La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1222)

Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE) – (suite de l'épisode précédent N°1221) -

La vie au Château (suite) :

Le lendemain matin toujours furieux et déçu, il n'ordonna même pas à Amélie de le sucer et lui dit :

- Aujourd'hui chienne, tu passeras la journée en cuisine. Mais d’abord, tu vas prévenir Messire Léon que je veux le voir de toute urgence ensuite tu te rendras donc aux cuisines et demandera à Lucie de m'apporter mon petit déjeuner et tu feras tout ce que Céline t'ordonnera.

Amélie baissa la tête et se dirigea vers la porte.

- Attend encore une chose, connais-tu le nom du chien qui a osé user de Ma propriété, de Ma Manon ?
- Un simple d’esprit, un certain Valentin, Maître je n'en sais pas plus, répondit-elle

Elle sortit laissant le Maître seul… Messire Léon arriva dans la chambre du Maître et ce dernier lui raconta tout ce qu'Amélie lui avait dit.

- Manon ? Je n'arrive pas à y croire, réagit Léon
- C'est la plus ancienne de Mes soumises et Ma plus dévouée et je n'aurais rien vu ?
- Elle est entrée très jeune à Votre service à l'époque elle était et elle est devenue Votre soumise après sa puberté. Peut être ses envies ont elle changées ?
- Si tel était le cas elle aurait du m'en parler… Je n'ai jamais interdit à une soumise de se marier et d'avoir une vie même en dehors du Château et si elle voulait reprendre sa liberté, je lui l'aurais accordé et pris ma décision en conséquence … Mais me trahir ainsi ...
- Je peux me charger de la punir Sire, mais après que prévoyez-vous ?
- Elle sera renvoyée, je ne veux plus poser les yeux sur elle chaque jour, je veux plus la voir. En attendant, va la chercher et met-la au cachot en attendant que je prenne ma décision concernant sa punition.
- Bien Monseigneur.

Peu de temps avant Lucie était arrivée avec le petit déjeuner du Maître et bien malgré elle, avait entendu toute la conversation et n'ayant reçu aucun ordre du Maître, Lucie attendait à genoux dans le coin de la pièce.



- Je n'ai pas besoin de toi ce matin, retourne à tes corvées, chienne. Hors de ma vue.

Lucie était déçue pour le Maître et alla rejoindre Kate en train de battre le linge au lavoir situé au milieu de la cour du Château. Bien que Kate remarqua que quelque chose l'avait bouleversée et malgré ses interrogations sur ce qui l'avait mis dans un tel état, elle ne lui dit rien. Messire Léon arriva près du lavoir et elles se mirent instantanément à genoux

- Lucie, tu connais un certain Valentin du village d'à côté ?
- Non Messire, je suis désolée

A ces mots Kate avait relevé la tête

- Messire, je vous prie de me pardonner mais je pense savoir de qui il s'agit.
- Vraiment ? Alors termine de laver le linge… Je reviendrai te chercher et ensuite nous irons voir ensemble le Maitre, le Seigneur d'Evans.

Messire Léon les quitta sans autre mot et se rendit à la lingerie ou se trouvait Manon en train de plier du linge propre.

- Manon, chienne, ici tout de suite, dit-il sur un ton méprisable

Surprise et inquiète par le ton furieux de l’ordre, elle s'exécuta sans tarder.

- Viens avec moi, catin...

Messire Léon l'emmena jusqu'à la crypte où se trouvait toute une suite de cachots, le long d’un large couloir aux pierres équarries et à l’humidité forte. Une odeur de moisissure se faisait sentir. Et c’est dans un de ces cachots qu’il mena Lucie, il l’attacha à une lourde chaine accrochée solidement à un anneau scellé au mur. Puis avant de refermer la lourde porte, il lui annonça, avec dégoût :

- Tu me déçois sincèrement
- Mais pourquoi Messire ? Qu'est-ce que j'ai fait ? Je ne comprends pas ?
- Ne fait pas l'innocente, j'ai un témoin…
- Mais quoi ? Quel témoin ? Qu’ai-je fait ? Combien de temps vais-je rester au cachot ?
- Le temps que le Seigneur jugera utile.

Messire Léon ferma la porte du cachot et partit. Il retourna chercher Kate qui fut étonnée de ne pas être conduite en laisse en quadrupédie comme c'était d'habitude le cas.
Mais Léon était si bouleversé qu'il n'y avait même pas pensé. Arrivé devant la pièce qui servait de cabinet de travail du Seigneur d'Evans et après avoir reçu l'autorisation d'entrer, Messire Léon lui annonça :

- Sire, je pense que Kate à des choses à nous apprendre concernant l'affaire.

Messire Léon était conscient que ce n'était pas à lui de lui apprendre la nouvelle sans en avoir reçu l'ordre, alors il rajouta tout simplement :

- Elle connait l'homme en question.
- Kate, écoute-moi bien ce que je vais te dire est de la plus haute importance, répliqua le Noble de suite !

Kate réfléchissait à toute vitesse, elle revit la mine de Lucie, le fait que Messire Léon ne lui ait pas mis sa laisse son visage fermé et la mine triste du Seigneur et elle ne put s'empêcher de se précipiter à Ses pieds à genoux, le regard suppliant :

- Antonin ? Il est arrivé quelque chose à Antonin ? dit-elle les larmes aux yeux
- Non, rassure-toi, cela est important mais n'a rien à voir avec Antonin, ni Alix ou leur mission.

Kate se détendit instantanément et attendit que le Maître reprenne la parole.

- Comme je te l'ai dit écoute-moi bien, (faisant un signe à Messire Léon, il poursuivit), exceptionnellement je vais t'autoriser à t'asseoir face à moi et à me regarder. C'est aussi à Kate que je parle à l'amie de mon ami et pas à la soumise, tu comprends ?
- Oui Maître, je vous écoute, dit –elle, s'asseyant sur le siège que Messire Léon avait apporté.
- Bien, visiblement tu connais cet homme nommé Valentin ?, d'où le connais-tu et d'où vient-il ?
- S’il s’agit de celui que je pense, je l'ai connu étant , de ce que je me souviens, ses parents paysans avaient un fermage qui a brulé, et il est le seul à avoir survécu à l’incendie de la ferme. Ensuite il est venu vivre chez sa tante, une amie de ma mère. Il est un peu simplet d'esprit de naissance, il a travaillé aux écuries de la Duchesse de Saint-Ymer et plus tard il est parti avec sa tante.

- Où vit-il à présent ?
- Il est revenu, il y a quelque mois, sa tante est décédée et sa cousine ne pouvant vivre seule vit avec lui. C'est un gentil garçon naïf, il a parfois des réactions inattendues mais il est honnête et sincère.
- Ca, c'est à moi d'en juger.
- Il est aussi ami avec mon cher Antonin et avec moi-même.
- Vraiment ?

S’il s’agissait du même Valentin, cela posait deux autres problèmes, le duché de Saint-Ymer ne lui appartenait pas et bien qu'en excellent terme avec la Duchesse, il ne se voyait pas demander à cette dame d'un certain âge de sanctionner cet homme qui fut à son service, ni de lui demander que ses gardes puissent l'arrêter. De plus, ce Valentin était ami avec Kate et Antonin… Le Seigneur d'Evans ayant autorisé Kate à le regarder, elle vit son visage en même temps surpris, interrogateur et inquiet.

- Kate, je sais que tu te poses des questions mais je ne peux pas te dire ce qui se passe, pas encore, tu le sauras assez tôt.
- Bien Maître, dit-elle mais les derniers mots prononcés par le Seigneur au lieu de l'apaiser n'avaient qu'ajouter à son inquiétude.
- Retourne à tes occupations et pas un mot de ceci à personne est ce bien clair ?
- Oui Maître, je n'en parlerai pas.

Elle quitta la pièce en silence. Cette nuit-là, Messire Léon fit venir Marion dans sa chambre et lorsqu'elle arriva elle se mit à genoux mains dans le dos, tête baissée et attendit. Messire Léon était un homme imposant mais aux yeux de la jeune Marion, aussi séduisant

- Tu comprends que suite aux événements lesquels tu n’as pas à savoir, j'ai besoin de me distraire, et si tu me satisfais, tout se passera bien, ce sera même agréable pour nous deux, dans le cas contraire, tu me connais assez pour savoir ce que tu risques.
- Oui Messire

Marion attendait que Messire Léon donne ses ordres. Il s'assit sur le bord de sa couche :

- Viens me sucer, ma belle.

La jeune fille se dirigea vers lui et délicatement libéra son sexe déjà dressé et elle le prit dans ses mains et le masturba doucement avec douceur et savoir-faire puis le lécha de bas en haut et vice versa toute en lui caressant les testicules.
Puis elle suça ses couilles en les aspirant une puis l’autre dans sa bouche tout en masturbant son membre érigé. Après quelques minutes se fiant aux réactions de Messire Léon qui gémissait de plaisirs, elle le prit totalement en bouche et s'activa en va-et-vient passant sa langue tout le long de la hampe, l'enroulant tout autour avec quelques coups de langue sur le gland et embrassa la verge droite de mille bisous. Messire Léon lui caressait les cheveux et ainsi imposa le rythme qu'il voulait à la jeune soumise. Cette prise de possession de la cavité buccale dura de longues minutes et quand enfin il jouit, il éjacula son sperme chaud en jets puissants jusqu’au fond de la gorge de la soumise et celle-ci avala avec reconnaissance la précieuse semence.

- Bonne chienne, en levrette.

Marion s'exécuta rapidement et Messire Léon se plaça derrière elle et la pénétra d'un coup avec une facilité déconcertante tant l'excitation de Marion et son plaisir était grand. Il la pilonna, la besogna ainsi un long moment en va-et-vient profonds et poussant des ‘han’ de bûcheron sous l'effort tout en lui fourrant la chatte bestialement. Il lui donnait des claques sur ses fesses et insérait ses doigts dans son anus afin de le dilater tout en continuant ses grands coups de reins puissants dans la chatte trempée. Quand il se retira, il baisa son cul accueillant et il la besogna tout aussi virilement ainsi de longues minutes.

- Hummm Ouiiiiiiii…. Mes…. Messire …. Hummm … puis je jouir ?, je vous en supplie !
- Non, tu te retiens encore, j’ai dit …
- Oui …Mes…. Messire …. mais je … je … ne tiendrais plus très longtemps …
- Retint-toi ou la punition va tomber

Et quand il senti sa jouissance arrivée, il lui murmura à l'oreille

- Tu peux jouir mais après moi, salope !

Quand Marion entendit les râles de jouissance de Messire Léon qui déversait en elle de longs jets saccadés de semence épaisse et chaude, elle laissa éclater alors sa propre jouissance dans un orgasme aussi puissant qu'un ouragan dévastateur. Il se retira et se plaça devant elle et lui ordonna :

- Maintenant, tu peux me nettoyer mon sexe, la chienne.

Marion eut besoin de quelques instants pour se remettre de son violent orgasme pour revenir sur terre. Ensuite, elle obtempéra et utilisa sa langue pour le nettoyer impeccablement et quand elle eut fini, Marion se replaça en position d'attente pour connaitre les exigences suivantes.

- Tu peux aller te laver dans cette pièce, avec le broc d’eau froide, il me reste une chose à faire, alors couche-toi et ne lutte pas contre le sommeil… Je te réveillerai si j'ai besoin de toi pour me vider de nouveau les couilles, la chienne.
- Merci Messire, mais puis-je me permettre une question ?
- Oui, la chienne
- Ou dois-je me coucher ?
- Je t'autorise à dormir avec moi, dans ma couche …

(A suivre …)

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