Telle Est Prise

J’ai découvert un texte au hasard de mes promenades sur des sites d’histoires érotiques. J’ai trouvé la situation excitante et l’envie m’est venue de la développer. Bien sûr si l’auteur se reconnaît dans ce plagiat partiel de son œuvre, d’abord qu’il me pardonne, ensuite s’il se fait connaître, je lui reconnaitrais bien volontiers une part de paternité… littéraire.
Arsène
Je m’appelle Catherine et j’ai 35 ans. Brune, pas très grande avec une belle poitrine (85C) dont les seins hauts plantés se tiennent très bien. Une particularité, j’ai les tétons très proéminents ce qui m’oblige à porter des soutiens gorges pour rester « convenable ». Convenez que la marque des pointes des seins affichée sous un fin tissu, attire les regards des hommes et des femmes : « Les yeux dans les seins », comme dit la chanson.
Mon mari Serge est plus jeune que moi de 5 ans. Il est l’homme de ma vie, mon seul et unique amant. Il est le seul homme avec qui j’ai eu des rapports sexuels et donc le seul sexe que j’ai connu. Je lui ai offert mon pucelage à 17 ans.
Il a un père de 59 ans, grand, du charme et qui vit en Espagne. Alain est divorcé. Je m’entends bien avec lui car il sait parler aux femmes et se montre agréable quand il vient chez nous.
Mon mari adore me faire avouer mes fantasmes et me raconte les siens. C’est devenu systématique : à chaque fois que nous faisons l’amour, il me parle d’un troisième partenaire invité à participer à nos ébats. Cela me gêne mais comme je sens que cela le stimule, je me laisse aller à entrer dans son jeu. Cela n’engage à rien et ne porte pas à conséquence. Du moins je le croyais.
C’est ainsi qu’un jour, il m’a fait avouer, à force de me pousser à bout, qu’Alain me plaisait bien. Son père ! Sur le coup ça m’a excité, et j’ai fini par dire, pour qu’il me laisse tranquille, que j’aimerais qu’il me baise. Mais aussitôt dit, je regrettais, car j’étais loin d’envisager cette éventualité. Mais mon mari a cru devoir insister en me racontant qu’Alain était monté comme un âne.


- Comment le sais-tu ?
- J’ai fait du sport avec lui, tu ne pourrais pas faire le tour de sa bite avec ta main.
- Ecoute Serge, tu me fais dire n’importe quoi. Tu es un pervers. Je ne pourrais jamais faire ça !
- Pourtant tu m’as bien avoué que tu te laisserais baiser par lui, non ?
- Je l’ai dit pour te faire plaisir et pour que tu me laisses tranquille.
En même temps, j’avoue que je suis assez attirée par des images de gros sexe d’homme. Plus qu’une simple curiosité, je m’étais laissée aller à imaginer… Mais c’est là mon jardin secret.
Les jours passent puis un soir, Alain nous annonce sa venue pour le week-end prochain. Mon mari, tout excité par cette idée, insiste pour que je le reçoive habillée sexy. Je le vois venir, il veut qu’Alain puisse me mater. Quel vicieux! Je refuse. Il me dit :
- Si tu acceptes on ira à l’île de la Réunion, comme tu en as envie.
Du chantage. Quel salaud ! C’est la totale dans le mauvais goût, mais je comprends là combien ça le préoccupe. Dépitée, je finis, de guerre lasse, par accepter.
Le jour venu, Serge assiste et participe à mon habillage. Il est tout excité, je m’en rends compte à la bosse sur son pantalon.
Robe d’été en fin coton avec décolleté profond et généreux en haut, flottante et courte sur mes jambes nues en bas, avec une mince ceinture de cuir. Il me fait mettre des sandales légères sans talons, maintenues par de fines lanières qui laissent mes pieds nus… Serge trouve que la démarche sans talon, le pied bien à plat, contrairement à celle induite par des très hauts talons, qu’il trouve trop « pute », s’accompagne d’un déhanchement plus érotique et souligne le galbe du mollet au dessus des chevilles quand elles sont fines. C’est mon cas. En plus il prétend que cela nous fait prendre une allure altière, le front haut et le mépris dans le regard. ǒest son idée !
Dessous ? Pas de soutien gorge, bien sûr et un string qui laisse mes rondeurs fessières nues.
Evidemment, mes tétons pointent de façon arrogante au travers du fin tissu de la robe, favorisé par le frottement. Mais bon ! Le fait est que je me sens belle et sexy. Et puis, bof, mater n’est pas un péché.
- Tu n’as pas l’impression de me livrer à ton père ?
- Mais non ma chérie. Et de toute manière c’est toi qui décide jusqu’où aller !
- Encore heureux ! Il n’est pas question qu’il me touche.
En vérité, et je me garde bien de lui en faire part, cette idée me chatouille le bas du ventre. Mon fantasme de grosse bite resurgit, et mon mari me l’offre sur un plateau. J’ai toujours été persuadée que celle de mon mari n’avait rien d’exceptionnel.
Pile à l’heure, Alain se présente avec un énorme bouquet de fleurs de toutes les couleurs, un gâteau et deux bouteilles d’un bon champagne. Le coquin, il sait combien j’aime les fleurs… et le champagne. J’avoue que de mon côté, j’ai mis tout mon cœur à lui préparer un bon repas. Mon chéri a vite compris que j’étais séduite. Avant de passer à table on s’installe au salon pour l’apéritif.
A peine installés sur le canapé, le papa en face de nous dans un fauteuil, nous échangeons des banalités sur notre société et ses dérives de liberté… et de libertinage ! Le beau-père se régale les yeux, avec élégance et discrétion. La gêne ressentie s’efface doucement au rythme des verres de champagne. Je me sens bien, un peu pompette, tout en restant toutefois vigilante. Il faut dire que mes pointes, pointent ! Tient ! Mes jambes sont découvertes…
Quand je me lève pour aller chercher des amuse-gueules chauds, mon mari me suit dans la cuisine. Il se glisse derrière moi, relève le bas de ma robe et veut m’enlever ma culotte. Choquée, je résiste et refuse. Il abandonne.
De retour au salon, je me rends compte qu’il fait la gueule ! C’est souvent le cas, quand je lui refuse un caprice de cet ordre. Son père, toujours aimable, semble avoir pris ma défense et cela me touche. C’est vraiment un galant homme.

Serge me suit à nouveau quand je retourne en cuisine. Il insiste lourdement. Et encore une fois le même chantage. Plus pour le dérider et un peu excitée, je finis par céder.
- Fait comme tu veux !
C’est tout ce que j’arrive à lui dire et je ne fais aucune obstruction alors qu’il enlève ma culotte. Il ne pourra pas dire que je suis complice de ses perversions. La pure innocence !
Retour au salon. On boit un peu plus de champagne et Serge en profite pour dire à son père que j’ai des seins superbes et que je suis entièrement nue sous ma robe. Silence gêné, j’en reste muette. Mais l’alcool fait déjà son effet. Je me sens dans les nuages, les paupières lourdes. Je réalise que je suis incapable de réagir, comme assommée.
Je vois à son entrejambe qu’Alain bande pour moi. Comment je me retrouve les seins nus, le haut de la robe sur mon ventre ? Je ne sais plus. J’entends la voix hésitante de mon mari qui dit à l’adresse de son père :
- Je lui ai raconté que tu es monté comme un âne et elle veut vérifier et mesurer nos queues.
Silence des deux hommes dont je devine qu’ils doivent attendre ma réaction. Je crois rêver. Ce n’est pas possible. Je dois réagir. Mais je reste là, sans bouger, passive à suivre ce qui se passe. C’est Alain qui rompt le silence.
- Catherine, s’il te plait, tu fais comme tu as envie. Pour moi et pour Serge ce n’est qu’un simple jeu. Mais aucun de nous deux veut t’indisposer.
En moi-même je pense que mon mari n’en a rien à foutre de m’indisposer. Et son père aussi sans doutes. Mon silence est interprété comme un accord. Alors les choses s’accélèrent !
Alain et Serge se déshabillent. Alain se réinstalle dans son fauteuil. Sa matraque de chair est énorme, dans cette position, en longueur, elle lui dépasse le nombril. Le diamètre est en accord avec le reste. Serge me tend un mètre à ruban. Je regarde bêtement l’outil sans vraiment réaliser.
- S’il te plait ma chérie, fait moi plaisir, mesure la longueur et le tour de la bite de papa.

- Mais vous êtes fous !
Serge insiste, il me fait mettre à genoux devant son père, prend mes mains et les approche de la queue fièrement dressée devant moi. Le papa s’est redressé sur son fauteuil pour pouvoir me peloter les seins. Il insiste bien évidemment sur leurs pointes. J’imagine que son fils a dû l’informer sur cette particularité de ma poitrine. Derrière moi Serge a relevé le bas de ma robe pour mettre mes fesses nues en lumière. Alors, sans vraiment réaliser, je mesure. Bien sûr, je touche la chair et la bite du beau-père augmente encore de volume.
Je suis subjuguée par la taille de l’engin. Je finis même par le prendre dans ma main pour vouloir en faire le tour. Je n’arrive pas à joindre mes doigts. Le gland au bout est énorme, gros comme une pomme de terre, rouge foncé presque violet. Sa peau est lisse, brillante. Il est entièrement sorti de son prépuce. Même en photo je n’en ai jamais vu de semblable.
L’alcool aidant je sens une chaleur envahir mon bas ventre. Abandonnant la queue je me saisis de mon verre de champagne et le vide d’un trait. Pour me donner de l’aplomb. Je ne me reconnais plus. Une voix au fond de moi ne cesse de répéter « arrête, tu es folle ! Ils ont décidé de te baiser. Te faire sauter par le papa de ton mari ». Mais rien n’y fait, comme e, je m’abandonne, sans aucune résistance. « Le salaud va me le payer ! ».
Je mesure l’une puis l’autre bite.
C’est Serge qui annonce les mensurations. Alain fait 23 cm sur 7. Serge 18 sur 5. La différence est énorme mais ne me surprend pas. Toujours dans les nuages, je remarque qu’Alain fait glisser un élastique à la base de sa queue, tout près de ses couilles que je constate gonflées comme des oranges. Je reste interdite quand je l’entends dire à mon attention, avec une voix suave qui se veut sensuelle, comme pour me signifier que c’est un cadeau du ciel qu’il se prépare à m’offrir :
- Ça retarde l’éjaculation. Je dure plus longtemps.
Incroyable cette suffisance doublée de cette assurance. Tous les mêmes, les mecs quand il s’agit de faire jouir une femelle ! Avec leur queue. En même temps je réalise que les dés sont jetés. Le beau-père a pris les choses en main et se prépare à me sauter.
Encore incapable de réagir, je sens que ma volonté de refuser s’amenuise. J’en suis à me dire que c’est leur désir et qu’on en finisse le plus rapidement possible. Et puis ce n’est pas « mon » papa. Et puis, je dois avouer que les ondes de plaisir que je ressens dans tout le corps ne sont pas sans relation avec la situation qui commence singulièrement à m’exciter. J’ai bien conscience que c’est une autre femme en moi qui se sent l’envie de profiter de la situation. Je suis assez lucide cependant pour le cacher à ces deux mufles, car en fait j’ai en pleine conscience, décidé de jouer le rôle de victime, ce qui me dédouanera des événements à venir. On ne pourra me faire aucun reproche. J’ai vraiment envie de me faire baiser par cette énorme bite !
La queue d’Alain est congestionnée comme prête à exploser. Alors, tout s’enchaîne. On me prend par les épaules, me lève et docile, je les suis dans notre chambre. On m’allonge sur le lit, sur le dos, nue et sans attendre, Alain s’acharne sur mes seins. Je résiste peu, impossible de refuser la caresse. Mes pointes sont dressées par l’excitation. Je suis bien loin du « mater n’est pas un péché » !
Assis à mes côtés, il cherche à m’embrasser. Je ne veux pas, je détourne la tête. Ça non ! Mais fermement il saisit mon visage et approche mes lèvres des siennes. Je sens sa langue tenter de pénétrer ma bouche. Je me crispe, mais bientôt sous l’effet du plaisir, je cède et mes lèvres s’écartent pour laisser sa langue fouiller ma bouche. Le baiser est torride, son organe est volumineux. Je sens la pointe chercher à aller le plus dans le fond de ma bouche. En même temps il me caresse toujours les seins et je sens qu’il frotte son braquement contre ma cuisse. J’étouffe mais le plaisir devient plus fort. Alors sans encore savoir comment, je sors à mon tour ma langue pour l’enrouler autour de la sienne. Le salaud comprend que je cède, qu’il me possède déjà. Serge ne rate rien de cet abandon. Glissé entre mes cuisses qu’il maintient écartées, il me doigte violemment et me lèche le minou. Il sait que j’aime ça et que je perds vite le contrôle de mes sens quand on me doigte le vagin avec violence. En me regardant droit dans les yeux il me dit :
- Ma chérie, mon père va défroisser ton vagin !
Apparemment je n’ai rien à dire. Ce n’est pas moi qui décide comme Serge me l’avait précisé. Je n’ai rien promis, moi ! Aussi sans état d’âme, je tends mon ventre vers sa bouche. Ils peuvent penser ce qu’ils veulent, mais maintenant c’est moi qui mène le bal. J’ai envie de la grosse queue du papa. L’image de « défroisser mon vagin » me fait rire intérieurement. Problème de taille de bite !
La langue de Serge qui dévore la chatte et celle d’Alain dans ma bouche, finissent par me faire jouir une première fois. On bouge et je me retrouve en train de sucer l’énorme matraque de chair comme je peux. Petit à petit je sors de ma léthargie et c’est pour m’apercevoir que je prends du plaisir. Je fais frétiller ma langue dans le méat béant de la grosse bite, arrachant des gémissements à beau-papa. Déjà je savoure les premières gouttes de son liquide séminal. Il est fortement salé, plus que celui de son fils. Alors avec voracité j’enfourne la queue entière dans ma bouche. Le gland vient buter contre ma luette provoquant un réflexe nauséeux. Bien vite je m’accommode et les va et vient de la colonne de chair qui baise ma bouche m’entraînent vers un nouvel orgasme violent qui me fait perdre conscience.
Quand je refais surface c’est pour me rendre compte qu’on me fait mettre à quatre pattes. La queue du papy est encore toute dure et dressée entre mes fesses. L’élastique ! De ses deux mains Alain écarte les deux lobes charnus, ouvre ma chatte et se prépare à me pénétrer avec son énorme queue. Son fils l’encourage, et d’un coup de rein il s’enfonce au fond de mon vagin.
- Vas y bourre la !
- Ouiiii ! Elle est bonne ta femme. Elle est étroite à l’entré et dedans. Sa chatte n’est pas habituée à recevoir une grosse bite. Elles ont beau dire que la taille ne fait rien à l’affaire, tu vois comment elle feule, ta salope !
On vient de passer à un autre registre. L’insulte, l’humiliation. Ce n’est pas pour me déplaire, monsieur ! Surtout qu’il ne doit pas réaliser qu’il parle de la bite de son propre fils ! J’ai parfaitement senti toute la longueur de la bite m’enfiler puis venir en butée contre l’utérus. J’en aurais pleuré de bonheur. Je ne contrôle plus mes gémissements tellement c’est bon ! Serge, en même temps, est passé près de ma tête pour me présenter sa petite bite à sucer. Beau-papa prend son temps pour bien me bourrer. Il arrive à se retenir pour me défoncer sans se presser. Que c’est bon ! Je voudrais que cela ne s’arrête jamais. Les deux cochons ont pris maintenant la mesure de mon abandon. Mes fesses avancent au devant du braquemart en ondulant. Je veux le faire jouir, aussi j’ondule des hanches. Il me tient fermement pour me planter sa queue encore plus loin et plus fort. Les « salope, pute… », se succèdent. Ces mots crus nous excitent tous les trois.
Puis soudain, Alain annonce qu’il va venir. Mon mari se retire alors de ma bouche et demande à son père d’attendre.
- Papa, je lui ai fait arrêter la pilule. Il paraît qu’elles en demandent plus quand elles sont en chaleur et fécondables ! Vas y c’est la bonne période.
- Tu as raison, elle a la vulve brûlante !
Je suis tellement excitée que je ne réalise pas le sens de ces mots. Je suis tout entière soumise au plaisir de cette bite qui me baise.
Serge s’est glissé sous moi, la tête entre mes cuisses, en position de 69 pour voir la bite de son père me limer. Je deviens folle. Il me donne des coups de langue sur mon clito pendant que la queue de son papa dilate ma chatte. Il a limé pendant au moins vingt minutes sans relâche, confirmant que son élastique le faisait durer plus longtemps, mais maintenant l’extase arrive !
- Ça y est salope ! Prends ça !
Il râle, crie même. Son fils se branle juste au dessus de mon visage. A mon tout je m’abandonne au plaisir qui me submerge.
J’ai déjà joui plusieurs fois mais quand je sens ses giclées chaudes inonder mon vagin, je suis prise d’un tremblement d’extase : l’orgasme, terrible, puissant, qui vous fait perdre le sens des réalités. Il a éjaculé au moins une dizaine de salves de foutre. Je sentais qu’il me remplissait. Jamais je n’avais perçu le foutre de Serge venir en moi avec autant de force. C’était grandiose.
Je ressentais pour la première fois l’envahissement de toutes les cellules de mon corps, envahies par ces milliards de cellules contenues dans ce sperme. Je réalise que cette invasion est irréversible, que pour toujours elles seront « marquées » par celles de cet homme. Le père de celui qui m’a prise pour la première fois. Jamais un autre sexe ne m’avait pénétrée ni remplie de sa semence. Tout cela contribue sur le moment à me transporter dans un orgasme inconnu.
Mon mari a joui sur mon visage, mes seins. Je crois que cette fois encore j’ai dû perdre connaissance quelques secondes.
Revenue à moi, j’ai trouvé les deux hommes assis sur le bord du lit, le sourire aux lèvres. Satisfaits, suffisants ! Alain me tend un verre de Champagne et avec la douceur que j’apprécie chez lui il me dit :
- Cela faisait trop longtemps que j’ai envie de toi, Catherine. Tu es magnifique et une amoureuse exceptionnelle. Mon fils a de la chance.
Emue, en prenant le verre qu’il me tend, je lui avoue, que moi aussi j’avais eu cette envie mais qu’elle était refoulée dans mon éducation. J’ai lancé un regard vers Serge, sans aucun sentiment de culpabilité, ni remords de m’être laissée baiser aussi facilement et d’avoir pris autant de plaisir avec son papa.
- Il est peut-être temps de passer à table ?
Je n’ai réalisé que plus tard que je pouvais tomber enceinte de mon beau-père. Tant pis ! Ça reste dans la famille !

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