Reprise En Main De Ma Vie... Trio Ou Tourante ??? 1/2

Je suis nue devant ma glace, je m’observe attentivement, malgré mes deux grossesses je ne me trouve pas trop ‘épaissie’ mes seins sont encore bien plantés, ils ne bougent pas si je mets mes mains en coupelles, peut-être est-ce dût au fait que je n’ai pas allaité ? ma taille est fine, mon ventre plat,sans vergetures, ma … peut être devrai-je tailler tous ces poils superflus ? ça dégagerait mon clitoris pour les fois où je me masturbe car ce n’est pas les trois pénétrations par mois que mon mec m’octroie qui équilibre ma libido, et c’est la seule queue que ma chatte ait connu, bref, a trente-six ans si je ne profite pas de ce corps avant la ménopause c’est foutu, je suis mélancolique, voire triste, si je fais le bilan de mes dix années de mariage le résultat est décevant , je fais la boniche pour les s et le mari qui ne m’aide aucunement et préfère la compagnie de ses potes pour écluser des bières
Pendant la douche, alors qu’accroupie, cuisses écartées, je dirige le jet puissant sur mon clito je prends une décision irrévocable : je vais me faire sauter et peut être même trouver un amant attitré, si je gère bien mon emploi du temps ça me laisse de la marge sans éveiller les soupçons, mais avant je dois changer ma silhouette, par exemple couper cette tignasse qui pend sur mes épaules, coupés assez cours ça doit me rajeunir, changer aussi ces sous-vêtements ringards que j’aurais honte de montrer a un gars , seulement le slip car je vais faire abstraction du soutien-gorge, reste le champ d’action …ma préférence va sur un jeune et justement il existe une salle de jeu dans le quartier voisin
Le lendemain apprêtée comme je le désirais, c’est-à-dire sans soutien-gorge, robe assez courte sans être indécente, qui cache un mini tanga qui colle à ma vulve comme une seconde peau, je me sens femme, plus exactement femelle en chaleur je vais d’un pas décidé à cette salle, des appareils et des machines plus bruyantes les unes que les autre, je salue le gérant étonné de voir entrer une femme a la silhouette qui ne convient pas à ce genre d’établissement ,mes yeux parcourent la salle a la recherche de celui qui me fera écarter les cuisses , deux jeunes qui pourraient convenir à mon souhait sont avachis sur un appareil, je prends mon courage à deux mains et vais les rejoindre …
- Salut …
- Ouais …
- Ça va ?
- Ouais ….


Ces gamins semble m’ignorer, stupéfaite de leur accueil je me penche afin de dévoiler à leur seule attention ma poitrine libre, l’un d’eux ouvre enfin de grands yeux
- T’es venue pour te faire troncher la bourge ?
- Mais ?
- Pour aujourd’hui c’est mais vient demain quatorze heures devant le bâtiment vingt, j’aurais préparé ta suite nuptiale, tu ne regretteras rien crois-moi, à présent du large, souvient toi, quatorze heures tapante demain devant le vingt
Vexée par cet accueil trivial je tourne les talons pour sortir de la salle sous les rires moqueurs, en même temps je réfléchis à mon emploi du temps demain … quatorze heures ? c’est possible …un gars vigoureux c’est ce qu’il me faut …
- Hep ! madame !
- Oui ?
- Venez par ici s’il vous plait, j’ai à vous parler
C’est le gérant qui m’interpelle, par curiosité je vais au comptoir
- Ne vous méprenez pas mais surveiller ma salle c’est mon boulot, il est facile de deviner ce que vous êtes venue chercher, à la maison ce n’est pas le pied, vous êtes venue chasser le jeune mâle
- Monsieur je ne vous permets pas …
- Allez au rendez-vous demain et vous aller vous retrouver dans une cave sordide, attachée sur une paillasse plus que douteuse, tandis qu’une quinzaine de mecs, de quatorze a vingt-cinq ans, vous passerez dessus a la queue leu leu, aucun orifice ne sera épargné, vous risquez non seulement des MST mais aussi de vous retrouver aux urgences, ensuite allez expliquer pourquoi à votre mari …
- Mais je ne comptais pas m’y rendre voyons
- On dit ça …par contre j’ai quelque chose à vous proposer
- Une paillasse ?
- Ce n’est pas une suite nuptiale mais une couche très confortable et saine
- Et avec qui comme partenaire ?
- Moi …Adrien, j’ai quarante-cinq ans et toute l’expérience que ces jeunes cons n’ont pas
- Vous ??
- Oui moi, je vous certifie l’extase après minimum vingt minutes de préliminaires et des orgasmes à répétitions durant une heure de pénétrations variées
- Pénétrations variées, c'est-à-dire la même chose que proposent les jeunes ?
- Oui mais réalisées avec délicatesse, sans brutalité
- Quuuee… jeeeeeeeee.
.. où ce trouve cette couche ?
- Derrière cette porte, il suffit que j’appelle mon associé pour me remplacer à la caisse
- Et vous êtes persuadé que votre … ‘humm’ saura me satisfaire ?
- Venez sur le côté et regardez discrètement …
Telle une femelle avide de bite je me déplace pour aller voir ce qui attend peut être ma chatte, qui, au même moment a une contraction humide, l’homme vient d’extraire de sa braguette une épaisse colonne de chair à moitié tendue, je mets un long moment à détourner mon regard de cette vision malsaine mais ‘ho’ combien fascinante
- Alors ? ça te convient comme calibre ?
- Vous appelez votre associé pour demain quatorze heures ?
- Tu ne seras pas déçue
- A demain … je m’appelle Isa
Dur le trottoir je mets du temps à réaliser que je viens de donner un rencard a cet inconnu pour venir me faire baiser, je me suis arrêtée trois fois pour faire demi-tour et venir décommander ce projet d’adultère mais les gouttes qui s’accumulent dans ma culotte neuve m’en ont dissuadée, je suis rentrée directement pour me masturber en pensant à cette verge qui allait me perforer la chatte, le lendemain j’ai fait les cent pas en attendant que la salle ouvre ses portes, encore cinq minutes d’hésitation et j’entre
- Ha, te voilà, entre vite par ici, Raymond ? je te confie la boutique
- Prends ton temps Adrien, madame vous êtes ravissante !
- Merci…
La porte à peine refermée sur nous l’homme m’enlace par derrière et me picore le cou de baisers chatouilleux, déjà son membre pèse sur mes reins tandis que se mains englobent mes seins
- Tu dois être sacrément chaude Isa, tant pis pour le con qui ne sait pas le reconnaitre
- Je suis gênée … Adrien
- Je vais te détendre, je vais faire glisser la fermeture de ta robe afin de tâter tes seins à pleines mains
Si on m’avait dit que je serais capable de glisser mes mains derrière mon dos pour vérifier que la bosse énorme qui se fait plus pressante est bien une verge, et que la fermeture de la braguette étant ouverte je peux saisir entre mes doigts seulement la moitié de ce manche brulant
- Décalotte-moi Isa, fait quelque spas vers ce matelas où tu vas t’allonger
- Oui …
Ma robe git désormais à mes pieds, je l’enjambe et me laisser choir sur la couche qui sent bon le frais, en position d’attente, genoux repliés et ouverts, je regarde l’homme se déshabiller, sa lourde verge se balance mollement de droite à gauche, il ne quitte pas des yeux ma motte qui n’a plus qu’un mince trait de poils au-dessus du clitoris
- Ma langue va te faire voir des étoiles …
- Bouffe-moi Adrien …
- Mmmmmmmuuuuuummmmmm
- Hhhhhaaaaaaaaaooooooouuuuuuiiiiiii !
Imprévisible sa langue et ses doigts me font sursauter, jamais mon clitoris n’a été autant sollicité.
.. mon anus aussi …, je gigote tel un ver de terre, pas pour me soustraire aux préliminaires mais pour trouver la meilleure position, mes yeux se révulsent, ma bouche s’ouvre sans émettre de sons lorsque l’orgasme me terrasse, je retombe inerte, c’est son gland sur mes lèvres qui me force à ouvrir la bouche
- Excuse-moi de te presser petite mais je n’ai qu’une heure à te consacrer, suce, je vais venir très vite
A moitié relevée je m’acharne sur cette boule de chair qui n’en finit pas de suinter, j’aspire, branle, suce, pétris les couilles, Adrien feule comme un tigre et promet de m’arroser les amygdales, chose qui se concrétise aussitôt, je ne peux fournir à avaler les jets puissants, mon visage et mes seins sont copieusement arrosés
- Putain que ça fait du bien, Y’a des mouchoirs ici pour t’essuyer
En le regardant dans les yeux je prélevé des traînées de sperme avec mes doigts et les suce méticuleusement, puis je m’allonge à nouveau …
- Tu vas prendre cher
- Je suis là pour ça … vient Adrien
Je tends la main pour me saisir de sa gaule qui n’a pas faibli et la dirige sur ma fente, l’homme se met en position genoux fléchis en appuis sur les mains, le gland sur ma fente …
- Pousse Adrien …pousse d’un seul coup... wwwwoaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhh !
- Tu l’as entièrement dans le con chaudasse !
- Tu es trop gros, reste un instant ainsi que je savoure ta bite
- Ta moule presse mon zob, ça me fait bander un max
- Je te sens réagir, vas-y à présent, laboure moi le ventre
- Noue tes mollets à ma taille, je vais te bourrer la chatte, essaie de crier le moins possible
Mon amant varie les coups, la rapidité, il cesse même pour me faire rager, ma jouissance est continue comme il l’avait promis, des paroles incontrôlées sortent soudain de ma bouche...
- Encule-moi …
Sans répondre l’homme s’immobilise et décharge une énième fois dans ma moule dilatée
- Met toi à genoux, ferme les yeux et attend …
- Ah bon ?
- Ça ne va pas être long, je dois m’assurer que tout va bien dans la salle
- Bien, dépêche-toi !
Effectivement ça n’a pas été long, la porte s’ouvre et se ferme, l’homme prend position à mon cul impatient d’être pénétré… je ne reconnais pas cette main sur ma hanche … et ce doigt qui teste mon anus ? il grogne et appuis son dard sur ma cible, lorsque je réalise que ce n’est pas Adrien c’est trop tard, je suis bel et bien sodomisée
- AAAAAAdrien ???
- Non c’est Raymond ! c’est ma récompense d’avoir tenu la boutique !
- Boff après tout, fait moi du bien Raymond …
- Je te fais du bien et je me fais du bien, il m’a dit que t’était très bonne !
- Si tu veux Isa demain on peut trouver un gars pour garder la salle ?
- Vous aimeriez me baiser à deux ?
- Si tu avais été dans la cave c’était quinze gars lubriques qui te défonçaient !
- Vu comme ça …
- Allons-y ? mord le drap …
Jamais je n’avais jouis par le cul, c’est désormais chose faite, Raymond est très pro, il n’y a pas de raison que je m’oppose à un trio, et par la suite Adrien peut trouver encore un amis pour garder la salle ?
Je suis sortie en marchant bizarrement, j’ai croisé les deux gars de la cité qui m’ont regardée comme si j’étais une bête curieuse me traitant de pute et de sale bourge…malgré cela sa proposition trotte encore dans ma tête

A SUIVRE .
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