Un Fantasme Devenu Réalité. Soumise Aux Ordres De Mon Maître. Le Voisin

Soumise aux ordres de mon Maître.
Le voisin.


(Cette histoire est écrite avec la complicité d’une de mes lectrices. Mais je ne vous dirai pas si tout ou partie est fantasme ou réalité. L’auteur)


-Oh, Patrick! Mais que fais-Tu de moi?
Je vais laisser un homme dont je ne connais rien (Ah, si!, il habite mon immeuble, mais c'est pire!), je vais donc le laisser me baiser!
Il caresse mes fesses, appuie sur mes épaules, je rentre ma tête dans le coffre, me baisse, il appuie sur mes reins, mes fesses ressortent. Une nouvelle tape.
- Tu as envie? Tu mouilles? Tu veux une grosse bite?
Grrrr ! Oui, j'ai envie, j'ai très envie. Je rêve et je fantasme sur Patrick, je le veux tout entier, ses mains, sa peau, son souffle et oui, je veux qu'il me remplisse, je veux qu'il sente ma jouissance, moi autour de lui.
Mais l'homme qui me plie à lui n'est pas Patrick. Il croit que j'ai envie : Oui, j'ai envie. Envie d'un homme, d'une queue, d'être baisée : Oui, oui, ouiiiiiii ! Mais qui me commande? Qui m'excite? Qui me fait vivre toutes ces expériences?
Je le sens qu’il remue derrière moi, il a quitté son pantalon et baissé son caleçon. J'ai la tête posée dans mon coffre. Je sens ses mains qui écartent mes jambes. Une main glisse sur ma chatte.

- Oh mais c'est qu'elle mouille la voisine! T'es trempée, mais tu ne sais pas te retenir. T'es en chaleur, tu traînes depuis quand dans le parking à attendre une grosse bite pour te ramoner?
Je sens des doigts se promener entre mes jambes, venir frôler l’intérieur de mes cuisses. Ils sont à quelques centimètres de mes lèvres vaginales que je sens humides de ma cyprine.
-T’a une belle fente ! Lâche-t-il, en bégayant presque, rouge de confusion ou de désir.
Je n’ai qu’une envie, qu’il me touche ! Une autre claque sur la fesse. Chaud, frisson, mal, mouille.
Morte de peur et de honte, je colle encore plus mon bassin vers ces deux mains qui caressent maintenant entre mes cuisses grandes ouvertes.


- Demande-moi de te bourrer la chatte!
Mais quelle vulgarité! Je ne me reconnais pas. Je devrai être outrée, offusquée, me rebeller.
Mais non, il n'a pas totalement tord. Je suis une femme en chaleur qui accepterait tout pour jouir. (Un leitmotiv dans ma tête : "Patrick, fais-moi jouir, please ! Patrick, toi en moi. S'il te plait, Patrick, j’ai envie, très envie").

-Aaaahhh !
Mais, il est fou furieux celui-là ! Il vient de me perforer, de rentrer et de s'enfoncer d'un seul coup de reins en entier, sans préparation. Il est au fond de moi. Je ne me rappelle même plus ses traits et il a son truc (format honnête mais pas exceptionnel) au fond de moi.
Il se hâte, rentre, sort, vient taper ses couilles sur mes fesses. Je mets mes doigts dans ma bouche, j'ai tellement envie. Je sens mes lèvres frotter contre sa queue. Je ferme les yeux, fort.
Il accélère, ralentit, attend en position quasiment sorti et retape à l'intérieur. Il n'atteint pas mon utérus. C'est bon mais il me faut plus, il me faut Lui.
Mais alors qu’il me pénètre avec fougue, et que je sens monter en moi un orgasme venu de très loin, je sais que je n’attends qu’une chose de l’avenir : que mon « Maître » me demande d’aller plus loin encore plus loin, plus loin, encore. Qu’il me fasse découvrir jusqu’où je suis capable d’aller, quelles sont mes limites.
Je le sens qu’il s'excite, me serre la taille, vient taper, ressort. Ses doigts vont laisser des marques, il s'excite, il me parle :
- Salope ! Petite chienne en chaleur, t'es bonne, tu sens ma grosse bite !
Mais je n'entends pas tout et tout à coup une phrase change tout :
- J'ai un message pour toi, Sophie !
Quoi? Mais quoi? Mon prénom? Il poursuit ses allers-retours. Je le sens qui grossit, il devient fébrile. Il me secoue encore plus fort, plus vite, plus au fond.
- Patrick m'a laissé un message pour toi : Jouis Sophie, c'est un ordre!
Et j'implose, j'explose, mon corps répond à ton ordre, selon tes désirs je me libère dans un orgasme que je n'attendais pas.

C'est pour Toi, Patrick, que j'accepte d'aller plus loin, me surpasser, me dépasser. Je l'ai fait!!!
Je te raconte. Je suis quand même curieuse, comment? Quand? Comment es-tu toujours là? Comment, alors que je crois avoir des choix, tu avais déjà tout prévu?
Le voisin ne tient guère plus qu’un lapin. Je sens en moi couler sa semence. Il se relève et sans un mot, s’éloigne en se reculottant, me laissant exsangue, me relever de mon coffre et cacher la souillure en rabaissant ma jupe.
Vite, une douche pour me purifier de cette liqueur qui n’est pas la Tienne.
Je Lui fais mon rapport avec moult détails et lui mets un petit post-scriptum :
La suite des numéros, Maître? Ta soumise, Sophie.

Mon « Maître » a été particulièrement satisfait de mon rapport et m’a donné encore deux chiffres chèrement gagnés, me félicitant chaudement de mon courage. Il me demande même si je me suis caressée en le tapant. Je lui avoue que j’ai du faire une pause-café avant d’arriver à la fin tellement j’ai mouillé ma culotte, enfin, façon de parler puisque je n’en avais pas.
Il me félicite encore en m’appelant « sa petite esclave sexuelle ».
C’est un peu humiliant mais je dois confesser que ça me plait.

-Je vais poursuivre ton éducation de soumise. Ton prochain challenge sera le suivant : tu vas aller à cette adresse dans deux jours à 21h00 précise et tu demanderas le salon bleu.
J’ai déjà entendu parler de cette adresse, c’est à moitié une maison close, à moitié une boite échangiste.
Je suis incrédule. Je lis les consignes en frissonnant, une robe droite, rien d’autres à part mes chaussures.
Cette fois, Il m’en demande trop. Jamais je ne pourrai aller là bas !
Je réfléchis une partie de la nuit et le lendemain matin, je détruis tous nos échanges, change de mail. Il n’a seulement que quelques photos de moi.

Mais il ne se passe pas cinq jours avant que je ne craque. Je ne pense qu’à lui, jour et nuit.

Je suis comme une e en manque.
La vérité ? C’est que je réalise que je ne peux plus me passer de mon Maître, de nos échanges, de mon « dressage sexuelle »
Je suis si impatience que je le contacte du bureau. Il ne faut pas que je me fasse surprendre.
Je me connecte à ma messagerie en ligne et en prenant soin d’effacer toute trace sur l’ordinateur du bureau après. Ce n’est pas le moment que mon chef tombe dessus. Il y a déjà un homme qui en sait trop ici.

« Je vous demande de m’excuser, Maitre. Mais je ne peux pas faire ça, aller dans ce lieu de débauche ».
La réponse est longue à venir, me laissant sur des charbons ardents.
« Bien sûr que si, tu peux le faire ! Tu es ma chose, rien ne te force mais tu te dépasseras comme une fille de joie qui obéit à son Mac. De toute façon, je ne te recontacterai que si je reçois ton rapport, voici la nouvelle date. Ne me déçois pas. Ton Dieu et Maître »

Ces mots sont blessants et assez explicites, je devrais me rebiffer mais je réalise que je n’attendais que ça, cette brutalité un peu inhabituelle de sa part.
Je comprends qu’il me rabaisse car c’est la seule manière pour me forcer et me contraindre.
Je suis terrifiée de ce qui m’attend, complètement décomposée, je bois la coupe jusqu’à la lie. Mais je sais que malgré moi, je vais céder à son autorité.
Je lui réponds aussitôt :
« Vos désirs sont des ordres, maître. »
Le jour est venu. Je me conforme à la tenue vestimentaire demandée et vais au rendez-vous.
Une fille très court-vêtu m’aborde et me demande ce que je veux.
-J’ai rendez-vous au salon bleu !
Elle me demande de la suivre et me fait rentre dans une pièce avec un immense lit rond.
Il y a déjà quatre personnes dans la pièce, un grand homme que je ne vois que de dos, complètement nu. Il y a aussi trois belles filles plus belles les unes que les autres en tenues d’Eve.
L’homme parle sans se retourner :

-Sophie, tu as pour le moment que le droit de regarder et quand je te le dirai, tu feras la mouche du coche ! Tu auras le droit de me chauffer mais il n’y aura que ces trois nymphes que j’honorerai ! Obéis à ton « Maître »
Je reste pantoise.
Je m’avance enfin et vois l’homme de face, je ne connais pas son visage mais son anatomie ne m’est pas inconnu. C’est Patrick !!!!
Je vois enfin en vrai sa queue de Mâle. Je n'en crois pas mes yeux. C'est une véritable queue de cheval!
Il faut aux filles les deux mains pour en faire le tour. Un gland bien lisse et luisant. L’une après l’autre, les filles dévorent son énorme verge dressée, des mains courent sur son rostre ou empaument ses bourses.
Il me sourit :
-Déshabille-toi et caresse-toi ! Il faut que tu arrives seule à l’orgasme !
Enfin, je le vois en vrai, ce n'est pas une photo, plus une vidéo. C'est Lui !
Je suis vexée. S’il m'avait dit que c'était Lui, je serais venue dès son premier défi.
Mais c'est qui ces trois bombettes ? Des petites jeunes bien roulées, aux beaux seins opulents, ventres plats, longues jambes. Il a le choix : La blonde, la brune et la rousse. Toutes mieux foutues que moi, même dans mes jeunes années.

Je suis jalouse, elles le caressent, le touchent, le lèchent. Et moi?
Moi, je dois rester dans mon coin et il veut que je me caresse : ENCORE? Des années que je ne fais que ça, ma seule source de plaisir! Encore, mais cette fois-ci le fantasme prend un peu plus vie : Il est là, majestueux.
Des lèvres remontent son ventre, embrassent son torse, son cou et viennent embrasser tendrement ses lèvres pendant que les mains des autres filles s'attardent sur sa queue.
La blonde est plus maladroite, sa bouche vient gober le bout de sa queue et ne peut en prendre plus. Patrick caresse d'une main les seins de la brune pendant qu'elle l'embrasse et caresse de l'autre main les cheveux de la blonde qui est en train de déguster sa queue qui est déjà très chargée, prête à exploser et remplir cette bouche mais il se retient.
Elle s’évertue sur la verge essayant de le faire venir rapidement et faire sortir son sperme.

Je jette un œil autour de moi, à ma droite, un pouf large, un peu bas.
Je m'approche, m'assied, ma robe moulante épouse mes formes, le tissu remonte sur mes cuisses, mes genoux sont au même niveau que mon nombril, je n'ai pas de dossier pour m'appuyer.
Je le regarde ces pétasses lui tourner autour. Je ne les aime vraiment pas ces taupes! On dirait des moustiques, vous savez, ces nuisibles qui vous pourrissent une belle journée ou votre nuit.
Bon, j'avoue la jalousie. Mais pourquoi ELLES et surtout, pourquoi pas MOI!
Donc je le regarde, son regard croise enfin le mien. Oh Seigneur ! Il me tient. Oui Patrick ! Comme lorsque je reçois un mail de Lui, je sens tout mon corps me trahir, il ne m'appartient plus, c'est Lui qui me dirige, me domine, il est mon Tout.
J'écarte les jambes, le tissu se tend, je force l'ouverture, et là il a une vue plongeante sur ma chatte, humide, chaude, à Lui, à Lui, à lui.
- Sophie! Caresse-toi!

(À suivre)

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