L'Equipe X

J'entendais à peine le bruit de la voiture, de la musique, les paroles de mes amis... J'étais avec eux dans la voiture qui nous ramenait chez nous mais mon esprit était ailleurs, je prenais enfin conscience de ce qui s'était passé, non pas de ce merveilleux match et de cette victoire à l'arrachée qui avait provoqué en chacun de nous un élan de fierté, de joie mais bien de ce qui avait eut lieu après dans les vestiaire... Et là je fulminais de colère, de rage, non que cela m'aie choqué mais bien pour le risque pris... nous aurions pu être découvert... et pour cela j'avais envie d'hurler sur David de lui dire à quel point il avait été inconscient, non seulement lui mais tous les autres membre de l'équipe... Pourquoi avaient-ils emboité le pas à cet imbécile de grand dadais guidé uniquement par ce qu'il avait entre les jambes... Oui, c'est bien cela que j'aurais crié si je ne m'en voulais pas à moi de les avoir laissé faire, un simple non et rien de tout cela n'aurait eut lieu... Mais non, j'avais laissé faire une fois de plus. Une fois de plus j'avais succombé à ce doux plaisir de me laisser totalement dominé par ce grand blond... d'être un jouet entre ses mains... Ce n'était plus contre lui et eux que je pestais à présent mais bien contre moi et ma faiblesse.. Qu'ils soient adultes, responsables sachant tous ce que leur geste pouvait entrainer me passait totalement par dessus l'esprit et la tête, je ne voyais plus que le risque pris par David... et pourtant je la bouclais, je gardais cela pour moi.

Lorsque la voiture s'immobilisait au pied de l'immeuble de notre appartement je saluais mes amis et filais direct en haut, a peine mon sac rangé que mes livres de cours étaient étalés sur la table et mon visage plongé dedans. Il ne faisait aucun doute que mon quasi frère se doutait que quelque chose me troublait mais il ne disait rien, il me laissait travailler ainsi jusqu'à passé huit heure du soir avant de rompre le silence.

Bien sur il avait remarqué ma tête, tous l'avaient remarqué et il se demandait pourquoi...
Quand je lui expliquai ma vision, il écouta attentivement, il me laissa parler jusqu'au bout avant de reconnaitre que oui il avait agit inconsciemment, impulsivement, sous l'euphorie de la victoire que je ne pouvais comprendre car ils étaient vraiment leur bête noire, l'équipe qu'ils devaient un jour battre. David montra ce soir là beaucoup d'écoute à mes propos, je me devais de me comporter de même avec lui et je pu rapidement comprendre sa position, leur position.. Il avait raison mais moi aussi et je fus très fier de lui quand il reconnu avoir réagi avec un peu trop d'impudence, de zèle et d'enthousiasme. Ce soir là quand nous gagnèrent nos chambres respectives il me sourit, normalement il serait déjà dans la mienne, mais non il attendait que je lui sourie et quand mes lèvres se pincèrent il me rejoint et me dit combien il m'aimait. Cela comptait énormément pour moi que ce fut ce juste un amour d'amitié ou un véritable amour. Je le tenais par la main et je tirai un peu sur son bras pour le faire entrer, il sourit et peu de temps après j'étais nu sur le lit, David se tenait devant moi exhibant toute sa splendeur de son corps musclé à son sourire ravageur, Il ne bandait pas, sa verge jute une belle inclinaison par dessus ses bourses, nul ne pouvait le nier la nature l'avait vraiment trop bien doté sur ce point et si je n'étais pas un receveur j'en aurais été plus que jaloux. Un long et épais tube au repos, parcouru de deux veines saillantes et coiffé d'un imposant prépuce le tout entouré d'une dense forêt de poils blond. Je glissai sur mon côté puis sur mes genoux et mains, mon corps offert à lui alors qu'il me rejoignit sur le matelas. Ses mains écartèrent mes cuisses, jouèrent sur mes fesses, il ne dit pas mot mais il prenait son plaisir à me toucher et moi à m'offrir à lui. Il s'agenouilla su le matelas et me posa de doux baisers sur mon dos, sur mes épaules, sur mes cuisses, sur mes fesses avant de s'occuper de ma petite rondelle qu'il dévora avec passion tout en caressant mon propre sexe d'une main.
Il savait y faire, il savait me pousser à bout. le grand blond fini par me pousser à plat sur le lit, s'allongeant sur moi, glissant son sexe le long de la raie de mes fesses tout en m'embrassant dans le cou, tout en me mordillant l'épaule une main retenant mon torse, se jouant d'un téton, l'autre autour de ma verge me masturbant sans ménagement jusqu'à ce que j'éjacule dans sa main et dans les draps.

Bien sur il me fit quelques remarques comme quoi j'étais un vilain garçon d'avoir salis les draps mais cela ne l'empêcha pas de glisser à nouveau ses lèvres entre mes fesses et même de me doigter généreusement de ses doigts recouvert de ma semence. Il me doigta un moment ainsi avant de me retourner et d'agripper mes jambes et mes pieds sur son torse. Un peu de lubrifiant sur sa verge et il se glissa en moi. Il me pris ainsi à deux reprises, changeant de position au gré de son plaisir mais en gardant une vue directe sur moi, les yeux dans les yeux... Il se joua de me mon sexe et me fit jouir à nouveau tout en me prenant, mêlant tendresse et brutalité, passion et bestialité.

Bien sur le lendemain nous étions de retour aux cours et nous entamions l'avant dernière semaine avant le break de Noël. Elle fut d'une intensité inégalée sur le plan universitaire, nous avions tous deux des essais à rendre pour la semaine suivante, ce qui nous cloitra soit à la bibliothèque soit dans notre appartement à travailler comme des malades. Les seules sorties que nous fîmes furent pour nous rendre aux entrainement et à peine terminé que nous nous ruions déjà hors des vestiaires pour rentrer au plus vite et bosser de nouveau. En cela je dois dire que j'étais fier de David et des autres membres de l'Equipe qui soit faisaient de même pour leurs études respectives soit soutenaient notre rush de boulot. Par contre bonjour la montée de stress et l'absence de vie sexuelle, cette semaine fut disette et la tension devenait palpable, lui et moi étions de plus en plus irritable au point qu'un jour au soir David et moi nous nous sommes enfermé dans nos chambres respectives.
Heureusement que tout cela serait fini le lundi, jour où lui et moi devions rendre nos essais et aussi dernier jour d'entrainement de l'année. Oui il n'y aurait plus de waterpolo avant février.. Le pire c'est que je devrais passer le reste de la semaine seul, mon grand blond ayant fini ses classes du lundi, oui monsieur, oui madame, cette feignasse en droit avait terminé le lundi... alors que moi je trimerais jusque vendredi après midi car le prof d'une importante matière avait bien stipulé que nous nous verrions tous du vendredi après midi avant la Noël, cela ou dire qu'il prendrait note des absences et s'en rappellerait le moment venu il n'y avait qu'un pas que nous tous comprirent aisément.

Vint alors ce fameux lundi, les essais rendu je me sentais plus soulagé et je savais qu'il n'y aurait plus cette tension qui nous avait fait passer la quasi totalité du weekend chacun dans notre chambre. L'entrainement se passa bien et fut pour nous deux comme une cure de jouvence, chassant définitivement le stress. Enfin si je puis appeler cela un entrainement car je me souviens d'avoir eut simplement l'impression de barboter mollassement dans l'eau plus que de forcer sur les longueurs, les passes et les simulations et c'est l'impression que me laissèrent les autres membres, pour y aller mollo nous y étions allés mollo, non pas de notre volonté mais bien du coach qui ne nous donna rien à faire ou presque. Il y eut bien sur un débriefing de la première partie de saison dans l'eau, finalement on s'était bien débrouillé, bien classé à la question du coach si la nouvelle recrue, càd moi, était à la hauteur ce sont des acclamations qui retentirent mais aussi des poussées sous l'eau pour me m'y maintenir le plus longtemps possible. Quand je fis finalement surface pour de bon et que je pus me reposer sur le rebord c'est bien en toussant et crachant les trois ou quatre tasses qu'ils m'avaient fait avalé.
Dans les vestiaires, les discussions tournaient autour du planning de chacun pour les fêtes, beaucoup les passeraient en famille et des étudiants de notre équipe j'appris ainsi que tous ou presque rentraient chez eux dés le lendemain mardi ou du mercredi.
Il n'y aurait au final plus que moi qui restait jusqu'au vendredi soir. Quelques bisous, des souhait de bonnes fêtes et nous voilà reparti, moi en croupe sur la Duke m'agrippant mon bien aimé David par la taille.

Une fois à l'appartement j'aurais pu croire que le grand blond allait se la couler douce mais
non comme moi il déballa ses affaires de classes et se mis à au boulot. courte session de travail et de lecture d'une bonne heure avant qu'il ne me propose de regarder un film à la télé. Pas de pudeur entre nous et c'est nu comme au premier jour que nous allongeâmes dans le canapé, lui au fond moi dos contre son torse, tout deux regardant le film... pas terrible en fait si bien qu'au bout de 45 minutes, la télévision n'était plus qu'une tâche de fond et j'étais à genoux au bord du canapé, penché en avant entre les cuisses de mon étalon, tétant allègrement de son pieux. Lui s'était laissé tombé en arrière au fond du sofa, jouant négligemment d'une main dans ma chevelure alors que je me délectait de son sexe tendu. Bon dieu que j'aimais cela... Peu d'hommes connaissent ce plaisir, autant l'idée de ce faire sucer réjouis la plupart de mecs, autant pour moi je prend un pied fou à pomper ces sexes durs, gorgés de sang, vibrant et pulsant sous le pur plaisir. D'une main je lui caressais une hanche, de l'autre je malaxais avec délicatesse ses bourses, faisant rouler ses testicules entre mes doigts. A sa respiration je savais qu'il prenait un plaisir fou, que je lui faisais du bien et j'adorais cela, j'en retirais même une certaine fierté. Les minutes s'écoulèrent dans un plaisir partagé et mutuel, je fini par percevoir les signes avant coureur de sa jouissance proche. Il grogna fortement lorsque ces premiers jets de semences jaillirent au fond de ma gorge, mes lèvres glissèrent vers le haut de sa hampe, stoppent juste en dessous de sa couronne, ne retenant dans ma bouche que sont gland, y accueillant son foutre chaude, que j'aimai cette texture douce et gluante teintée d'une légère pointe de salinité. Les jets se succédèrent et je déglutis deux ou trois fois, avalant ma récompense. Sa douce voix laissa venir à mes oreilles des compliments et ses bras musclé me tirèrent à lui, je me retrouvais à califourchon sur ses cuisses, torse contre torse, lèvres contre lèvres à nous embrasser ainsi pendant prés d'une demi heure avant de gagner sa chambre. J'aurais cru qu'il me ferait l'amour mais il se satisfit de me tenir contre lui et c'est ainsi que je m'endormis, là ou je voulais toujours être.

Le lendemain je fut le premier hors du lit, le grand blond restant sous la couette, profitant du fait qu'il était déjà en vacances de Noël et que son train ne partait que quelques heures plus tard alors que moi je devais filer en classe. Un dernier baiser, un mot doux échangé et voilà j'étais en classe, nous ne reverrions que vendredi soir. La journée passa assez rapidement, peu de cours en effet et surtout des profs qui répondaient plus aux question d'avant examens que de l'apprentissage de nouvelles matières. Il était trois heures de l'aprés midi quand je changeais d'auditoire et vérifiais mon téléphone, Quelques messages Rick, David, ils se foutaient de moi toujours en classe alors qu'eux étaient déjà en congé... je répondis avec amusement mais c'est le message de Steves qui me troubla le plus "Chez moi 17H00." Rien d'autre pas de détails. Je répondis en demande plus d'infos mais je n'eut aucun retour de sa part, me laissant seul avec cet intriguant message. Qu'allais je faire, 17H00 mon cours finissait à 16H30 me laissant juste le temps d'y aller si j'y allais...



PS: une suite après une longue pause mais la vie est ainsi et elle peut vous prendre un long moment. Je posterais un épisode XI si je reçois pas mal de commentaires. N'hésitez pas à aller lire les épisodes précédents.

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