami dans le sens sentimental du terme. Et puis, pour le moment entre Votre dressage et ma société qui grâce à Vous se développe, je ne souhaite pas passer devant le maire tout de suite. Mais j’ai peur que votre ami ne le prenne mal …
- Ma chienne, je te comprends parfaitement ! Approche Ma belle… voila… bien… Jamais, je ne te t’obligerai sur quelque chose dont tu ne serais pas capable et surtout sur ce genre de chose. On n’oblige pas à marier une personne, toute chienne soit-elle dans l’âme, comme autrefois. Le Comte de Beusgley se croit encore dans un autre siècle ! , me dit-il en me caressant et en levant les yeux en l’air pour exprimer que son ami n’a pas compris les évolutions de la société du XXI ème siècle !
- Merci Maitre. Je suis à Votre entièrement disposition et surtout très reconnaissante de me comprendre.
- Te comprendre oui, mais surtout comprendre qu’en 2018, on n’est pas en 1718 ! Oui, 3 siècle de retard, voila comment réagit mon ami, avec 3 siècle de retard !, maugréais-t-il en dodelinant de la tête…. Je vais parler à Beusgley. En attendant, tu peux retourner à tes tâches au Château ...

Comme le Majordome me l’avait ordonné tantôt, je suis donc allée le retrouver dans son bureau, à l’issue de ma conversation avec le Maître. Walter me conduisit donc dans une autre pièce que je ne connaissais pas. De nombreuses chaînes, aux gros maillons, étaient accrochées à des poutres au beau plafond à la française. Elles pendaient un peu de partout. Contre les quatre murs, au total, il y avait une douzaine de croix Saint-André réparties uniformément avec 3 croix par pan de mur.
Cette salle était immense et abondement équipée avec divers accessoires D/s. Au centre de la pièce se trouvait une table de gynécologie et j’eu l’ordre d’y monter dessus, alors que j’étais déjà bien excitée par le contexte et le décorum...

- La chienne, ton dressage aujourd’hui, sera un mélange entre plusieurs choses pour te formater selon les plaisirs de Monsieur le Marquis. Je ne veux pas entendre un bruit, sinon tu seras punie, sache-le… petite chienne bourgeoise.

Le Majordome commença par me dilater mes orifices, vaginal et anal, de ses doigts. Il se mit donc à me fister ma chatte qui réagissait en dégoulinant encore plus car j’étais déjà bien trempée par la perspective de la séance... Au bout d’un moment, les allers et venues en mon vagin s’accentuaient tout en douceur afin de favoriser le passage jusqu’à enfoncer complètement sa main jusqu’au poignet en faisant doucement manœuvrer son bras. Une fois complètement en mon sexe, il se mit à me baiser la chatte de toute sa main accélérant le rythme tout en faisant des mouvements circulaires avec son poing. Je dus retenir mes gémissements. Puis il s’approcha de mon anus et lui fit subir le même sort en me dilatant petit à petit mon petit trou mais cette fois je ne pus pas retenir des, gémissements, des cris tellement le mélange du plaisir et de la douleur anale était vif et devenait de plus en plus jouissif… Quand sans un mot, Walter stoppa totalement ce traitement pour me faire descendre de cette table de gynéco et me placer contre une des croix de Saint-André, le dos face à lui :

- Chienne qu’as-tu à dire ?, réponds la chienne !
- Monsieur Walter, je vous demande de bien vouloir me sanctionner pour ne pas avoir su tenir mes cris alors que vous m’aviez ordonné que je n’émette aucun bruit de ma gueule de chienne. Je n’aurais pas du crier au moment où votre main est entrée dans mon cul de salope.
- Effectivement, petite chienne, tu souhaites devenir une soumise parfaite appartenant à Monsieur le Marquis alors il va falloir que tu apprennes à souffrir en silence.
Tu vas recevoir 25 coups de fouet pour ta désobéissance. A chaque fois que je t’entendrais gémir ou crier, je reprendrai à zéro.

J’avais peur, voire même terrifiée, car le fouet était un des accessoires que j’appréhendais le plus mais que je devais subir pour Le Maitre car j’avais clairement désobéi. Le Majordome commença à me fouetter la peau avec les 5 premiers coups qui restaient supportables mais le 10 ème me fit gémir d’une plainte mélangée de douleur à une excitation qui montait en mon échine. Donc il reprit comme prévenu, à zéro. Cela dura un long moment car à chaque fois, je n’arrivais pas à retenir mes cris, je pleurais mais ce n’était pas pour autant que ce traitement s’arrêtait. Ce fut au bout d’une heure que les 25 coups furent donnés sans qu’aucun son de ma bouche de salope ne sorte, que j’ai pu tenir bon ! Il me fit alors me mettre à quatre pattes et sans préparation, ni un seul mot, il s’enfonça dans mon cul et m’encula durant de longues minutes qui commencèrent par une intromission douce, lente pour enchainer par la suite par de violents coups de reins, me sodomisant jusqu’à la garde, ses couilles frappant mes fesses dans un rythme effréné, sa saillie fut bestiale, profonde. Par moment, il sortait sa verge dressée pour venir me pilonner la chatte sans jamais me donner l’ordre de jouir. Au bout d’un certain moment, alors qu’il me besognait virilement le cul, il se vida dans mes entrailles, resta longtemps en coït anal profond et immobile bien planté dans mon cul. Puis, il se retira et me présenta sa queue pour que je la nettoie avec ma langue, ce que je fis. Je savourais mes sécrétions anales, vaginales et le sperme du Majordome. Et quand j’eus fini, il me trouva une tache à faire : Nettoyer la chambre du Maitre du sol au plafond avec un plug dans mon cul et un gode vibrant dans ma chatte. Ce fut une épreuve pour moi car mon excitation étaient à son comble et de pas pouvoir jouir cela devenais dur à chaque fois que le gode se mettait à vibrer selon les volontés de Walter à manipuler la télécommande du gode.
.. Au bout de quelques heures, le Maitre fit Son entrée dans Sa chambre, pendant que je refaisais Son lit. Il me fit tout arrêter et je m’installais à genoux à Ses pieds et il me retirait simplement le gode trempé de ma chatte pour me le faire lécher et nettoyer. Je m’y appliquais comme s’il s’agissait de Sa propre queue. Une fois le gode net, il le déposa et regarda attentivement mon corps :

- Ma chienne, à quoi correspondent ces marques sur ton corps ?

C’est en fondant en larmes que je Lui répondis :

- Maitre Vénéré, je Vous demande de pardonner mon comportement qui m’a valu des coups de fouet pour ne pas avoir su retenir mes cris pendant que Monsieur Walter me fistait le cul de sa main. Je suis désolée Maitre, vraiment désolée
- Ma chienne, sèche-moi tes larmes. Il me semble que ta sanction est finie donc tu dois savoir que tu es pardonnée Ma douce. Tu es là pour apprendre et sache que je suis fier de toi, Walter m’a tout expliqué. C’est moi qui aie voulu qu’il te pousse dans tes retranchements pour que tu craques. Tu dois, Ma chienne, savoir écouter et obéir à une Exigence et si le silence t’est exigé, tu dois prendre sur toi. Mais tu as su subir comme je voulais ta punition donc maintenant, c’est fini... Passons à autre chose ? me dit-il, en me caressant le visage… Regarde Ma belle, vient soulager Le Maitre avec ta bouche.

Le Noble défit son pantalon et sortit sa queue dressée et de belle taille. Je pris alors Sa noble verge en bouche et me mis à Lui lécher, sucer, aspirer comme Monsieur le Marquis me l’avait appris à faire et j’adorais cela quand Il me laissa la permission de Le sucer car pour moi c’était une gourmandise, un plaisir inouï. Cela durant un bon moment et quand Maitre eu envie de jouir, il s’enfonça plus encore dans ma cavité buccale et se mit vigoureusement à me baiser la bouche comme un simple trou. Et c’est au fond de ma gorge qu’Il m’honora de Sa semence en des jets de sperme épais et chauds que je savourais telle une récompense, Sa récompense… Une fois finie de se déverser dans ma bouche, il m’ordonna comme à chaque fois de Lui nettoyer Son noble Vit. Quand j’eus fini, il me fit placer contre le mur et m’attacha les bras à des anneaux qui étaient accrocher au mur :

- Ma chienne, cette fois c’est moi qui va te marquer de Mon fouet. Mais cette fois-ci, je veux t’entendre gémir, crier et hurler. Je veux que tout Mon Château sache que tu t’offres à Moi et Je veux que tu M’offres ta douleur, ta souffrance, ton plaisir excité et surtout je vais te faire jouir Ma grosse salope, Ma chose, mais sous Mon fouet et de mes mains aussi, Je vais te vider complètement, tu couleras de ton plaisir jouissif, explosif sur le sol jusqu'à la dernière goutte…

Quand Il eut fini Sa phrase, Il prit de Sa bouche possession de la mienne m’embrassant, me mordant mes lèvres comme Il savait si bien le faire ce qui me fit instantanément, déjà, couler de plaisir…

(A suivre …)

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