Amira À Oran 3

Amira a oran 3

Salut, pas la peine de me présenter une deuxième fois. Deux jours après ma petite histoire de MDINA JDIDA, je me suis levé a 9H00 pour aller au HAMMAM. Je sors vêtue de ma djellaba et rien en dessous sauf mon soutien-gorge en un string rouge qui avait son fil qui serrer bien l’enter mes fesse et mes lèvres (les lèvres de ma jolie chatte bien sûr).j’entre dans le HAMMAM, je pensais que je suis la première cliente qui entre, mais non, il y avait une vielle dame de plus de 70 ans la première. Il n’y avait personne dans la salle alors je me mis toute nue (j’adore ca, être toute nue et me baladais). Tout d’un coup la KYASSA de la dernière fois se montre devant moi en soutirant.
- SBAH AL KHIR YA CHABBA, Y ZINA.(Bonjour, ma belle)
- SBAH AL KHIR KHOUTY. RANY MBAKRA ? LA ?(Bonjour, ma soeur. Je vien de Bonheur)
- MARAHBA BIK. RAKI FAL WAKTE. SEBAH MA YJOUCH NESSA HATTA 11H00 YABDAW YADDAKHLOU. (bienvenue, tu esta l’heure. Il n’y a pas du monde le matin. elles commencent à venir vers 11 heures)
- AYA GHAYA! TABDAY BYA ANA LOUWLA HAKKA TATEHALLI FYA? (c’est bon, tu va commencer avec moi, alors? Tu prendras soin de moi ?)
- NETEHALLA FIK MEME TKOUNI TALYA. ADOUKHLI TAHMI, RANY JAYA. (je prendrais soin de toi même si tu était la dernière. Entre pour te chauffée, je reviens.)
Avec un sourire qui cachait des intentions diaboliques, elle me souris et ramasse des FOTTAS qui étaient par terre. Moi, je rentre c’était chaud et humide, on dirait ma chatte recevant un bon ZEB. J’ai pris une place dans un coin loin du regard de la vielle dame, et même si j’était a cote d’elle, je suis sur qu’elle ne me verra même pas. Je restais pour me chauffer et commençais à transpirer. Beaucoup de choses passe dans ma tète, j’avais envi de m’offrir un beau mec comme toujours.
- C’EST BON ? HAMITY ? (c’est bon ? t’es chaude ?)
- WAH RANY 3ARGANA GHAYA, W RANY WAJDA. (oui, je suis prête)
Elle s’est placer derrière moi et commença à me caresser les épaules tout en descendant vers mon bas ventre.

Ses bras caresser mes seins qui était bien pointues. J’avais la chaire de poule, même pour elle je sentais quelque chose que je ne sais pas comment le décrire. J’ai fermé mes yeux tout en souriant avec elle. Elle comprit que j’étais partante pour un petit jeu avec elle.
Elle écarta mes cuisse en faisant un mouvement de va et viens en douceur. Je me suis lâcher et je commençais à faire des gémissements « EUUUUUHHH ». Elle pausa sa main sur ma bouche pour me faire taire. Elle laissa sa main sur ma bouche, que je commence à l’ouvrir pour atteindre ses doits. Elle le pausa sur mes lèvres et je l’avalai directement et commença à le sucer. C’était très bon.
Elle avec la deuxième main commença a fouiller dans mon bas ventre tout en caressant les lèvres de ma petite chatte. Ses doit était gonflais, comme-ci c’était un beau petit ZEB d’un ados de 16 ou 17 ans. Se doit me pénétras l’intérieure je commençais un jouir et ma chatte commença à diffuser du Cyprian. Avec le va et viens de son doit, ce dernier se fait rejoindre avec le deuxième doit. Alors, la j’étais au 7eme ciel.
Je peux vous dire que j’ai jouis deux fois de suite sans interruption. Ma tête était sur le ventre de la madame, et je sentais des « GRINCH, GRINCH » a l’intérieur de ce bas ventre, comme des signaux de détresse j’ai compris que sa chatte demandais une visite chez elle aussi. Alors avec ma tête et mes cheveux, je caressais ses lèvres et je savais qu’elle, aussi, était au 7eme ciel.
Apres quelque minutes on a arrêté, elle ma regarder en me faisant un sourire diabolique que j’ai apprécié. Sans dire un mot, elle commença a me faire son gommage et moi j’était comme un ange dans le ciel.
Apres avoir sortie du bain, payer a la caisse, j’ai laissé un grand pourboire a ma faiseuse de plaisir. J’étais très heureuse, mais, il me manquait quelque chose !?. Il est midi trente, j’ai faim et je veux une balade et surtout je veux un homme. Je marchais dans une petite ruelle que j’adore, il y avait que des villas coloniales avec des branches d’arbres qui surplombaient cette ruelle à travers les petites hauteurs des mures de clôtures des maisons.
Avec un doux soleil, les oiseaux étaient entrain de chanter.
Tout d’un cou, j’entend une vois qui m’appel :
- AMIRA , AMIRA ….
Je me suis retourner et derrière une porte entre-ouverte se trouverait un jeune homme ! je reconnais sa face mais je ne me souviens pas de lui.
- WAH KHOUYA ?
- SBAH AL KHIR, KIRAKI, MAN WINTA MA CHAFTAKCH.
- OOOHH, MALIK !…. KIRAK DAYER? MA 3RAFTAKCH… TBADDALTE.
C’était Sofiane, un camarade de classe, on a étudié au lycée ensemble pendant 4 ans (on a refait le bac). Je l’adorais, il était drôle et sympa et surtout il était classe. Je pense que j’avais un petit sentiment envers lui. Il faut dire qu’il était toujours au top et ca se voyer qu’il manquait de rien dans sa vie.
Il s’approche de moi et je tends mes Joux pour lui faire la bise, il sentait un parfum que j’adore. Il était en short et un t-shirt bleu comme-ci il était en vacance dans un complexe touristique.
- KIRAKI DAYRA ? CHAFTAK MEL BALCON, KHRAJTE NAJRI. WELLAH LA TOUAHACHNAK.
- HIHIIHI, ALLAH YSSALMAK. ANA TANY TOUAHACHTE HADOUK AL GA3DATE WA DAHKE …. CHA FOUATNA ….FORT.
Et on a commencé à parler de nostalgie et de notre groupe qui faisait des bêtises le temps des études. Je voyais ses yeux grands ouvert qui contemplaient ma silhouette en dessous de ma DJELLABA bien serrer. Et surtout, il regardait mes mains, avec mes doits longs et fines, toute blanches et belles.
- HAMMAMTI, BESSAHTAK.
- YSSALMAK.
- NJIBLAK AL MA BARAD TACHORBY CHOUYA? WELLA TADOUKHLI DAKHAL KHIR? BACH JOUARINE?
Je savais que si je rentre avec lui dans cette belle villa, même moi, je ne résisterais pas à la tentation …
Et je suis entré avec lui dans le jardin….. A suivre.
Je vous raconterais la suite dans la prochaine publication. J’adors vos commentaires et j’atend beaucoup de vous lecteurs. Bizou.

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