Faux Jumeaux

Terrasse d’un café parisien dans le 5ème arrondissement, il y a 10 jours.

- Sébastien ? Alex, camping des pins en 2008 ou 2009, tu te souviens ?
- Alex ! Bien sûr je me souviens, comment oublier ! Toujours aussi… enfin tu n’as pas changé. Qu’est-ce que tu fais là ?
- Je vis juste au-dessus, je viens souvent là. Et toi comment vas-tu, qu’est-ce que tu deviens ?
- Je suis marié depuis 5 ans, 2 s. Je travaille à 100 mètres d’ici… C’est dingue. Ça me fait tout drôle de te revoir. Tu m’as l’air en peine forme, donne-moi de tes nouvelles, et d’Alix aussi.

Bon sang Alex, Alex et Alix ! Presque 10 ans déjà. Rien que d’y penser, j’ai un début d’érection.

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Eté 2009, j’ai tout juste 20 ans et je dois partir en camping avec mon meilleur pote. On s’est décidé au dernier moment, il fallait être certain que j’aurai mon permis, et on a eu du mal à trouver de la place sur la côte atlantique, dans les Landes plus précisément. On s’est rabattu sur un camping qui est à 3km de l’océan, mais qui loue des vélos pour rejoindre les plages. Tout est prêt pour le départ, et à la veille de partir mon pote se casse une cheville ! Je décide de partir seul, n’ayant pas envie de rester chez moi, ou pire, de partir en vacances avec mes parents. On s’entend très bien, mais je rêve, je phantasme même depuis des mois de ces vacances en liberté, des super filles qu’on va pouvoir draguer, et même baiser puisqu’elles sont ment toutes très chaudes en vacances non ?

J’arrive au camping en fin d’après-midi, je ne suis pas habitué à les fréquenter, c’est mon pote qui sait comment ça marche. Mais bon, on m’indique un emplacement que je trouve génial, car pas au milieu de caravanes et de tentes de vieux, sauf qu’il est un peu loin de tout… Une fois ma petite tente montée et avant de me changer pour aller vers la zone d’animation, je passe aux sanitaires qui sont à une cinquantaine de mètres, et je comprends ce que m’a dit le gérant : ce bloc n’a pas encore été rénové effectivement, c’est douches collectives ! Il m’avait dit que les autres blocs sont avec cabines séparées, mais que du coup dans celui-là, il n’y avait quasiment personne, ce qui était aussi intéressant.

Effectivement, il n’y a personne. Je me déshabille en commence à me savonner quand j’entends arriver dans le vestiaire un garçon et une fille. Je les vois arriver, tous les deux nus naturellement, et ils commencent à se savonner juste en face de moi. C’est donc douches collectives, et mixtes ! Je suis gêné, mais un peu voyeur aussi. Je me fais la remarque qu’ils bien assortis. Et je remarque qu’ils sont plutôt bronzés, et qu’ils n’ont pas de marque de maillot ! Cela dit moi non plus, mais je suis plutôt couleur lavabo partout… Voilà qui commence bien, je suis en train de prendre une douche avec deux inconnus naturistes en toute simplicité… Ils me regardent tous les deux tout en se douchant, et je les vois s’échanger une sorte d’approbation silencieuse. Le garçon m’interpelle :

- Moi c’est Alexandre, tout le monde m’appelle Alex, et voici Alix, si tu es bien la personne qui a planté sa petite tente rouge par là-bas, nous sommes tes plus proches voisins.
- Oui, la petite tente rouge c’est moi ! Moi c’est Sébastien, tout le monde m’appelle Seb.
- Tu es tout seul ici au camping ?
- Oui, je devais venir avec mon meilleur pote, mais il s’est cassé une cheville hier. J’ai décidé de profiter quand-même de la réservation et de l’océan. C’est sympa ici ? J’espère qu’il n’y a pas que des familles, j’ai quand même un peu peur de m’ennuyer en fait.
- Pas trop de jeunes de notre âge ici, c’est pas à côté de l’océan. Mais on peut vite se faire de bons copains si on a envie. Et je suis sûr que ça ira vite pour toi, les mecs bien roulés ça reste rarement seul bien longtemps.
- …
- Tu veux te joindre à nous ce soir ? On file s’habiller pour aller à la soirée du camping et tu nous retrouves devant notre tente ? Tu peux pas la louper c’est la familiale bleu et vert à 20 mètres de la tienne.
- Super sympa, avec plaisir. Je ne sais pas si je vais rester longtemps, je viens de me taper la route tout seul de puis Lille dans la journée, et je serai content d’aller me coucher ce soir je pense.

- Tu m’étonnes, c’est carrément loin Lille !

On finit de se laver, de se sécher et on repart chacun avec une serviette autour des reins, de la poitrine pour Alix. Ils sont canons tous les deux. Alix est superbe, rien à jeter, visage souriant, poitrine généreuse ce qu’il faut, un ventre plat et des fesses à tomber. En me dirigeant vers ma tente, je suis content d’être en tête car rien que de penser à elle, j’ai un début d’érection qui va commencer à se voir. Et son mec est super bien foutu aussi, l’enfoiré. Je sais que j’ai pas grand-chose à lui envier, sauf sa copine évidemment… Le temps de m’habiller et je repasse les prendre. Ils ne sont pas prêts et je les entends discuter :

- Tu mets pas de soutif petite coquine ?
- Tu sais bien que j’aime faire comme ça. J’ai pas de culotte sous ma robe non plus, ça marque sinon, et puis c’est plus confortable.
- J’ai mis un jock sous mon bermuda, c’est plus agréable quand il fait chaud. Il me moule bien les fesses celui-là tu trouves pas ?
- Il est top, j’aime bien les taille basse chez les mecs, ça moule le cul et porté avec un jock, on peut voir la bande élastique en haut, tout en laissant rentrer un peu dans le cul. Sexy, y’a pas à dire.
- Je te retourne le compliment…

Quand ils sortent, je fais celui qui arrive à l’instant. Mais je ne peux pas m’empêcher de les détailler. Alex porte un débardeur court qui moule sa musculature et qui laisse deviner de beaux abdos, et un bermuda très souple, taille basse, qui montre une jolie bosse devant et un cul bien moulé, c’est bien l’effet attendu. Alix est dans une robe orange, dont le tissu est fin exactement comme il faut pour laisser penser qu’elle ne porte rien en dessous si on fait l’effort de se poser la question, et qui laisse entrevoir un bout de poitrine sur le côté quand elle se penche en avant. En arrivant au bar/restaurant du camping, on s’installe à une table et on discute une bonne partie de la soirée, en regardant les gens autour de nous et en faisant des commentaires.
On se trouve plein de centres d’intérêts communs, c’est vraiment très agréable. Le deux se montrent très avenants et souriants, et je les remercie d’être si ouverts. Pourtant à minuit et demi, je me lève pour les abandonner, ne tenant plus debout après ma journée passée sur la route.

- Je ne tiens plus, je dois aller me coucher, je suis désolé de vous laisser là. Mais je suis sûr que vous n’allez pas vous ennuyer.
- Je vais y aller aussi, je suis fatiguée. Tu peux retrouver te copains Alex, on se retrouve tout à l’heure.
- Pas de soucis, je crois qu’ils m’ont prévu une surprise en plus, j’ai hâte de voir laquelle… A demain Seb !

On se dirige vers nos tentes avec Alix.

- Tu sais Sébastien, Alex n’est pas très intéressé par la plage, il dort tard, et passe une bonne partie de la journée avec ses potes qu’il connait depuis longtemps. Tu ne m’accompagnerais pas demain vers 10h00 pour le premier bain du matin ? Comme ça je te montrerai le chemin des plages, et puis on pourra passer pour te louer un vélo ?
- Pourquoi pas ? Mais tu es sûre que ça ne gêne pas ton copain que je vienne ave toi ? Vous êtes ensemble depuis combien de temps d’ailleurs ?
- On est ensemble depuis 21 ans… Ahahah… Mais ce n’est pas mon copain Alex, c’est mon frère !!!! Tu as cru qu’on était ensemble ? Pas du tout… On est frère et sœur. On est jumeaux même, pas des vrais évidemment, mais jumeaux quand même. C’est pour ça qu’on a aucun secret l’un pour l’autre, on partage tout et on se dit tout… Et Alex te trouve sympa, c’est important pour moi.
- Je comprends mieux que vous fassiez soirée séparée et donc journée séparée demain aussi alors… Super proposition. OK pour 10h00.
- Repose toi bien et prends des forces, tu en auras besoin.

C’est sur ces paroles ambiguës assorties d’un clin d’œil, que je la laisse au bord de sa tente, n’osant pas trop faire le premier pas, et puis je suis trop crevé. Je dors d’ailleurs comme une masse, et je me réveille un peu avant 9h00 en plein forme, … avec une trique d’enfer.
Je passe prendre une douche pour me réveiller, et j’en profite pour me branler vite fait avec un sentiment d’appréhension et d’excitation mêlée, au cas où quelqu’un arriverait se doucher. Je petit-déjeune sur le pouce avec des biscuits et une briquette de jus de fruits et je suis pile à l’heure pour passer prendre Alix. Elle est prête. Elle porte une salopette coupée en short, sans rien dessous, là ça se voit ! Elle est bandante, mais vraiment bandante car quand elle se rapproche de moi pour me faire la bise, je sens que ça me fait de l’effet. Reste au calme mon petit Seb !!!!! On passe me prendre un vélo à l’accueil (gratuit, prend ce qu’il te faut ma petite Alix tu es trop mignonne comme ça lui dit le Monsieur qui s’occupe de la location), et direction la côte. On se fait les 3 kilomètres, mais on ne s’arrête pas à la première plage, on poursuite encore sur 1km avant de s’enfoncer dans la pinède, puis de laisser nos vélos que l’on cadenasse sur un piquet prévu à cet effet. Derrière les dunes, la mer ! Magnifique ! Il est 11h00 et il n’y a personne. On pose nos serviettes et Alix se met toute nue, je m’en doutais vu son bronzage…

- Ici, c’est naturiste ! Tu enlèves ton maillot aussi Seb, et on va se baigner tu vas voir, c’est trop bien !
- Mais je sais pas moi, j’ai peur de ne pas me contrôler…
- On s’en fout ! Moi je m’en fous ! Une petite érection sur une plage naturiste, c’est courant tu sais, et puis ça passe tout seul. Allez, viens !

Bon, je me dégonfle pas, je pose le short de bain et je cours vers les vagues. C’est un peu froid, mais je bande déjà comme un âne et je mets de l’eau au-dessus de la taille. Alix arrive derrière, et elle se colle contre moi. Je sens sa poitrine contre mon dos, son pubis contre mes fesses, elle me pose un baiser dans le cou et ses mains s’emparent de ma bite dressée dans l’eau.

- J’étais certaine que ça passerait pas tout seul…
- Et là encore moins, c’est sûr.
- Tu m’as plu tout de suite quand je t’ai vu sous les douches. Tu es bien musclé, j’adore les mecs musclés. Et tu as des fossettes dans le bas du dos, comme Alex et moi. Et puis, j’ai trouvé que tu semblais avoir un bel objet dont il faudrait prendre soin…
- Moi aussi j’ai kiffé sur toi, et j’ai tellement été rassuré de savoir que vous n’étiez pas ensemble Alex et toi.

Sa main gauche est sur ma poitrine, et la droite continue de me caresser l’entre jambe, passant du ventre aux couilles et des couilles à la bite. Je me retourne pour l’embrasser, et mes mains la caressent aussi. On décide de retourner sur la plage. Je remonte vers ma serviette la bite tendue, oscillant au gré de mes enjambées. Je m’allonge d’abord, et Alix se positionne tête-bêche :

- On n’a qu’à se mettre sur le côté avec une jambe relevée. Tu jettes un œil de ce côté, et moi de l’autre, comme ça si on voit quelqu’un arriver, on pourra s’arrêter. Il ne faut pas aller trop loin sur cette plage qui est fréquentée aussi par des familles.

On part tout de suite dans un 69 d’enfer. Mon expérience des filles est limitée, mais Alix est très réactive. Elle adore que je m’occupe d’elle avec ma langue, et j’avoue que j’adore ça aussi. Concentrée sur son plaisir, elle en délaisse ma queue, et ça m’arrange car je suis sûr de me lâcher très vite si sa bouche continue de s’occuper de moi. Alix jouit bruyamment, je sens son corps trembler sous les caresses de ma langue. Elle reprend ses esprits et se met à me sucer. Jamais je n’ai ressenti ça. Elle a une main plantée dans mes fesses qu’elle malaxe, et l’autre me tient les couilles et la bite. Je lui signifie que je vais jouir au bout de 5 minutes, mais elle reste bien en place, et je lui remplis la gorge de 5 ou 6 longues giclées de jus, qu’elle avale sans problème. Elle se repositionne face à moi, et vient m’embrasser, je me retrouve avec mon jus dans la bouche, mais accompagné de la langue d’Alix, je n’ai jamais rien goûté d’aussi bon ! On continue de s’embrasser et de se caresser un moment, mais on entend bientôt au loin des personnes qui arrivent, et on décide d’aller se calmer dans l’eau. En revenant on se sèche, et vient le moment où il faut se mettre de la crème solaire, surtout pour moi avec ma peau toute blanche. Alix s’en charge et prend soin de ne pas oublier 1 centimètre de ma peau, y compris ceux qui semblent bien cachés entre les cuisses et entre les fesses. Je bande à nouveau, et ça ne s’arrange pas quand je dois à mon tour lui enduire le corps et la caresser.

- Tu as de la chance que nos plus proches voisins soient relativement loin, tu vas pouvoir te branler en te mettant sur le côté.
- Ça me gêne, tu veux pas m’aider ?
- Vas-y tout seul, si je me rapproche, ça se remarquera trop. Mais tu restes face à moi, je veux te voir faire.
- Tu veux que je me branle en te regardant ?
- Oui, j’en ai envie, ça me ferait plaisir. Tu sais, j’ai l’habitude avec Alex.
- Alex se branle devant toi ?
- Oui, et même plus des fois… J’aime le voir faire l’amour, et il ramène régulièrement des copains dans son lit. On l’a jamais fait ensemble je te rassure, mais il nous est arrivé de faire les voyeurs, c’est très excitant.
- Alex est gay ?
- Je dirais plutôt bi, mais majoritairement gay oui. De ce que disent ses partenaires, il suce très bien et est très endurant quand c’est lui qui pilonne. Mais il aime se faire enculer aussi, je peux te dire qu’il jouit de ce côté aussi, je l’ai moi-même vu plusieurs fois prendre un pied inimaginable. Tu n’as jamais essayé ?
- Ni dans un sens ni dans l’autre.
- J’avoue que moi j’ai essayé, mais ça n’est pas mon truc plus que ça, mais Alex me dit que chez les mecs, c’est impossible de pas aimer à cause de votre prostate. Vous pouvez jouir sans même toucher à votre bite…

Tout ça m’a en fait excité au plus haut point, et comme je continuais à me masturber tout en parlant avec Alix, je ne tarde pas à éjaculer à nouveau, pour mon plus grand soulagement.

- J’adore voir les mecs jouir, et toi tu m’as bien regardé dans les yeux, c’est ce que j’aime quand on me fait l’amour. On va pouvoir tester ce soir sous ma tente ?
- Toute la nuit si tu veux… Mais Alex sera là ?
- Quand il rentre, c’est plutôt au petit matin, et puis si c’est plus tôt, ça ne le gênera pas. Il m’a dit hier soir qu’il te trouvait top, et que j’avais intérêt à bien m’occuper de toi si je ne voulais pas qu’il t’initie aux plaisirs de la bite !
- Franchement, il est très beau, et c’est vrai que si j’étais gay, il serait mon genre de mecs, mais je préfère les filles.
- Je peux te dire que j’ai quelques ex qui ont essayé avec lui pourtant. Je n’en ai pas eu tant que ça, donc c’est facile à compter : la moitié s’est laissé sucé, et ensuite la moitié de cette moitié a baisé avec lui. Il sait y faire. Et moi ça ne me dérange pas. Je lui ai aussi piqué un ou deux gars d’ailleurs. Ça te choque ?
- Un peu. Mais j’avoue que si tout le monde y trouve son compte…

On passe ainsi l’après-midi à bronzer, en n’oubliant pas de me retartiner de crème régulièrement, sans que cette fois ça me fasse (trop) réagir. Cette fois, on dîne avec Alex et 3 de ses copains, tous aussi beaux les uns que les autres, et tous gays… Mais vers 11h00, on repart vers nos tentes. Alex nous lance un « Amusez vous bien ! », et on les quitte en se tenant par la main. Après être repassés d’abord sous les douches où on a pu commencer à se toucher et à s’exciter, on a baisé comme des dingues sous sa tente… J’ai entendu Alex arriver au milieu de la nuit. Seulement 3 mètres séparent nos zones de couchage, et Alex et Alix laissent les séparations ouvertes. Je suis à poil allongés à côté d’Alix, et je sais qu’Alex a pu me voir, mais je n’ai qu’une envie, c’est de me rendormir, et puis j’ai commencé à m’habi à rester à poil dans la journée. Quand j’ouvre un œil vers 9h30, je peux admirer Alix qui dort contre moi, je peux aussi sentir son corps chaud contre le mien et je commence à bander. J’aperçois aussi Alex, complètement nu, en train de dormir sur le dos, une jambe légèrement repliée, avec sa bite au repos qui remonte sur son ventre. Je continue à somnoler un peu, mais à bander dur aussi… Une main d’Alix touche mon sexe quand elle se retourne, et au bout d’un moment, elle commence à me caresser tout doucement. Une goutte perle bientôt au bout de ma queue et tombe sur la main d’Alix qui ne peut plus douter que je suis bien en forme. Elle vient bientôt me sucer. On fait doucement pour ne pas réveiller Alex, et puis dans un camping on essaie de rester discret de toute façon. Alix me taille une bonne pipe, au réveil, c’est ce qu’on fait de mieux ! Mais bientôt elle vient se placer à califourchon sur moi et vient s’empaler sur mon gourdin. Mes yeux passent de son corps de déesse à Alex qui est sur le côté. C’est sûr qu’on l’a un peu réveillé malgré notre attention, je vois sa bite bien raide, et bien longue aussi, et je vois qu’il ouvre un œil de temps en temps. Ça m’excite encore plus de baiser devant quelqu’un…

Après avoir joui tous les deux avec Alix, on part prendre une douche et on file sous ma tente prendre de quoi manger avant de repartir à la plage. Vu le nombre de fois où j’ai joui durant les dernières 24h, je reste relativement sage pendant la journée. On enchaîne comme ça deux ou trois jours, pendant lesquels on se retrouve aussi avec Alex et ses copains, mais aussi quelques autres jeunes de notre âge. On est tous nus sur la plage, des couples se sont souvent formés, garçon-fille ou garçon-garçon, et on voit ment de temps en temps une érection qui arrive sans crier gare, et qui fait bien rigoler le reste du groupe. Parfois, un couple s’éloigne dans les dunes, et on peut même remarquer que quand les amants reviennent avant d’aller dans les vagues, on peut voir du sperme sur les cuisses de celui ou de celle qui s’est fait baisé, la bite de son compagnon luisant encore, ou parfois avec du sable collé. Je ne connaissais pas tout ça il y a encore quelques jours, mais je me suis fait très vite à cette liberté impudique et parfois un peu libertine, je suis même assez fier de mon corps qui commence à être intégralement bronzé. Alix m’a convaincu de ma raser le corps, comme le font une bonne partie des naturistes que l’on croise, et j’aime ça.

Le soir, on se retrouve pour discuter, boire un verre et danser, avant de regagner nos tentes pour des activités nocturnes… Une nuit, alors que l’on s’est à peine arrêtés de baiser avec Alix et que l’on commence à s’endormir, Alex arrive dans la tente avec un de ses amis.

- Alix, tu dors ?
- Non, mais ça va pas tarder…
- Jean a dû laisser sa tente à sa sœur qui est arrivée tout à l’heure, et comme le tente de Seb est déjà prise (je l’ai laissée à un couple d’amis d’Alex…) on vient dormir là OK ?
- Bien sûr OK…

Au petit matin, je suis réveillé par des bruits discrets, mais qui ne laissent pas de doute : les deux gars d’en face sont en train de baiser ! J’ouvre les yeux tout doucement, et je vois Jean les jambes relevées en train de se faire bouffer le cul par Alex… Il gémit de plaisir sous les coups de langue d’Alex qui semble aussi lui introduire un ou deux doigts dans le cul. Jamais je n’avais vu ça de ma vie, et loin de me dégoûter, ça me fait bander grave ! Bientôt, je vois la belle queue d’Alex qui s’enfonce dans le cul de Jean, qui a de plus en plus de mal à retenir ses gémissements. Alix s’est réveillée aussi, elle sent ma bite bien dure et mouillée entre ses deux fesses.

- Vous pouvez être fiers de vous les gars, vous m’avez réveillée et je suis toute excitée de vous voir baiser. Quant à Seb, je vous dis pas dans quel état il est, il doit avoir un côté bi c’est pas possible autrement ! Tu peux y aller Seb, j’ai vraiment envie de toi là…

Jean et Alix sont tous les deux positionnés sur le côté, face à face avec 2 à 3 mètres qui les séparent. Alex et moi sommes collés derrière eux, ma bite coulisse déjà dans la chatte d’Alix, pendant que celle d’Alex coulisse dans le cul de Jean. Maintenant que les choses sont claires, chacun peut s’exprimer sans retenue. Alex embrasse Jean dans le cou, et continue à l’enculer tout en le masturbant. De mon côté, ma main droite qui passe sous Alix peut lui exciter le clitoris, tandis que la gauche s’occupe de sa poitrine. L’ambiance est à l’orgie romaine, même si chacun reste de son côté. Je crois que c’est Jean qui éjacule le premier, provocant des contractions de son anus qui entrainent Alex à le remplir, tandis que cette vision de folie me fait jouir à mon tour, plus vite que ce que j’aurais souhaité.

- Seb tu vas trop vite, tu aurais pu attendre un peu. Il va falloir finir le boulot avec ta langue là !

Je ne réfléchis même pas, ni à ce que me demande Alix (et puis mon foutre, je l’ai déjà bien goûté dans la bouche d’Alix), ni à la présence de Jean et Alex. Je viens m’accroupir entre ses jambes, et ma langue viens finir de la faire jouir, alors que ma bouche et une partie de mon visage sont pleins de mon propre sperme que j’avale comme je peux. Je suis concentré à ma tâche, mais je ne peux pas m’empêcher de penser à mon cul bien tendu vers mes voisins gays, et je crois que c’est cette pensée qui me fait reprendre de la vigueur. Quand je parle d’orgie romaine… D’ailleurs, dès que je me relève, Alex me dit :

- Avec Jean, on était à deux doigts de te prendre tellement la vision de ton cul et de ton service trois pièce qui pend si bien en forme nous a fait envie !

Je ne sais pas quoi répondre, mais je me sens rougir comme un puceau (en même temps, je suis bien puceau de ce côté-là…) ! Profitant de ma confusion, Alex vient me prendre la bite dans sa bouche et je le laisse faire : les corps nus d’Alex et de ses potes, bronzés et musclés sur la plage m’excitent depuis des jours, à chaque fois que l’on joue dans les vagues et que nos corps et nos bites se touchent, je sens l’érection qui arrive. J’ai de plus en plus de mal à le cacher, je m’en sors en disant que c’est l’envie d’Alix qui me fait bander, mais je sais bien que, pour ma plus grande confusion, c’est bien l’envie d’un autre gars, et plus spécialement l’envie d’Alex, qui hante mes pensées. Je vois Alix qui me regarde me faire sucer par son frère, elle a un large sourire. La bouche d’Alex et sa langue s’activent déjà depuis un bon moment (bon sang qu’il suce bien !), et c’est quand je sens que ses mains me tripotent les fesses et que ses doigts s’attardent à l’entrée de mon petit trou que je lâche enfin ma purée dans sa gorge. Tout s’arrête avant qu’il ne puisse aller plus loin.

La vie a pourtant repris son cours normal après cette épisode digne d’un bon porno bi. Mais deux jours plus tard, Alix me dit qu’elle doit s’absenter 2 jours pour les essayages de la robe de mariée de sa cousine dont elle est le témoin. Je dois rester seul avec Alex. Alix part le matin.

- Soyez sages tous les deux ! Alex, je te le confie, il a interdiction de regarder une autre fille. Je suis certaine que tu vas le surveiller de près !

Dès l’après-midi, je me retrouve avec Alex et notre bande de potes sur la plage. Tout l’après-midi, Alex n’a de cesse de me frôler, de me toucher, de me regarder. Pendant une baignade, il arrive derrière moi et me ceinture pour me faire tomber à l’eau, mais il en profite pour se frotter contre moi, je sens sa queue collée à mes fesses, et il en profite pour tâter ma bite, qui se durcit instantanément à son contact. Pendant la soirée, il se place à côté de moi, il vient coller sa jambe nue contre la mienne, et quand on va danser, il est systématiquement contre moi. Bref, il me chauffe, et ça marche ! J’ai une bosse dans mon bermuda qu’il ne peut que remarquer. Quand on décide de retourner à la tente, il me dit que vu ce que l’on a transpiré sur la piste, on ferait mieux de prendre une bonne douche. Je sais ce qui va arriver, mais je le suis, j’ai trop envie de me faire sucer à nouveau. On est seuls aux sanitaires, on se déshabille, et je me mets à bander instantanément ! Alex aussi bande tout de suite. Il vient m’embrasser, et je lui rends son baiser. Nos langues se mêlent pendant au moins 10 minutes. Je suis complètement obsédé par mon envie de baiser qui n’a fait que monter toute la journée, par sa pipe l’autre soir devant Alix, et par le souvenir de Jean qui se fait lécher le cul et enculer. Alex me demande de le savonner, il m’incite à insister sur sa bite et son anus dans lequel il me dit d’y mettre un doigt. Il fait pareil avec moi, et je jouis une première fois, rien que d’avoir ma bite contre son corps quand on s’embrasse, et de sentir un doigt dans mon cul qui vient titiller ma prostate. Mon envie de me faire sucer laisse très clairement la place à une envie de me faire enculer, il faut absolument que j’essaye avec Alex !

On file finalement sous la tente, et il me positionne comme Jean la nuit où tout a commencé : je suis sur le dos les jambes en l’air, et il commence à me lécher l’anus, et à pousser sa langue dans mon petit trou vierge, qui a juste été assoupli par un de ses doigts il y a 10 minutes de ça. Je prends un pied d’enfer, jamais je n’avais ressenti un tel plaisir. Il m’assouplit mon anus en y mettant un doigt, puis 2, et finalement trois au bout d’une bonne ½ heure de ce traitement. Il vient finalement présenter sa bite, je sens son gland qui veut entrer, sur ses conseils je pousse un peu pour le laisser s’engager sans trop de peine. La douleur laisse très vite place à un sentiment de gêne d’être rempli par ce côté, puis la gêne laisse place à un nouveau plaisir quand il commence ses mouvements de va et vient. Mon sexe avait ramolli pendant la pénétration, mais il reprend vite de la vigueur quand le plaisir monte ! Alex me finit en levrette, et au bout d’à peine 10 minutes de traitement sauvage, je jouis sous moi sans avoir à me toucher. Alex me suit dans la minute, et on s’endort au final blottis l’un contre l’autre.

Je me réveille vers 9h00. J’ai le cul un peu douloureux, et aussi poisseux, c’est à la fois gênant et excitant. Passage sous la douche obligatoire. On passe une bonne journée. J’ai l’impression que tout le monde se rend compte que je me suis fait sodomiser, Alex n’en est visiblement pas au premier mec de sa sœur qu’il ouvre à la bisexualité… Le soir, on ne s’attarde pas avec les copains, on a trop hâte de remettre ça, sachant qu’Alix doit rentrer le lendemain matin. Cette fois c’est moi qui commence à l’enculer en levrette. Je n’avais jamais pratiqué auparavant, et les sensations de coulisser dans ce trou bien plus serré qu’un minou m’excitent énormément, et je lui lâche de belles giclées dans le fion assez vite. Alex a compris que j’adorais me faire bouffer le cul, aussi il recommence avant de se positionner sur le dos, me demandant de venir m’empaler sur lui. C’est délicieusement déviant d’être actif pour se faire baiser, il faut assumer pour apprécier, ce que je fais en essayant de limiter mes gémissements de plaisir. Tout en m’agitant le long du manche d’Alex, je me dis que jamais je n’aurais pu imaginer 10 jours avant que j’aimerai me faire enculer, que jamais je n’aurais pu imaginer le plaisir que ça provoque, et de ressentir le besoin impérieux de se faire pilonner par un gars. Et pourtant, je suis certain que mon envie de baiser avec une fille est intact. C’est quand-même un peu bouleversant tout ça.

C’est sur ses pensées et en pleine action qu’Alix débarque, toute contente d’avoir pu avancer son retour. Elle n’est pas déçue du voyage ! Je sais qu’elle a l’habitude de ce genre de spectacle, et en plus elle aime ça. Pendant qu’Alex continue de m’enculer et que je dois aussi me trémousser comme une chienne en chaleur sur son pieux, elle regarde partout, elle vient me toucher, me branler, m’écarter encore plus les fesses pour voir la bite de son frère coulisser dans mon cul.

- Tu n’as pas intérêt à jouir trop fort Seb, je suis rentrée exprès pour qu’on puisse faire l’amour et j’espère que tu me gardes de la vigueur et du jus !

Alex se lâche finalement au plus profond de moi, je sens son foutre qui envahit mes intestins, et je retombe sur lui. On reste comme ça quelques minutes, le temps de reprendre notre souffle et le temps pour sa bite de ramollir et de ressortir de mon fion. On échange un baiser, et je rejoins Alix qui m’attend de son côté de la tente, tandis qu’Alex part prendre une douche et nous signifie qu’il va voir ses copains. Je suis vite rassuré : mon envie de faire l’amour à Alix est effectivement intact, et on commence nos ébats par un 69 passionné : bouffer du minou, je crois que ça ne peut pas laisser indifférent ! Après avoir bien baisé (ouf, j’en avais encore l’énergie), je veux aller prendre une douche, car je sens bien que j’ai le cul qui coule, mais Alix veut que l’on s’endorme chacun plein de foutre, moi le cul plein de celui de son frère et elle sa chatte pleine du mien. Le lendemain au réveil Alix me questionne :

- Alors, tu préfères les filles ou les mecs ? Ça t’a quand même bien plu de te faire enculer non ?
- Oui, j’ai aimé ça, et je ne regrette pas d’avoir essayé. Mais je crois que je préfère les filles. Evidemment, l’idéal serait de pouvoir se faire un petit extra avec un mec de temps en temps…
- Il nous reste quelques jours pour faire comme ça non ?

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Après mes deux semaines de camping, j’ai repris mes études très vite, avec 1 an aux Etats-Unis, je ne les ai jamais revus. En Californie, j’ai eu l’occasion quelques fois de baiser avec des mecs, mais à mon retour en France je suis très vite tombé amoureux de celle qui allait devenir ma femme et j’ai arrêté. Jusqu’à maintenant… Parce que maintenant qu’Alex est devant moi, je ressens comme une furieuse envie !
- Tu veux venir voir ou j’habite ? Tu as un moment j’espère ?

Je lui fais un grand sourire.
- Je ne déclinerais ton invitation pour rien au monde !

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