La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1217)

Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE) – (suite de l'épisode précédent N°1216) -

L'arrivée d'Amélie :

Le lendemain, la dénommée Amélie arriva au Château. C'était une jolie fille d'environ 25 ans, mince, cheveux châtain clair et un visage d'ange. Le genre de fille qui inspire confiance. Peu de temps avant son arrivée, le Seigneur d'Evans avait fait venir Lucie dans son cabinet de travail.

- Maître, vous m'avez fait appeler ?, dit-elle se mettant à genoux, mains dans le dos et tête baissée

Lucie redoutait cet instant car elle savait que le Maître allait la sanctionner car elle avait commis une faute. En effet, elle n’avait pas avalé le sperme du Maître lors de la dernière prise de possession de sa bouche par le Seigneur d’Evans, prétextant qu’elle avait des nausées causées par un petit état de fatigue. Ce qui était la plus stricte vérité… Le Maître lui avait dit alors d’aller se reposer et qu’il la sanctionnerait plus tard. Le moment était donc venu :

- Tu sais pourquoi tu es ici, chienne?
- Oui Maître
- Rappelle-moi ce pourquoi !
- Je n’ai pas avalé Votre noble Semence lors de la prise de possession de ma bouche par Votre noble Vit. Je vous supplie de sanctionner ma maladresse et mon manquement à cette règle incontournable que vous exigez.
- Bien sûr que tu vas être sanctionnée, ici même et maintenant. Va dans ce meuble, me chercher Ma cravache.

Le Seigneur d'Evans alla s'installer dans son fauteuil.

- Viens sur mes genoux, petite salope, comme lors de ta dernière punition …

Couchée sur le ventre, le corps de la belle portait perpendiculairement sur les deux cuisses du Maître, la tête en avant ainsi que les cheveux penchant dans le vide, elle sentit la main du Noble pétrir ses fesses blanches qui n’allaient pas tarder à rougir. La main du Maître lui pétrissait le cul avant de le frapper.

Il alternait entre caresses baladeuses, malaxage dans le mou de fesses, fouillage du sexe de la belle avec Ses doigts…, masturbation de son anus, du clito et des lèvres intimes. Et soudain, la première claque vola sur la fesse droite, sèche et violente puis une autre fusa sur l’autre fesse, et encore une et ainsi de suite, le tout dans une volée de fesses claquantes et cadencées. Au bout d’un moment, les fessées ralentirent pour s’espacer … Lucie subissait alors en silence, tout en étant très excitée par ce traitement, attendant la claque suivante … Et puis, au lieu d’une claque attendue, une douce caresse sur son cul meurtri se fit sentir… Lucie avait les yeux et le sexe dans le même état d’humidité autant que de bonheur. A croire que cette punition ne fut en réalité qu’un pur moment de plaisir de soumission…

Lucie, couchée en travers les genoux du Maître sentit sous son vente une pression, celle du sexe en érection de Celui qu'elle nommait secrètement ‘son’ Seigneur adoré… Le Seigneur d'Evans l’a fit alors se relever, se mettre à quatre pattes et passant derrière elle, il lui empoigna une grosse touffe de cheveux pour lui relever la tête en arrière, puis il l’a pénétra d’un coup de reins puissant dans ce sexe trempé, aux lèvres intimes gonflées et gorgées de désirs. Il la pilonna alors très fort en des va-et-vient tantôt rapides tantôt lents de sa grosse verge gorgée de sa semence qui ne tarda pas d’exploser dans cet orifice chaud et humide. En éjaculant de puissants jets de sperme, il entendit Lucie gémir de plaisir car son désir de jouir était extrême. Mais il ne lui donna pas l'autorisation de jouir aujourd'hui car seul Son plaisir à Lui importait. Après tout, il s'agissait d'une punition qui, de fait, interdisait toute jouissance. Il resta un long moment planté en elle, bien profond et immobile avant de se retirer et vint se placer devant Lucie qui mit toute la force de sa volonté et de sa dévotion au Maître pour se retenir encore de ne pas jouir.


- Bien, te voici pardonnée… Mais ne recommence plus car la prochaine fois, la punition sera beaucoup moins savoureuse pour toi… Nettoie-moi, salope et ensuite, tu te placeras à quatre pattes à Mes pieds afin que je puisse étendre Mes jambes. Tu vas Me faire un excellent repose-pieds…

Lucie, de sa langue tendue, nettoya le noble Membre du Maître avec application et douceur. Quand elle eut fini, elle se prosterna devant le Seigneur d'Evans en le remerciant humblement d'avoir pris le temps de corriger sa maladroite faute et se plaça de façon qu'il puisse étendre ses jambes se servant d'elle donc comme d'un repose-pieds… Quelques minutes plus tard, Messire Léon arriva et annonça :

- Sire, Votre nouvelle chienne, Amélie, est là…
- Lucie à genoux à côté de moi… Bien, fait là entrer.

Amélie pénétra dans la pièce tout en baissant la tête et se mit de suite à genoux devant le Seigneur et lui dit spontanément, sans tarder :

- Maître, merci de m'accorder une place à Votre service, je vous suis toute dévouée.
- Qui t’a autorisée à parler ? Personne à ce que je sache …
- …
- Bien, je passe l’éponge pour cette fois, car tu es nouvelle et tu dois apprendre… Mais saches que je n’accepterai plus ce genre d’entorse à Mon règlement… Par ailleurs, je te présente une de Mes chiennes et qui sera ta compagne de soumission, Lucie ou chienne Lucie…

Lucie leva les yeux vers le Maître, signe qu'elle demandait la parole. Il lui fit un signe de tête, signifiant qu’elle était autorisée à parler :

- Sois la bienvenue de ce Château, Demeure du plus Grand Maître qui soit, le Seigneur Charles d'Evans.
- Merci, balbutia la nouvelle soumise, remise à sa place par le ton d’autorité du Noble
- Messire Léon, emmène ces deux chiennes à la cuisine, qu'elles aident les autres pour le repas de ce soir que je veux luxueux et envoie-moi, Clémence, j'ai à lui parler.
- Tout de suite, Monseigneur.
..

Léon attacha une laisse à chacune et par un petit coup, les fit avancer et les emmena dans les cuisines ou Manon et Marion étaient occupées à nettoyer et éplucher des légumes. Céline, la brave cuisinière s'activait aux fourneaux. Arrivant, Lucie alla directement rejoindre les deux autres et prit place à leur côté.

- Céline, je te présente la nouvelle chienne du Seigneur d'Evans, Amélie déjà partiellement éduquée mais qui doit apprendre à ne pas parler sans y être autorisée devant le Maître... annonça Léon.
- Bien, merci Messire Léon, (puis s'adressant à Amélie), toi la nouvelle, rend toi donc utile, attise ce feu et s’il s'éteint, tu seras châtiée...

Céline ne punissait jamais elle-même les fautives car avant d'entrer au service du Seigneur d'Evans, sa vie avec son mari défunt n'avait pas été facile. Il l’a battait elle et leur fille était d'un naturel généreux… Elle respectait les règles du Château voulant que toutes fautes soient sanctionnées mais s'en remettait à Messire Léon ou tout autre Dominant (chevaliers) disponible... Elle n’avait pas l’âme à dominer… mais voulait simplement que les règles établies soient respectées…

- Ou sont les deux autres ? demanda Messire Léon
- Je les ai envoyé dresser la table dans la grande salle à manger.
- Bien, merci …ha ! J'oubliais, le Seigneur d'Evans veut un repas somptueux, il reçoit ce soir
- Oui bien sûr, je suis au courant déjà et tout est prévu...

Messire Léon quitta la pièce et se rendit dans la salle à manger où il trouva Kate et Clémence appliquées à décorer la table pour le repas du soir. Quand elles le virent arriver, elles se mirent immédiatement à genoux.

- Où en êtes-vous des préparatifs de la salle ?
- Nous avons pratiquement terminé, Messire, répondit Kate
- Bien, tu termineras seule … Clémence, le Seigneur d'Evans veut te voir …

Clémence s'avança vers Léon, celui-ci lui mit sa laisse et l'emmena auprès du Maître.
Elle alla jusqu'à Lui et se mit aussitôt en position agenouillée, humblement

- Regarde-Moi, Ma chienne

Clémence leva les yeux et le Seigneur vit des larmes couler

- Mais, qu'est-ce que tu as ?
- Maître, je ne sais quelle faute j'ai commise, mais je vous présente toutes mes excuses
- Tu n'as commis aucune faute ! Pourquoi penses-tu que tu as fauté ?
- Quand Messire Léon a dit que vous vouliez me voir, j'ai cru que s'était pour me réprimander
- Pas du tout, j'ai juste à te parler

Clémence se détendit alors et elle écouta le Maître.

- J'ai invité ta mère à souper ce soir. Tu te joindras à nous mais en tant qu’invitée et tu pourras, en fin de soirée, lui annoncer ce que tu es devenue…
- Merci Maître, ce sera un honneur de partager Votre repas et une joie de revoir ma mère
- Très bien… Allons, va t'apprêter, Ma belle chienne, fait-moi honneur, ce soir
- Oui Maître…

Clémence quitta la pièce et alla se préparer pour le repas du soir qui approchait. Elle n'avait pas beaucoup de temps. Vers la fin de la journée, elle retrouva le Maître et ses fils pour accueillir Madame de Maisondieu. Clémence ne pu se retenir et descendit les marches à la rencontre de sa mère et l'enlaça fortement.

- Ma fille, je suis si heureuse de te revoir, dit-elle l'embrassant à son tour

Puis toutes deux, tout sourire, rejoignirent le Seigneur et ses fils

- Soyez-la bienvenue, Madame
- Merci, Monseigneur, pour votre aimable invitation
- Je vous en prie … Venez, dit-il, en lui offrant son bras

Ronan en fit de même avec Clémence et tous se rendirent dans la grande salle à manger. A la fin du repas, le Seigneur d’Evans intima :

- Enguerrand, terminez votre partie d'échecs et allez-vous coucher…. Madame, Mademoiselle, voulez-vous m'accompagner au salon ?
- Volontiers, Monseigneur

Une fois installé, le Noble prit la parole :

- Madame, Clémence et Moi-même, avons une nouvelle à vous apprendre. Mais je vais laisser à Clémence le privilège de vous l'annoncer.
- Mère, je sais que cela va vous surprendre mais c'est un choix libre et réfléchi …

Elle s’arrêta de parler quelques secondes en enlevant le foulard qui cachait son cou et en même temps son collier :

- … Voila, je suis désormais soumise au Seigneur d'Evans qui est désormais le Maître absolu et que je sers et à qui j'ai donné mon entière confiance et ma vie
.
Eléonore de Maisondieu était surprise car en effet, elle n'aurait jamais imaginé Clémence soumise. Mais des larmes emplirent ses yeux de bonnes émotions car pour elle, c’était le meilleur parti à prendre que ses 2 filles soient sous la protection la plus absolue du Seigneur

- Messire, mes deux filles à votre service ! Quel honneur pour moi...
- Madame, je vous en prie, je n'accorde rien qui ne soit mérité et elles le méritent toutes les deux, sachez-le…

La soirée se poursuivit calmement dans une parfaite ambiance de convivialité, jusqu'au départ d'Eléonore de Maisondieu…

(A suivre …)

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