La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1218)

Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE) – (suite de l'épisode précédent N°1217) -

Ronan et Clémence :

Cette nuit-là, le Seigneur d'Evans décida de dormir seul. Mais ce ne fut pas le cas de Ronan qui ordonna à Clémence de l'accompagner dans sa chambre. Une fois arrivée, elle enleva ses vêtements et se mit a genoux au centre de la chambre, Ronan le regardait et la trouvait magnifique. Clémence le regarda pour demander silencieusement la parole.

- Tu peux parler, je sais que mon père l'interdit mais pas moi.

En vérité, c'était plutôt juste à elle qui ne l'interdisait pas car il commençait à tomber amoureux de la belle Clémence.

- Messire, n'ayant servi jusqu'à présent que votre père, j'ignore si je dois vous nommer Maître, également.
- Fait comme tu veux, Messire ou Maître, c'est pareil
- Bien... Maître Ronan
- Maître Ronan ? Voila qui me plait ! Ce sera donc ainsi que tu me nommeras quand je te soumettrais…

Clémence baissa la tête pour accepter. Ronan était jeune, fougueux et amoureux et sans tarder il la fit remettre debout puis la plaquant au mur l'embrassa d'un long baissé dominant auquel elle répondit avec un bonheur immense. Tout en l'embrassant ses mains parcouraient son corps savourant la douceur de sa peau et la chaleur de son excitation et il se surprit à se dire qu'elle se sentait si bien. Cela la conforta encore plus dans le fait qu'elle avait pris la bonne décision. Tandis que ses nombreux baisers couvraient le cou, la nuque, le haut de la poitrine de la belle, Ronan passa sa main entre ses cuisses, elle était trempée d'excitation. Elle est prête, se dit-il, et il inséra un doigt dans le vagin très humide de Clémence, puis deux avec des mouvements de va-et-vient tout en titillant son clitoris déjà gonflé, tout en l’embrassant désormais à pleine bouche, mélangeant les deux langues, il prenait possession de sa cavité buccale mais aussi vaginale par ses doigts inquisiteurs.

Au bout d’un moment, Ronan retira ses doigts, qu'il lui fit lécher, en lui disant :

- Goûte ta bonne mouille, ma chienne

Se souvenant qu'elle avait l'autorisation de parler, elle répondit toute excitée de désirs à la fornication :

- Mmmmm, je l'aime et surtout sur vos doigts, Maître Ronan
- Aide-moi à enlever mes vêtements, ils me gênent

Clémence se mit à genoux et entreprit de le dévêtir. Elle y prit plaisir mais malgré tout en prenant le temps de savourer cet instant quand elle entendit le fils du Seigneur lui dire :

- En levrette, ma belle petite soumise

Clémence s'exécuta instantanément et Ronan commença à lui caresser la croupe superbement arrondi en lui donnant quelques claques cinglantes, ce qui fit rougir ses fesses d'une blancheur parfaite. Ensuite, le fils du Seigneur continua ses caresses tout en dilatant doucement son anus, lequel il rêvait de prendre possession. Quand le Dominant la jugea suffisamment dilaté à son gout, Ronan la pénétra d'un coup. La soumise cria mais en elle-même, Clémence n'aurait su dire si c'était de douleur ou de plaisir. En revanche ce dont la belle était certaine, ce fut quand le jeune homme commença à aller et venir dans son cul, ses gémissements étaient de plaisirs…

- Tu es bien serrée et bien bonne, j'adore, ma belle petite chienne, si tu savais comme j'aime te prendre ainsi, toi livrée, toute soumise à mes envies

Ronan la besogna ainsi un long moment Clémence sentit sa jouissance de plus en plus et se retenait de jouir mais se gémissements trahissaient son envie et il le savait. Le fils du Seigneur se retira de ce cul si accueillant, si parfait qu'on dirait qu'il était fait pour lui, juste à sa taille. Et sans attendre Ronan pénétra sa chatte chaude et humide. Clémence ne résisterait plus très longtemps. Ronan le sentait et augmenta l'intensité de ses coups de reins puissants. Pas qu'il veuille ou aimerai la punir mais le jeune homme voulait la pousser à l'erreur tout en baisant sa chatte sans retenue.
Ronan accompagna cette saillie animale par des claques sur les fesses. S'en était trop pour Clémence et elle jouit d’un orgasme puissant et intense qui ne pouvait lui retenir des cris de plaisirs que la belle lâcha donc à tout va, sans retenue. Ronan se retira alors et se planta devant sa soumise toujours parcourues de spasmes de plaisir par des petites décharges électriques qui lui parcouraient jusqu’en haut de l’échine...

- Qu'est-ce que tu as fait, salope ?
- J'ai joui, Maître Ronan
- T'avais-je donné mon autorisation ?
- Non Maître Ronan. Je me suis retenue tant que j'ai pu et je vous prie de bien vouloir m’excuser pour avoir craquée et vous prie aussi de corriger ma faute…
- Oui je vais la corriger, mais sache que si tu avais pu te retenir, je te l'aurais accordé cet orgasme et plus encore … Va te placer à côté du lit, à genoux, buste posé sur le sommier

Ronan revint cravache et martinet à la main et présenta les deux objets devant elle :

- Je te laisse choisir… Que préfères-tu ? Et combien de coups, penses-tu mériter ?
- Je...je l'ignore, Maître Ronan. En principe, il me semble que c'est au Maître de décider de la sanction et non à la soumise
- Bonne réponse, mais si tu ne sais pas choisir, ce sera les deux. Mais plutôt que les 30 coups que je prévoyais, tu en auras 15 de chaque

Clémence tentait de calmer sa respiration et de se détendre un maximum tant elle redoutait cette punition qu'elle savait juste et méritée et étrangement la belle tremblait, certes de peur, mais d'excitation aussi.

- C'est ta première punition, il me semble ?
- Heu... oui Maître Ronan, je n'ai jamais été punie. Votre père me les a fait sentir en les passant sur mon corps mais sans me donner de coups…
- Bien, alors voici les règles que j'exige durant une punition. Tu te tais, tu ne cries pas, tu ne bouges pas et tu comptes les coups et me remercies entre chaque. Suis-je assez clair ?
- Oui Maître Ronan, tout à fait clair.

- Silence j'ai dit. Tu te tais, car tu aurais dû répondre d’un signe de tête sans parler. De ce fait, tu viens de gagner une série de 10 fessées supplémentaires que je vais te donner à la main…

Ronan lui donna alors le premier coup de cravache qui laissa une marque sur ses fesses

- Un, merci Maître Ronan

Puis le second, le troisième... et ainsi de suite. Quand il eut fini, son excitation reprit par une belle érection et paradoxalement celle de Clémence aussi.

- Bien, le martinet maintenant

Ronan se concentra plus à frapper son dos, ses reins et ses jambes estimant que son cul en avait pris assez, surtout qu’il lui restait des fessées à lui donner. En silence, sans un mot pour éviter d’alourdir la punition, la belle regarda intensément Ronan et son regard empli de reconnaissance voulait dire à l’évidence :

- Merci, Maître Ronan, merci d'avoir pris le temps de me corriger
- Couchée sur le dos, maintenant, sur le lit et cuisses bien écartées, salope ! Et si tu me satisfais, peut-être que je daignerais t'accorder une faveur...

Ronan reprit là où il s'était arrêté en baisant de nouveau sa belle petite chatte, toujours aussi coulante et accueillante en la pénétrant par derrière. Couchée sur le dos, Clémence ne bougea pas, le laissant faire à sa guise et ainsi le satisfaire, ce qu'elle souhaitait sincèrement même si son excitation montait à une vitesse effrayante. Ronan la pilonna tel un taureau en rut dans une prodigieuse vigueur virile par de violents coups de boutoirs. Puis le jeune homme la retourna afin que la pénétration soit plus aisée par devant. Ne pouvant plus rester sans bouger, Clémence croisa ses jambes autour de la taille de Ronan puis autour du cou de celui-ci en relevant le plus possible ses jambes. Et à chaque entrée, la belle s'arquait pour le sentir encore plus loin en elle, plus profond et ainsi l'accueillir totalement, telle une chienne en chaleurs. Quand après l’avoir besogné ainsi un long moment et qu’il fut sur le point de jouir, il se retira.


- Descend à genoux, face à moi et suce-moi, la chienne et tâche de t'appliquer

Clémence prit délicatement la verge dressée en mains et la mit en bouche. Etant peu habituée, elle s'appliqua de son mieux, léchant de haut en bas, tournant sa langue autour tout en descendant lentement. La soumise entra sa bouche sur ce phallus et sortit vite ou lentement selon le rythme qu'il lui imposait de sa main plaquée derrière sa nuque. Quand il daigna lui laisser le contrôle de la vitesse, la jeune femme lui lécha juste le bout et entendant ses râles de plaisirs sur que ce qu'elle faisait. Et ça semblait lui plaire. Il allait jouir quand Ronan lui dit en plaquant son visage sur son bas ventre

- Avale tout, chienne, voilà la faveur que je t'accorde pour m'avoir satisfait

Ronan jouit dans sa bouche en déversant par saccades sa noble semence sans retenue. Clémence avala le tout avec une reconnaissance infinie. Dieu, qu'elle aimait ça ! La soumise ne put s'empêcher de se dire que la noble semence du fils du Seigneur bien que différente était aussi plaisante et délicieuse que celle de son père.

- Maintenant nettoie et ensuite nous terminerons ta punition …

Quand elle eut fini son nettoyage avec sa langue consciencieuse, Ronan alla s'installer dans son confortable fauteuil celui où il aimait se détendre devant le grand feu de l’immense cheminée durant l'hiver.

- Ici petite salope, sur mes genoux

Clémence se plaça donc en travers de ses genoux tentant de trouver un certain équilibre afin de ne pas bouger et ni de risquer de chuter.

- Comme d'habitude, tu comptes et tu me remercies

Première claque retentissante

- Un, merci Maître Ronan

Les dix fessées fusèrent bruyamment, elles furent données sans concession, ce qui rendit des fesses encore plus rougies après le martinet et le fouet.... Clémence se remit à genoux devant le fils du Seigneur et attendit tête baissée

- Très bien, comment te sens-tu ?
- Bien Maître Ronan, à ma place à être à votre service
- Tu es une bonne soumise. Tu vois cette pièce attenante, c'est une salle d'eau. Il y a un sceau d'eau, va te rafraichir et revient m'attendre ici, je vais m'absenter mais je reviens.
- Bien merci Maître Ronan pour votre prévenance.

Clémence alla donc se rafraichir et se laver. Lui en fit de même mais dans la crypte à l'eau chaude. Quand Clémence eut fini, elle ne sut pas où se placer. Ronan lui avait dit de l'attendre mais pas où. Elle finit par se placer devant son lit à genoux, tête baissée, face à la porte. Quand le jeune homme revint, il fut heureux de la trouver ainsi selon ses exigences

- Relève-toi Clémence, tient met ça

C’était une espèce de chemise longue afin qu'elle ne prenne pas froid. La nuit au Château était fraiche et le feu commençait à s'éteindre

- J'ai demandé à ce qu'on nous apporte une infusion chaude. Après ça, nous irons nous coucher et je t'autorise à dormir avec moi, dans ma couche… Et tu devras m’apporter satisfaction toute la nuit, si j’ai des subites envies de te prendre …

Clémence le remercia d'un sourire timide ne sachant que répondre. Après avoir pris leurs infusions, ils se couchèrent. Ronan la prit tendrement dans ses bras et ils passèrent ainsi un très bonne nuit alternant câlins, tendresse et torrides ébats sexuels…

(A suivre …)

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