Comment J'Ai Trompé Mon Mari

J’arrive en retard à l’apéritif, organisé par le club, dont Hervé, mon mari, en est le président. C’est la première fois que j’assiste à une troisième mi-temps. Il y pas mal de gens, de tout âges, et j’en connais très peu.
Après l’apéro, Hervé m’a promis une soirée en amoureux. Repas au restaurant, viré en boite, puis nuit sans sommeil à l’hôtel. Je sens déjà le désir monter en moi.
Je l’aperçois assis dans un angle mort de la salle, à discuter avec des copains. A côté, je remarque une chaise libre. Certainement la mienne.
Pour le rejoindre, je suis obligés de passer entre la banquette, ou les joueurs sont installés avec leurs copines et de vieux dirigeants, et la table ou sont servis les boissons. Un vrai périple, car aucun ne me facilite le passage, bien au contraire. Evidemment, je m’excuse auprès de tout le monde.
Parmi eux, il y a Sergio, président d’honneur, proche de la soixantaine, très séduisant. Je ne le connais pas, que de réputation d’homme à femmes, mais à sa façon de me regarder, je vois bien qu’il voudrait m’épingler à son tableau de chasse. Du reste, il a fait une promesse à mon mari, devant tout ses copains pour témoins.

« Un jour, je baiserais ta femme, lui avait-il promis «.

Evidemment, Hervé n’avait pas prêté attention, me faisant une totale confiance. Justement, arrivée à sa hauteur, je sens une main se poser sur mes hanches, tandis qu’une autre, remonte entre mes cuisses. Puis les deux mains s’unissent pour quitter ma culotte. Pour finir, Sergio m’oblige à m’asseoir sur ses genoux.
Hervé ne s’aperçoit de rien, cachée qu’il est, par les joueurs.
Pour ne pas créer de scandale, je ne dis rien.
Au bout d’un moment, je sens un objet dur, très dur contre mes fesses, qui me fait sursauter.

« Que vous arrive-t-il, Madame la présidente, me susurre-t-il à l’oreille ».
« Oh putain, le salaud, c’est qu’il bande…puis il a l’air sacrément monté »

Dans l’état ou je suis, je ne sais pas si je vais pouvoir résister à l’appel de cette bite en érection, et ce malgré la présence de mon mari.


Je glisse une main en arrière, fait glisser la fermeture éclair de son pantalon. J’enfouis ma main dans le slip, en extrait une bite énorme. Ma curiosité m’incite à aller plus loin, jusque aux couilles, elles aussi dantesques. Sergio aussi est curieux de savoir jusqu’ou je veux aller. D’un geste calme, il insinue ses doigts entre mes cuisses, caresse mes lèvres intimes. Lentement, il me soulève, pour que je m’empale sur sa bite. Je parle seule.

« Qu’elle est belle, vas-y, grosse bite, branle toi dans ma petite chatte…crache salope, oui, comme ça. Ouah, il avait envie le cochon ».

Dans la seconde qui suit, j’atteins l’orgasme, que j’étouffe dans mon chandail.

« L’enfoiré, comme il m’a baisée…comme il m’a fait jouir…si mon mari apprend ».

Comme si de rien n’était, je m’arrange un peu, et reprends mon parcours du combattant pour rejoindre mon époux. J’éprouve mille difficultés pour me frayer un passage. Chaque fois que j’écarte les jambes pour enjamber un genou, certains n’hésitent pas à me bloquer, glisser une main sous ma jupe, et me mettre un doigt dans la chatte. J’atteins même un mini orgasme, quand un doigt plus vicieux que les autres, excite mon clitoris.
Je soupçonne fortement Andréa, la copine de Sergio, d’en être responsable.
Dans la dernière ligne droite, je joue les allumeuses, prenant volontairement des poses provocantes. Je prends appuie sur la table, cambre mes reins, pour que chacun puisse gratter ma chatte. Les jeunes joueurs, ne semblent pas intéressés, mais trois copains, doyens du club, me couchent sur leurs genoux, remontent ma jupe sur mes hanches. Je suis dans la position de la petite fille qui a fait une grosse bêtise, et à qui, on va donner la fessée. Sauf que ce sont des mains d’adultes, et que l’un d’eux, à hauteur de mes cuisses, n’hésite pas à glisser une main entre mes fesses, branler ma chatte, et limer mon petit trou. Il sait y faire l’enfoiré.
Celui du milieu est moins bien loti.
Il se contente de passer une main sous mon chandail, et me caresser les seins, durcit par le désir. Il arrive aussi à glisser une main entre mes cuisses, et excite mon clitoris.
Le troisième, est le mieux servi. J’ai ma tête contre son sexe. Il ouvre sa braguette, sort sa queue, et l’enfonce dans ma bouche. Lentement, je lui pompe le dard, jusqu’à ce que ce salaud éjacule dans ma bouche. En cachette, j’avale tout. Je me surprends même à lui nettoyer le gland avec ma langue. Quant à moi, j’atteins l’orgasme quand les doigts du premier accélèrent dans ma chatte en feu.

-Putain, comme elle jouit cette salope, dit-il, mes doigts sont plein de mouille.
-Et moi, qu’elle pipe…ouah, elle a tout avalé. Elle est bonne la femme du président.

Après un parcours digne des meilleurs Koh-Lanta, je rejoins enfin mon mari. Il est montré du doigt, et ne remarque pas les rires moqueurs qui lui sont adressé.

-Alors ma chérie, tu a passé une bonne journée.
-Ben disons, que…pour te rejoindre, ça n’a pas été simple. Avec tous ces mâles aux mains baladeuses.

Hervé se penche sur moi, me prend la bouche. A l’abri des regards, il glisse une main entre mes cuisses, enfonce un doigt dans ma chatte. Surpris, il me murmure à l’oreille.

-Tiens, je savais que tu avais supprimé le soutien gorge, mais pas la culotte. En plus, ta chatte est toute mouillée. Tu peux m’expliquer.
- Bien sur mon amour. J’ai pensé à toi toute la journée, j’ai voulu te faire une surprise pour nôtre soirée. J’ai tellement envie que tu me baises. Il me tarde d’être à ce soir.
-Justement ma chérie, ce soir, ce ne sera pas possible. Remettons ça à plus tard.

Je suis déçue, très déçue. D’autant que les préliminaires que j’ai subis par les invités et le coup de queue de Sergio, m’ont donné une folle envie de sexe. J’ai quand même joui deux fois pendant le trajet.
Mon mari ne dois pas savoir de quoi est capable une femme en chaleur.


Il est vingt heures, quand toute l’équipe s’apprête à quitter le bar.
Une fois dehors, éclate un violent orage, courant en cette période, qui réduit la visibilité à néant. Ca court dans tous les sens.

-A la voiture, crie mon mari en disparaissant sous l’averse.

C’est à ce moment, qu’une voix m’interpelle.

- Véro, viens ici…viens t’abriter.

Je reconnais la voix d’Andréa. Je me précipite vers le véhicule. Je suis trempe comme une soupe. Andréa est une sculpturale italienne, d’une beauté à couper le souffle, copine de Sergio. Elle aussi a pris l’eau, elle est en culotte et soutien gorge. Sergio est installé au volant, à moitié nu lui aussi
Malgré l’éclairage du plafonnier, la buée et les vitres sur teintés, empêche de voir se qui se passe à l’extérieur.

-Merci Andréa, c’est gentil.
-Alors Véro, sale temps. Ton mari, il est ou ?
-Ce salaud, on devait refaire nôtre nuit de noces, et il m’a laissé tomber.
-Quel goujat, dit Andréa. On va arranger ça. Met toi à l’aise, ôte tes vêtements.

Sans attendre de réponse, Andréa fait passer mon chandail par dessus ma tête, puis quitte ma jupe. Elle est surprise de voir que je ne porte rien dessous.

-Hum, mais c’est jolie tout çà, fait-elle en glissant une main entre mes cuisses. Même la petite chatte est toute mouillée, et çà ne vient pas de la pluie…Qui t’a fait ça, dis moi.
-Heu…c’est Sergio…il m’a mis un coup de queue…mais arrêtes !!!
-Sacré Sergio. Et le doigt sur ton petit bouton, t’as aimé ? Tu as jouis petite vilaine.
-C’était toi, salope. Tu le sais que j’ai joui…
-Je voulais t’en mettre un dans le cul, mais tu es parti si vite. J’espère que quelqu’un d’autre te l’a mis. Allez, assez bavardé, on va jouer un peu, d’accord.
-Oh non, déconnez pas…mon mari doit me chercher.
-T’inquiètes ma chérie, on te ramènera.

Je suis entrain de me faire piéger. Sergio et Andréa ont la réputation d’être un couple libertin.
Je me souviens de la promesse que Sergio à faite à mon mari.
« Un jour, je baiserai ta femme »
J’ai l’impression que ce jour est arrivé. Je revois le regard qu’il m’a lancé, je sens la virilité de sa queue, puis la cartouche qu’il m’a mit au bar. Ca n’était pas désagréable.
Andréa m’oblige à m’appuyer sur le siège, puis regagne la banquette avant, laissant la place à Sergio.
Dans cette position, je suis vulnérable. Ma croupe entièrement offerte. Je sens un doigt effleurer mes lèvres intimes, pénétrer ma chatte.
-Tu aimes qu’on te mette un doigt ? Tu dois avoir l’habitude avec ton mari.
-Hum…non, Hervé ne sait pas faire ça.
-A bon, il ne sait pas faire ça ? Pourtant, ce n’est pas compliqué, ce n’est qu’un doigt. C’est fou comme avec un doigt, on peut faire vibrer une femme. Et Hervé n’est pas capable de faire ça ? C’est si facile. Il suffit de décalotter le petit bouton, et y faire tourner un doigt dessus. Comme à. Tu sens mon doigt sur ton clito…

Je n’en peux plus, la chaleur dans mon ventre s’intensifie, mon clitoris me fait mal, à force de caresse. Mais c’est tellement bon. Sergio est vraiment un expert en femmes. Je me cambre de plus en plus, pour mieux m’offrir à ce doigt qui me rend folle.

-Hou…salaud…ah….ah….oui, vas- y, fais moi jouir…
-Ha, tu vois que c’est bon hein ? Tu lui diras à ton mari, que tu aimes bien qu’on gratte ton petit bouton, d’accord ? Tu lui expliqueras comment Sergio a fait…ça t’excite hein…tu veux que je te baise maintenant ?

Ce salaud, en plus, il me fait râler. Il le sait que j’ai envie qu’il me prenne, là, tout de suite, en levrette. Du reste, la position que j’adopte, ne fait aucun doute.
Andréa suit la scène, me demande de me détendre, qu’il va bien me niquer.
Ca y est. Je sens l’énorme calibre de Sergio pénétrer ma petite chatte. Le doute quant à ses mensurations, est levé. C’est vrai qu’il est sacrément monté.
Il me tient par les hanches, entame de lent va et vient. C’est bon de sentir une grosse queue dans sa petite chatte. Je ne donnerai ma place pour rien au monde.

-Ton mari te baise comme çà, demande Andréa
-Non, dis-je en gémissant, physiquement, il n’en a pas les moyens…puis, il na pas les outils qu’il faut non plus.
-Eh ben tu vois. Comme quoi l’orage t’aura apporté quelque chose.

Sergio est un sacré baiseur, un phénomène. Il est en train de me mettre le compte grave. A chaque coup de reins, il m’arrache un râle de plaisir. Il se vautre sur moi, je sens son souffle chaud dans mon cou. Il glisse une main sous mon ventre, caresse mes seins, me murmure des mots à mon oreille.

-Alors, tu te souviens la promesse que j’avais fait à Hervé, qu’un jour je baiserais sa femme, ben voila…et toi, t’as aimé çà, petite pute…une vrai chienne, hein que tu es une chienne…dis le que tu es une chienne…et que tu as envie de te faire enculer.
-Oui, salaud, je suis une chienne…ta chienne…vas-y, encule la ta chienne.

D’un coup, la bite passe de la chatte au petit trou, sans préparatif. Il me semble que sa queue a doublé de volume. Je ne peux retenir un cri de douleur. Sergio accélère, se raidit. Il va jouir.

-Vas-y salaud, crache, vide tes couilles dans ma chatte.
-Hey, dit Andréa, la voiture est neuve, de pas tout salir.

D’un coup, Sergio se retire, me retourne violemment. Sa queue est la, contre mes lèvres. Je la prends en bouche. Le sperme gicle en jets puissant au fond de ma gorge. Je bois tout son jus, jusqu’à la dernière goutte.
Sergio en veut encore. Il veut humilier mon mari jusqu’au bout. Il me fait mettre sur le dos, jambes en l’air, bien écartées, puis me pénètre violemment.

-Je veux te voir quand tu vas jouir, ironise-t-il. Je veux t’entendre crier mon nom.
-Oh oui Sergio, vas-y, baises moi, fais toi plaisir.

Andréa participe à ma déchéance. Elle a glissé un doigt entre mes jambes, juste sous les couilles de son copain, et me doigte le petit trou. J’ondule de plus en plus, à tel point, que quand Sergio arrête, c’est moi qui envoie des coups de reins sur la bite qui me baise. Je suis hystérique. Je sens les battements de mon cœur, jusqu’au bout de mes seins. Je ne peux m’empêcher de hurler de plaisir.
Après s’être copieusement vidé les couilles pour la seconde fois, Sergio ouvre la portière pour aérer l’habitacle. Dehors, la pluie a cessé.

-Ouah, comme tu as gueulé, dit Andréa, ça a du résonner sur tout le parking.

Ses mots me font froid dans le dos. Et si c’était vrai, qu’on m’est entende crier. Et que mon mari, à ma recherche, passe à ce moment là.

Il est quatre heures du matin quand Sergio et Andréa me ramènent chez moi. Andréa, vicieuse jusqu’au bout des ongles, a tenue à ce que passe sur le siège arrière avec elle, afin qu’elle puisse jouer avec ma chatte, pendant tout le trajet. Quelle pute !!!
Hervé a entendu la voiture sur le gravier. Il a peut être vu Andréa me donner un baiser torride sur la bouche, mais surtout Sergio, placé de façon à ce que Hervé voit bien sa main, faire des va et vient sous ma jupe, et me voir ouvrir la bouche quand je jouis.
Il doit être fou de rage. Et quand je vais tout lui avouer, parce que, il va tout savoir.

Il m’attend sagement dans le salon, un verre de wiski à la main. Un second est posé sur la table basse. Sans un mot, je m’installe sur le fauteuil en face de lui, croise les jambes.
Il me dit qu’il est désolé, qu’il est revenu sur le parking, qu’il m’a cherchée, qu’il a vu une voiture, entendu des cris. Certainement un couple en train de faire l’amour.
Puis il me demande avec qui j’étais, et quelle excuse j’ai pour renter si tard.
Je lui avoue que j’étais dans la voiture sur le parking, en train de me faire niquer par Sergio. Je lui fais grâce de la sodomie, et la pipe que je lui ai taillée.
Il se dresse d’un coup, me demande pourquoi j’ai fait ça.

-Tu sais la nuit de noces que tu m’avais promis de revivre, et ben, c’est lui qui l’a faite à ta place…puissance dix. Quel amant ! Quel baiseur. Il mérite bien sa réputation. Et puis, tu te souviens, un jour il avait juré qu’il baiserait ta femme. Tu vois, il l’a fait. Lui au moins, il tient ses promesses. Allez, je vais prendre une douche et me coucher…A oui, autre chose, il y a une autre samedi soir.
-Pas de problème ma chérie, on ira.
-Mais tu n’es pas concerné. J’y vais avec Sergio. Ne m’attends pas, je risque de rentrer tard dans la nuit…si je rentre. Andréa m’a proposé de coucher chez eux. Tchao…


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